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Depuis 2009, une brigade itinérante, composée de deux étudiants, sillonnent les points touristiques stratégiques de la ville de Besançon à la rencontre des touristes. Le concept  plaît. Estivants français et étrangers apprécient de pouvoir rencontrer des interlocuteurs capables de répondre à leurs interrogations lors de leur séjour dans le Grand Besançon.

Cette année, l’office de tourisme de Grand Besançon Métropole a confié cette mission à Lorenzo (20 ans) et Léo (21 ans). Ces deux jeunes aiment rendre service à celles et ceux qui ont choisi Besançon, le temps d’une journée  ou d’une période plus longue.

LORENZO LEO 2

A vélo électrique

Equipés d’un vélo électrique, Léo et Lorenzo disposent , à l’intérieur de leur remorque, de la documentation nécessaires pour transmettre la bonne information ou aiguiser la curiosité de leur public. Hébergements, restaurants, musées, expositions, activités, visites guidées, randonnées,… les propositions et les sollicitation ne manquent pas. Les deux conseillers apprécient de pouvoir évoluer dans ce cadre. Ils jugent cette expérience très formatrice et en lien avec leurs études et leur  projet professionnel. Lorenzo, après avoir brillamment décroché un BTS dans le domaine du Tourisme, prépare une licence en histoire, avec l’ambition d’exercer la profession de guide conférencier. Pour Léo, ses études en langues étrangères lui ont permis de décrocher ce job, qui l’aide également à confronter ses connaissances et enrichir toujours et encore sa pratique.

Le reportage de la rédaction / Léo et Lorenzo

 

Belle ambiance au Festival de la Paille ce week-end à Métabief.  Les festivaliers ne cachaient pas leur plaisir de pouvoir enfin se retrouver après deux éditions annulées en raison de la crise sanitaire. L’ambiance au camping et  ces belles soirées au pied des pistes à écouter les concerts leur manquaient.

Certes, une majorité de 16-25 ans ne s’est pas retrouvée dans la programmation du vendredi, mais celle du samedi les a incités à franchir le pas. Pour beaucoup, la Paille n’est qu’une étape, la région et la Suisse voisine regorgent de rendez-vous musicaux qu’il ne faut absolument pas manquer. Une chose est certaine, quel plaisir de revoir ces ambiances festives, et parfois arrosées. Ca nous manquait !

Le reportage de la rédaction

Pierre Mangeard a débuté ce samedi le tour aérien des jeunes pilotes à Chambéry. Jusqu’au 31 juillet, il participe à de nombreuses épreuves, avec pour objectif de figurer parmi les meilleurs dans cette épreuve. Rappelons que Pierre, ce jeune étudiant jurassien, actuellement en 3è année d’école d’ingénieur en aéronautique, porte les couleurs du Haut-Doubs et de l’aéroclub de Pontarlier. Soutenu par Sylvain Goeffriault, son instructeur, le jeune homme fait partie des 45 meilleurs jeunes pilotes de France, sélectionnés pour participer à ce challenge. Désireux de devenir pilote professionnel, Pierre a conscience que la participation à cet évènement est une véritable opportunité pour percer. « L’intérêt est surtout de pouvoir se créer un réseau et des contacts qui seront précieux pour plus tard » précise-t-il.

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Enchainer les épreuves

Durant cette quinzaine, le jeune pilote et ses 44 autres amis, mais non moins concurrents, s’affrontent sur des épreuves théoriques et pratiques. Au programme de ce tour de France  : maniabilité de l’avion, enregistrement GPS, propreté de l’avion, recyclage de l’appareil, législation, épreuves théoriques, travail en équipe, … . Malgré la chaleur et la fatigue, Pierre n’a pas envie de décevoir. Il a conscience de la chance qu’il a de pouvoir participer à ce grand évènement national. Chaque jour et chaque instant sont formateurs. Les débriefings journaliers des instructeurs sont très attendus et permettent d’interroger sa pratique et d’enrichir sa formation.

L'interview de la rédaction

Permettre à tout un chacun de vivre pleinement ces vacances d’été, c’est l’objectif des temps d’animation organisés tout au long de ces mois de juillet et août par la ville de Besançon. Vital’été en fait partie. L’évènement bisontin se déroule sur les sites de Malcombe et de la forêt de Chailluz. Les animations plaisent. Depuis leur lancement, le 8 juillet dernier, elles rencontrent leur public.

Selon les chiffres communiqués par le service des sports, quotidiennement, ce sont en moyenne 500 visiteurs qui sont enregistrés à la Malcombe. Soit 3200 personnes  depuis une quinzaine de jours. A Chailluz, 1400 visiteurs ont été comptabilisés depuis le début de l’opération. « Les enfants doivent avoir des moments de plaisir, de détente, de découverte et d’éducation. Certains ne partiront pas en vacances. Nous souhaitons également qu’ils puissent sortir de leur quartier » explique Anne Vignot, la maire de Besançon.

