Les 21 et 22 juin, la Pontacup célèbrera sa 20e édition sur les terrains du CA Pontarlier, au complexe Paul Robbe. Pas moins de 768 jeunes joueurs, répartis en 64 équipes U11 et U13, fouleront les pelouses pour un tournoi placé sous le signe « du plaisir, du respect et de la convivialité ». On notera la présence de gros clubs du département avec comme chef de
file le FC Sochaux Montbéliard en U13. Les organisateurs annoncent également la présence d’un club nordiste et de deux clubs suisses. Le suivi des résultats et des matchs sera effectué en temps réel, via une application dédiée. Cette 20ème édition sera parrainée par Virgile Piechocki, un ancien joueur du CAP passés par plusieurs clubs pro comme Reims et le Gazélec Ajaccio. Le public est attendu nombreux pour encourager ces jeunes talents venus de tout le département… et au-delà .
Au collège Mont-Miroir de Maîche, les projets pédagogiques ne sont pas de simples compléments aux cours, mais bien des leviers de sens, d’engagement et de citoyenneté. Cette année, Laurie Carrez, professeure d’histoire-géographie et d’enseignement moral et civique, a engagé ses classes dans différents concours nationaux. Ils permettent aux élèves de sortir du cadre scolaire traditionnel pour explorer, comprendre et incarner les valeurs de la République.
Des concours pour apprendre autrement
Pour l’enseignante, ces projets sont une véritable colonne vertébrale pédagogique : « Pour moi, c’est ce qui donne tout son sens à mon métier. C’est un moment fort de partage avec les élèves, où ils sont réellement investis, stimulés, et où l’on peut transmettre nos valeurs communes » explique-t-elle. Ainsi, plusieurs classes du collège ont participé à des concours académiques et nationaux avec des résultats remarquables. Lors du concours National de la Résistance et de la Déportation (CNRD), la classe de 3e2 a décroché le podium, au niveau académique, grâce à son projet original « Le Landau de la Liberté », un travail symbolique sur la Résistance et la mémoire locale. Un autre projet de 3e a permis aux élèves d’explorer la thématique du harcèlement scolaire, pour lequel les jeunes ont décroché la 3e place au niveau académique du concours « non au harcèlement ». Enfin, la classe de 5e I a remporté le Grand Prix « collège national » du concours « #ZéroCliché » du CLEMI, avec sa vidéo « Au cœur des métiers », dénonçant les stéréotypes de genre dans le monde professionnel.
L'interview de la rédaction : Laurie Carrez, professeure d’histoire-géographie et d’enseignement moral et civique
Journalisme, mémoire et engagement : des élèves acteurs du monde
Le projet « #ZéroCliché », primé à Paris à la Maison de la Radio, le 5 juin dernier, illustre à merveille cette pédagogie active. Les élèves de 5e I se sont glissés dans la peau de journalistes pour interroger des professionnels aux parcours atypiques : une conductrice de travaux et un maïeuticien (sage-femme au masculin), entre autres. Ils ont exploré leurs témoignages et les stéréotypes auxquels ces professionnels ont dû faire face. « Les élèves ont ensuite conçu un sondage distribué à l’ensemble du collège, élèves et parents, pour mieux cerner les représentations sur les métiers », explique leur enseignante. Les résultats ont permis de dégager des pistes de réflexion sur la lutte contre les stéréotypes de genre à l’école et dans la société.
Une pédagogie ancrée dans la réalité
Tous ces projets s’inscrivent dans les enseignements d’histoire, d’EMC et d’éducation aux médias. Ils offrent aux élèves la possibilité de s’exprimer autrement, de prendre confiance en eux, et surtout de comprendre qu’ils ont un rôle à jouer dans la société. « Ces démarches permettent de croiser les savoirs scolaires avec des enjeux réels. Les élèves apprennent à argumenter, à débattre, à écouter… mais aussi à agir », souligne Laurie Carrez.
L'interview de la rédaction : Laurie Carrez, professeure d’histoire-géographie et d’enseignement moral et civique
Une école ouverte, moderne et responsable
Le collège Mont-Miroir prouve ainsi que l’école peut être un lieu vivant, où les apprentissages se construisent autour de projets concrets, sensibles et citoyens. Des moments qui laissent une empreinte durable chez les élèves et les aident à se forger une conscience sociale et critique.