Un moment familial

On vient la plupart du temps en famille pour participer à cet évènement. Les parents apprécient de pouvoir partager ces instants avec leurs enfants. D’ailleurs, le choix des activités s’effectue collégialement entre jeunes et adultes. A Vital’Eté, chacun peut y trouver son bonheur. Il y en a pour tous les goûts. Au programme : VTT, rugby, tir à l’arc, biathlon, tennis de table, football américain… .  Beaucoup de jeunes découvrent des disciplines. Ce qui peut susciter des envies et vocations.

Vital ‘Eté est ouvert à la Malcombe et en forêt de Chailluz durant tout l’été. Toutes les infos sont à retrouver sur le site internet de la ville de Besançon. 

Le reportage de la rédaction

Depuis le 10 juillet, une vingtaine de jeunes venus des quatre coins de la France entière participent à la restauration et à la sauvegarde de la Citadelle de Besançon. L’occasion d’apprendre à vivre en groupe, de rencontrer des gens différents, et de veiller à la préservation et à la sauvegarde du patrimoine français.

 

Des jeunes qui œuvrent pour le patrimoine

« Restaurer un monument est un prétexte pour faire de l’éducation populaire et apprendre à vivre ensemble » souligne Paloma Defert, directrice du camp chantier au Club du Vieux Manoir. Cette association d’utilité publique créée en 1952 et basée dans l’Oise, à Pontpoint, est un mouvement de jeunes qui œuvre pour la restauration du patrimoine. Elle organise des activités pour ces jeunes à la recherche de vacances originales et valorisantes. Le Club du Vieux Manoir intervient cet été sur une quinzaine de monuments, comme sur du patrimoine militaire ou encore de l’architecture religieuse comme de l’architecture de ville. Une occasion pour ces jeunes d’acquérir un savoir-faire, des compétences, et de partager une expérience de vie et de rencontrer des personnes différentes, en termes d’âge, de parcours, de vie.

 

Paloma Defert, directrice du camp chantier au Club du Vieux Manoir : 

 

Plusieurs chantiers d’envergure

Jusqu’au 24 juillet, la vingtaine de jeunes présents sur le monument de Vauban sont répartis en trois groupes et travaillent près de 5h par jour, sur des sites parfois cachés du regard des visiteurs. Leurs principales missions : dévégétaliser et remettre en valeur un pavage Vauban caché, dévégétaliser et rejointoyer un mur d’artillerie, et terminer l’ouverture d’un accès près de l’orillon 79, un mur en pierres sèches, dont la tête de mur va être achevée. Il s’agit d’un chantier commencé il y a deux ans, et cette restauration va permettre d’ouvrir cette partie au public.

 

 

Des motivations très différentes

Plusieurs raisons ont poussé ces jeunes à s’investir au sein du Club du Vieux Manoir, en partant dans toute la France veiller à la sauvegarde du patrimoine. Marie-Luce, 17 ans, qui vient de la région Paca, est passionnée d’histoire. « Ça me plait beaucoup de restaurer, et puis on rencontre des gens, c’est une belle expérience ! […] C’est la deuxième fois pour moi, ce sont des amis de mon chantier précédent qui étaient à Briançon qui m’ont parlé de Besançon. En plus c’est le même architecte, Vauban, donc je me suis lancé dans l’aventure même si j’habitais loin ! ». Concernant Hélène, qui vient de région parisienne, c’est son frère qui lui a transmis cette envie de s’investir dans la restauration du patrimoine. « Très jeune, il voulait travailler sur un chantier. Et puis est venu mon tour. Depuis, je reviens tous les ans, et je n’arrête plus ! » confie la jeune fille le sourire aux lèvres. Enfin, Corian, un « pur bisontin » comme il se définit, est présent sur ce chantier grâce à sa mère, qui est salariée au sein de la Citadelle. « Je suis là depuis bientôt quatre ans. Et je reviendrai aussi l’an prochain », affirme le jeune homme.

Une chose est sûre, un lien est commun à tous ces jeunes travailleurs plus motivés les uns que les autres : l’envie de revenir chaque année encore œuvrer pour la restauration du patrimoine, et partager des expériences de vie aux côtés de nombreux autres jeunes. D’ailleurs Paloma Defert le confirme, « le taux de retours est très impressionnant au sein de ces camps-chantiers. Encore plus que les colonies de vacances. C’est quelque chose qui séduit beaucoup les jeunes ».  

 

Marie-Luce : 

Hélène : 

Corian : 

 

Vendredi et samedi, le Tour de France passait dans notre région. A cette occasion, de nombreux francs-comtois ont pu profiter des festivités et de l’emballement sportif. Certains sont même allés jusqu'à arriver très tôt le matin ou la veille afin d'observer les coureurs au plus près. C’est le cas de deux jurassiens : Rémi et Baptiste, deux étudiants respectivement en école d’ingénieur et en audiovisuel qui ont profité du passage du Tour et des belles émotions que la grande boucle procure. 

MATEO TOUR 4

Se lever tôr pour voir les coureurs de près

 Les deux amis ont décidé de camper en tente dès la veille à la Planche des Belles filles pour assister à l’arrivée au sommet. “On a le projet avec nos potes de faire le GR20 en août et comme on avait déjà les tentes et le matériel on s’est dit autant venir la veille”. Ainsi, les deux jeunes de 21 ans se sont levés dès 7h du matin afin de réserver des bonnes places pour le passage des coureurs 10h plus tard. “Au début, y’avait que des personnes de l’organisation et les gens sont arrivés plus vers 10-11h”. L’étape entre Tomblaine et la “Super” Planche des belles filles a offert toutes ses promesses vendredi avec une dernière très grande difficulté qui a vu certains coureurs finir le parcours à pied. Les deux amis ont pu observer ce dénouement de près, “à 250m de l’arrivée” et voir leurs coureurs favoris passer. 

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Des fans de cyclisme ravis de ce passage dans la région

Le coureur que les deux compères auraient voulu voir gagner, c’est “Thibaut Pinot forcément”, originaire de la région. Ce ne fut pas le cas mais l’ambiance a au moins été au rendez-vous. Rémi, qui “pratique le cyclisme sur route depuis six ans”, était ravi de ce moment car pour lui “le vélo est une passion”. Il affirme : “je suis de très près le Tour donc c’est toujours un rendez vous quand il passe dans le coin”. 

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 Le reportage de la rédaction

Owen Tchernenko et son entraineur Dorian Young

L’élève du collège André Malraux Owen Tchernenko a réalisé une grande saison au sein du club nautique pontissalien. Âgé de 13 ans, il a atteint les minimas pour les championnats de France Jeunes dans l'épreuve de 50m nage libre. Il partira à Pau lundi avec son entraîneur pour espérer obtenir un résultat. 

Une passion née très tôt

Comme nous l’apprend le jeune Owen, la natation le suit depuis sa plus tendre enfance. Il a débuté la discipline “dès l’âge de 3 ans en Guyane”. Après avoir longuement hésité entre le football et le sport nautique, il s'est finalement orienté vers ce dernier car "depuis petit, il se sent bien dans l’eau”. Arrivé à Pontarlier il y a 3 ans pour débuter son collège, le jeune a réalisé une “progression fulgurante” selon son entraîneur Dorian Young. Il nous explique : “il a commencé au club en septembre 2020 et ça a été le confinement assez rapidement donc on l’a un peu découvert cette année”. Owen possède surtout un physique impressionnant pour son âge : “il grandit de 3 cm tous les mois” nous confie son entraîneur. Fort de ces conditions physiques, le jeune nageur pontissalien a pu réaliser des très bons temps dès le début de l’année. Grâce au travail de Dorian et de toute l’équipe du CNP, Owen a pu arriver au meeting de Montélimar la semaine dernière avec un objectif en tête : réaliser les minimas pour les championnats de France. 

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Owen devant la piscine du CNP

“Le mental aussi important que les physique”

Lors de ce meeting de Montélimar, Owen a réalisé un très bon temps dès les séries du matin : 26’89 alors que les minimas pour le 50m nage libre se trouvent à 26’69. Tout l'enjeu de la journée a été ensuite de maintenir Owen dans une bulle de concentration afin de gagner quelques dixièmes l’après midi. Ce sera chose faite avec un temps record de 26’62. Le jeune pontissalien partira donc aux championnats de France Jeunes de Pau qui se dérouleront du mardi 12 au vendredi 15 juillet. En plus de l’épreuve de 50m nage libre située mercredi, Owen aura l’occasion d'avoir “une nage bonus”, c'est-à-dire le 100m nage libre dans lequel il s'élancera vendredi. D’ici là, pour son entraîneur et toute l’équipe du CNP, l’objectif sera de "peaufiner les détails comme sur le start (le départ) où il peut gagner de nombreux dixièmes de secondes”. Surtout, pour Owen Tchernenko, “le travail mental est aussi important que le physique”. Lui qui possède un physique très avantageux par rapport à ses concurrents du même âge doit se concentrer sur sa force mentale “si importante pour ne pas lâcher en pleine course”. Ainsi, Owen et Dorian travaillent autant sur “des exercices physiques que des exercices de méditation, de concentration”. 