Ce 18 juin, date hautement symbolique, s’est tenue à Besançon la cérémonie de remise des prix académiques du Concours National de la Résistance et de la Déportation (CNRD). Au cœur de cette manifestation : des élèves engagés, des enseignants passionnés, et une mémoire collective plus vivante que jamais. Rencontre avec Sylvain Gland, inspecteur d’histoire-géographie et référent académique mémoire-citoyenneté, et avec Mme Laurie Carrez, professeure d’histoire géographie et Amandine et Ryan, deux élèves du collège Mont Miroir de Maîche, récompensés pour leur projet créatif « Le Landau de la Liberté ».
« Incarner la mémoire »
« Aujourd’hui, nous récompensons des travaux collectifs d’élèves sélectionnés au niveau départemental et académique, certains étant d’ores et déjà qualifiés pour concourir au niveau national », explique Sylvain Gland. La cérémonie met en lumière l’originalité des projets proposés, souvent loin des simples dissertations : vidéos, maquettes, journaux, et même objets symboliques, tels que le « Landau de la Liberté ». Autant de manières, selon l’inspecteur, d’« incarner la mémoire de la Résistance et de la Déportation », de la rendre tangible et personnelle aux yeux des jeunes générations.
L'interview de la rédaction :Sylvain Gland, inspecteur d’histoire-géographie et référent académique mémoire-citoyenneté
Récompense également pour ce groupe de lycéennes du lycée Louis Pergaud de Besançon
Le projet du collège de Maîche : un travail collectif et symbolique
Guidés par leur enseignante Laurie Carrez, les élèves de 3e2 ont mené un projet à forte portée symbolique. « Nous sommes partis d’un landau trouvé sur Le Bon Coin, que les élèves ont décoré avec des dessins évoquant la Résistance en Franche-Comté. À l’intérieur, une colombe blanche représente la paix retrouvée », explique l’enseignante. À travers une vidéo poignante, les élèves prennent la parole pour « raconter à la colombe » les faits marquants de cette période historique, avant de conclure par une chanson composée et chantée par eux-mêmes, en hommage aux libérateurs.
L'interview de la rédaction :Laurie Carrez, professeure d'histoire géographie au collège Mont Miroir de Maîche
La mémoire comme révélation personnelle
Pour Amandine, 15 ans, ce travail fut une découverte : « On a appris des choses qu’on ne savait pas. On a découvert qu’au château Montalembert, il y avait eu des personnes importantes pendant la guerre. » Son camarade Ryan renchérit : « Pour nous, Maîche, c’était juste une petite ville. Maintenant, on sait que de Gaulle, Churchill y sont passés. On est fiers » Tous deux témoignent d’un changement de regard sur leur histoire locale et sur leur rôle dans la transmission : « On peut en parler autour de nous, sur les réseaux. On devient un peu les ambassadeurs de cette mémoire. »
L'interview de la rédaction : Amandine et Ryan, deux élèves du collège Mont Miroir de Maîche
Le CNRD, un concours d'engagement citoyen
Pour Sylvain Gland, ce concours est bien plus qu’un exercice scolaire. « Il s’agit d’une pédagogie du détour : plutôt qu’un cours magistral, c’est une expérience concrète, humaine. Les élèves interrogent des témoins, fouillent dans les archives familiales, confrontent l’histoire nationale à celle de leur village. Et ils deviennent, de fait, les passeurs d’une mémoire qui ne doit pas s’éteindre. » L’édition 2025 du concours s’achève, mais déjà se dessine celle de l’an prochain, avec un thème inédit : « Juger les crimes contre l’humanité », couvrant une période élargie jusqu’en 1948 pour évoquer les procès d’après-guerre et la Déclaration universelle des droits de l’homme. Un thème riche, aux forts échos contemporains.
Récompense également pour des élèves du collège de Pont de Roide
Une mémoire en héritage
À l’heure où les derniers témoins directs disparaissent, les élèves du collège de Maîche et tant d’autres participants au CNRD nous rappellent que la mémoire vivante passe désormais par leurs voix. Grâce à des projets comme « Le Landau de la Liberté », ils incarnent une transmission active, porteuse de sens et de vigilance.