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Owen au milieu de ses coéquipiers. Les résultats individuels se construisent aussi en équipe.

 

Pour Dorian Young, l’enjeu sera, pour les deux épreuves, “de finir dans les 16 dans les séries du matin ce qui pourrait nous rapprocher des meilleures places”. Owen Tchernenko n’a plus qu’à se lancer dans le grand bain.

De tels résultats nécessitent une équipe d'entraîneurs impliqués derrière. Le CNP, qui manque d’un entraîneur pour la saison prochaine, fait un appel à l’embauche. Si vous êtes intéressés, envoyez un mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

 

L'interview de la rédaction / Owen Tchernenko et Dorian Young    

 
 

Dans quelques jours, un jeune pilote de l’aéroclub de Pontarlier, Pierre Mangeard (20 ans), originaire du Haut-Jura, actuellement en 3è année d’école d’ingénieur en aéronautique, après avoir décroché son baccalauréat au lycée Les Augustins de Pontarlier, va participer au tour aérien des jeunes pilotes, dont le coup d’envoi sera donné le 16 juillet à Chambéry. Soit deux semaines de compétition, organisées par la fédération française d’aéronautique, à laquelle 45 jeunes pilotes, triés sur le volet, participeront. Au programme  de ce tour de France  : maniabilité de l’avion, enregistrement GPS, propreté de l’avion, recyclage de l’appareil, législation, épreuves théoriques, travail en équipe, … . L’objectif étant d’identifier les jeunes pilotes de demain. « C’est un véritable passeport pour l’avenir. Un tremplin professionnel. Il permet également de se créer un véritable réseau » explique Sylvain Geoffriault, l’instructeur du jeune homme, qui connaît parfaitement les rouages et les exigences de l’épreuve.

aviation pierre

Une sélection exigeante

Pour en arriver là, Pierre Mangeard a dû se montrer à la hauteur. Après trois annulations successives en raison de la crise sanitaire, l’épreuve peut enfin se dérouler en 2022. Pour figurer dans cette dream team de jeunes pilotes français, le Pontissalien a franchi les étapes réglementaires. A savoir, des présélections et une sélection nationale qui s’est tenue fin mai. « Le but est aussi de démocratiser ce domaine  et casser cette image que l’aviation est réservée à une élite richissime ». Et de conclure : « N’importe qui peut venir prendre des cours ». Pierre le promet, il saura rendre à tous ceux qui l’ont aidé à progresser l’accompagnement nécessaire pour qu’ils découvrent cette discipline et la pratiquent, pourquoi pas, à leur tour.

L'interview de la rédaction / Pierre Mangeard et Sylvain Geoffriault

 

C’est le retour des séances de cinéma en plein air à Pontarlier. Le collectif « Parloncap », qui regroupe la Maison de quartier des Pareuses, la Maison Pour Tous des  Longs Traits, la MJC des Capucins et le Centre Social Berlioz, propose, en partenariat avec la Ville de Pontarlier et la Communauté de Communes du Grand Pontarlier, plusieurs soirées.  Du cinéma pour toute la famille.  Au programme, cinq séances gratuites. Renseignements au 03.81.38.81.96 ou Cinéma en plein air - Ville de Pontarlier (ville-pontarlier.fr)

Pénalisé par la réouverture tardive de la patinoire Lafayette, le Besançon Doubs Hockey Club a eu du mal à faire le plein de jeunes adhérents cette saison. Le club bisontin veut faire mieux lors de la reprise en septembre prochain.

 

Dix longs mois de fermeture. Censée rouvrir en septembre dernier, la patinoire Lafayette avait finalement pu accueillir les clubs et le public en novembre 2021 uniquement. La faute aux restrictions sanitaires puis à un problème technique lié au condensateur, qui s'est retrouvé hors service. Le club du Besançon Doubs Hockey et ses équipes, qui pratiquent sur la glace de Lafayette, s'en sont retrouvés bien embêtés. « Nous étions en novembre lorsque la patinoire a rouvert. En général c'est en septembre que l'on choisit son sport et on ne revient pas à autre chose après », déplore Bénédicte Leclerc, présidente du club, lorsqu'il est l'heure de faire le bilan.

 

Faire mieux la saison prochaine

 

Les dirigeantes du Besançon Doubs Hockey Club espèrent donc remplir leurs sections jeunes pour la saison en approche. « Nous avons reçu beaucoup d'appels de personnes intéressées par l'idée de rejoindre le club. Nous allons également participer à des actions comme celle de ''TrouveTonSport'' au complexe Léo Lagrange mercredi prochain », poursuit la présidente du club, qui rappelle que les inscriptions sont toujours ouvertes à tous et à toutes.

L'interview de la rédaction / Bénédicte Leclerc, présidente du club