Une leçon d’histoire, et surtout, une leçon de citoyenneté
Depuis lundi, le lycée Jules Haag de Besançon accueille un stage de cohésion du Service National Universel (SNU). 115 jeunes garçons et filles, originaires de Bourgogne Franche-Comté, âgés entre 15 et 17 ans,, participent à ce séjour. Ils sont tous volontaires. Cette année, cette initiative s’inscrit pleinement dans le cadre du stage de seconde, qui se déroule actuellement. La rédaction a rencontré Samuel Rouzet, Directeur de l"inspection acadélmique du Doubs, Moulay Jamaa, chef de centre SNU à Besançon, ainsi que trois jeunes volontaires, Noah, Elisabeth et Victorien, un jeune en situation de handicap. Tous participaient, pour la première fois, à une cérémonie patriotique, organisée au monument aux morts des Glacis, à l’occasion des commémorations liées à l’appel du 18 juin du Général de Gaulle.
Le rôle central de l’Éducation nationale
Le SNU est bien plus qu’un simple séjour : il s’inscrit dans une logique éducative pilotée en grande partie par l’Éducation nationale. « Le séjour de cohésion est un prolongement naturel des projets engagés dès la classe de seconde », explique Samuel Rouzet, directeur de l’inspection académique du Doubs. Ce séjour, qui dure une douzaine de jours, mobilise de nombreux partenaires sur des thématiques proposées par le ministère : citoyenneté, développement durable, mémoire, défense ou encore sport. Les jeunes y bénéficient aussi de formations pratiques, comme les premiers secours.
L'interview de la rédaction : Samuel Rouzet, directeur de l'inspection académique du Doubs
Un cadre structurant et une pédagogie pensée
Pour Moulay Jamaa, chef de centre depuis 2022, le SNU n’est ni une initiation militaire, ni un service obligatoire : « On vise la cohésion, pas l'uniforme. L’idée est d’éveiller chez les jeunes un esprit d’engagement, dans le bénévolat, les associations ou même au service de leur mairie ». Les 115 jeunes sont répartis en "maisonnées" de 14 encadrés par un tuteur titulaire du BAFA, ils vivent au quotidien une organisation rigoureuse, rythmée par des temps collectifs, des activités de réflexion et de formation. « C’est un projet pédagogique à part entière, avec des objectifs partagés entre l’État, les familles et les jeunes eux-mêmes. »
L'interview de la rédaction : Moulay Jamaa, chef de centre SNU à Besançon
Paroles de jeunes : « On apprend à se dépasser »
Pour Noah (16 ans), le choix du SNU a été motivé par la curiosité et l’envie de sortir de sa zone de confort. « C’est une expérience qu’on ne vivra pas deux fois. Je voulais me tester dans un cadre nouveau, plus strict, mais aussi très enrichissant ». Elisabeth souligne l'importance des valeurs inculquées : « On apprend le respect, la solidarité, et on comprend mieux ce que veut dire faire partie d'une communauté. ». Victorien, jeune en situation de handicap, ne cache pas son plaisir et sa fierté d’être présent. Il y voit ‘une mission accomplie ». l’adolescent dit « avoir osé » et trouvé toute sa place au sein de ce collectif. « Ici, on est tous frères » ajoute-t-il. Et de terminer : « Avant, j’étais très timide. Ici, j’ai appris à oser, à m’ouvrir. On est tous égaux, on s’entraide, on se respecte. Ce séjour m’a transformé» Beaucoup de ces ados prolongeront leur expérience par une mission d’intérêt général ou un engagement dans une association. Certains envisagent de passer le BAFA, d’autres souhaitent s’impliquer dans des causes comme le don du sang ou le sport associatif.
Les interviews de la rédaction : Victorien,Noah et Elisabeth
Un idéal encore en construction
Si l’universalité du SNU reste un objectif ambitieux — seule une fraction des 750 000 jeunes concernés chaque année y participe actuellement — les équipes, les encadrants et les jeunes croient à son potentiel de transformation sociale. Comme le conclut Moulay Jamaa, « Ce programme sème des graines. Il faut du temps pour que ça pousse, mais les fruits seront là . Ce sont ces jeunes qui feront la France de demain. ». Difficile de savoir quel sera l’avenir de ce dispositif. Tant Emmanuel Macron, et encore plus en cette période de difficultés budgétaires, n'est jamais parvenu à lui donner la dimension souhaitée.
Une nouvelle vague de recrutement pour les policiers adjoints est ouverte jusqu’au 1er août. Pour postuler, il faut être de nationalité française, être âgé de 18 à 30 ans, être en bonne condition physique et moralement apte au service. Les sélections, prévues entre fin août et mi-septembre, comprennent une épreuve écrite et une épreuve sportive, suivies d’un entretien avec un jury. Affectations possibles à Besançon, Montbéliard-Héricourt et Pontarlier.
Inscription en ligne sur www.police-nationale.interieur.gouv.fr/nous-rejoindre. Pour obtenir de plus amples informations, il est possible d’envoyer un mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Le baccalauréat est une étape cruciale dans le parcours académique des élèves. L'édition 2025 apporte son lot de statistiques intéressantes qui permettent de mieux comprendre l'organisation et les enjeux de cet examen national dans l’académie de Besançon.
Nombre de candidats et catégories de baccalauréats
En Franche-Comté, le BAC 2025 accueille 11.515 candidats, dont 802 candidats individuels. La répartition des candidats par type de baccalauréat en 2025 est la suivante : 5 810 élèves se présentent au baccalauréat général, 3 306 optent pour le baccalauréat professionnel, tandis que 2 399 choisissent le baccalauréat technologique. En classe de Terminale, 1.155 candidats bénéficient d’aménagements spécifiques, tandis que 617 élèves de Première profitent de mesures adaptées.
Organisation des épreuves et correction
L’examen se déroule dans 41 centres pour le baccalauréat général et technologique, contre 46 centres pour le baccalauréat professionnel. La correction des copies du baccalauréat 2025 mobilise un total de 1 733 correcteurs, répartis ainsi : 863 pour le baccalauréat général et technologique, 661 pour le baccalauréat professionnel, et 209 pour les épreuves anticipées.
Volume de copies à corriger
Les correcteurs du baccalauréat 2025 doivent traiter 48 459 copies, réparties entre 17 430 pour le baccalauréat général, 7 197 pour le technologique, 15 682 pour le professionnel et 8 150 pour les épreuves anticipées.
Diversité des candidats
L'âge des candidats au baccalauréat 2025 reflète une grande diversité, allant de 16 ans pour les plus jeunes en filières générale et technologique, et 17 ans en filière professionnelle, jusqu'à 43 ans pour le plus âgé en général et technologique, et 61 ans en professionnel.
Indemnisation des correcteurs
Les enseignants participant à la correction des épreuves sont indemnisés à hauteur de 5 € par copie corrigée et 9,60 € par heure pour les épreuves orales.
Ce lundi 16 juin, plus de 530 000 lycéens des voies générale et technologique ont lancé les écrits du baccalauréat 2025 avec la traditionnelle épreuve de philosophie. Dès 8 heures du matin, les élèves se sont confrontés à des sujets mêlant réflexion personnelle et culture philosophique. Les candidats de la voie générale avaient le choix entre deux dissertations : « Notre avenir dépend-il de la technique ? » et « La vérité est-elle toujours convaincante ? ». Ils pouvaient également s’atteler à un commentaire de texte portant sur un extrait de La Théorie de la Justice de John Rawls (1971), qui aborde les notions de démocratie et d’égalité de traitement des citoyens.
Pour les élèves de la voie technologique, les sujets étaient : « Sommes-nous libres en toutes circonstances ? » et « Avons-nous besoin d’art ? ». Le commentaire de texte portait, quant à lui, sur un extrait de Théorie des sentiments moraux d’Adam Smith (1789). Bien que toujours redoutée, cette épreuve de philosophie revêt des enjeux allégés depuis la réforme du lycée, qui a modifié le poids des différentes épreuves dans la note finale du baccalauréat.
Ce lundi, marque le coup d’envoi du bac général et technologique pour plus de 724.000 candidats en France, dont près de 200.000 pour la seule filière professionnelle. La traditionnelle épreuve écrite de philosophie lance les hostilités. Les épreuves se dérouleront jusqu’au 2 juillet. Les résultats seront connus le 4 juillet. Elles seront suivies des épreuves de rattrapage jusqu’au 9 juillet.
Ce week-end, le football français célèbre sa relève. La Journée nationale des débutants bat son plein dans tout l’Hexagone, et le district Doubs Territoire-de-Belfort, présidé par Daniel Rollet, , n’échappe pas à la règle. Ce dimanche après-midi, sur le stade Léo Lagrange de Besançon , des centaines de jeunes footballeurs des catégories U7 et U9 ans ont participé à cette grande fête du ballon rond. La veille, un millier de jeunes footballeurs ont disputé une compétition identique à Pontarlier et Grandvillars.
L'interview de la rédaction : Daniel Rollet, président du district Doubs Territoire-de-Belfort
Un événement à grande échelle
« La Journée nationale des débutants, c’est avant tout un moment festif, qui clôture la saison des plus jeunes licenciés », explique Daniel Rollet. Sur son secteur, l’organisation s’étale sur plusieurs sites : « Nous recevons environ 3 000 enfants au total. Ils viennent en quatre séries de 250 gamins environ, qui restent deux à trois heures sur place, le temps de participer aux activités et de recevoir leurs récompenses. » Le dispositif impressionne par son organisation millimétrée, mobilisant éducateurs, bénévoles et parents tout au long de la journée.
L'interview de la rédaction : Daniel Rollet, président du district Doubs Territoire-de-Belfort
Une journée de formation et de plaisir
Au-delà de la fête, cette journée reste un moment d’apprentissage. « Jusqu’à 13 ans, le football reste de la formation, de la pré-formation même. Il est essentiel de leur inculquer les fondamentaux du jeu. On ne se contente pas de faire des matchs », souligne le président du district. Les jeunes alternent ainsi entre matchs et ateliers techniques. « Ils effectuent huit rotations : des matchs et des exercices. C’est très varié. »
Un moment symbolique pour les enfants et les clubs
Pour Daniel Rollet, après un passage la veille à l’Assemblée générale de la Fédération française de football, sa présence revêt une importance particulière. « C’est important d’être là . Je remets moi-même les médailles aux enfants. Ce sont eux qui représentent l’avenir de notre football ». Le choix du lieu n’est pas non plus anodin : « Être sur le stade Léo Lagrange, c’est exceptionnel pour ces jeunes. Ils en ont plein les yeux. Un grand merci à la ville de nous prêter ses installations. »
L'interview de la rédaction : Daniel Rollet, président du district Doubs Territoire-de-Belfort
Au terme de cette journée, il restera bien plus que des médailles autour des cous : des souvenirs inoubliables pour des milliers d’enfants et la confirmation de l’engagement du district pour faire vivre le football dès le plus jeune âge.
Pontarlier innove en lançant une nouvelle version de l'application IntraMuros, désormais pensée spécifiquement pour les 15-25 ans. Accessible gratuitement sur l'App Store et Google Play, cette plateforme mobile devient un véritable compagnon de poche pour la jeunesse locale.
L’information locale au bout des doigts
Avec IntraMuros, les jeunes Pontissaliens peuvent suivre toute l'actualité de leur ville et de la région : festivals, concerts, forums, conférences, compétitions sportives ou rencontres associatives. Grâce à un système d’alertes personnalisables, ils ne manqueront aucun événement majeur.
Des démarches administratives simplifiées
L’application ne se limite pas à l’agenda culturel. Elle propose également un accès simplifié à de nombreuses démarches administratives. En quelques clics, les jeunes peuvent, par exemple, remplir un formulaire d’inscription aux Chantiers Jeunes, consulter les documents nécessaires à l'appel à projets "Initiatives Jeunes", ou suivre l’avancée de leurs dossiers en temps réel.
Un outil complet au service du quotidien
Pensée comme une véritable boîte à outils, IntraMuros centralise une mine d’informations utiles : aides financières, dispositifs de mobilité internationale, ressources en santé mentale, liste des associations locales, contacts de professionnels de santé, numéros d’urgence, offres de stages et d’emplois saisonniers. Une rubrique "Journal" permet aussi de rester informé des opportunités et bons plans à proximité.
Une application participative et collaborative
Enfin, IntraMuros se veut aussi interactive : les jeunes utilisateurs sont invités à participer à l’amélioration de leur ville et de l’application via une "boîte à idées". Une manière concrète d’impliquer la jeunesse dans la vie locale et de favoriser le dialogue avec les services municipaux.
Avec IntraMuros, Pontarlier mise sur le numérique pour mieux accompagner sa jeunesse au quotidien.