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Permettre à tout un chacun de vivre pleinement ces vacances d’été, c’est l’objectif des temps d’animation organisés tout au long de ces mois de juillet et août par la ville de Besançon. Vital’été en fait partie. L’évènement bisontin se déroule sur les sites de Malcombe et de la forêt de Chailluz. Les animations plaisent. Depuis leur lancement, le 8 juillet dernier, elles rencontrent leur public.

Selon les chiffres communiqués par le service des sports, quotidiennement, ce sont en moyenne 500 visiteurs qui sont enregistrés à la Malcombe. Soit 3200 personnes  depuis une quinzaine de jours. A Chailluz, 1400 visiteurs ont été comptabilisés depuis le début de l’opération. « Les enfants doivent avoir des moments de plaisir, de détente, de découverte et d’éducation. Certains ne partiront pas en vacances. Nous souhaitons également qu’ils puissent sortir de leur quartier » explique Anne Vignot, la maire de Besançon.

Un moment familial

On vient la plupart du temps en famille pour participer à cet évènement. Les parents apprécient de pouvoir partager ces instants avec leurs enfants. D’ailleurs, le choix des activités s’effectue collégialement entre jeunes et adultes. A Vital’Eté, chacun peut y trouver son bonheur. Il y en a pour tous les goûts. Au programme : VTT, rugby, tir à l’arc, biathlon, tennis de table, football américain… .  Beaucoup de jeunes découvrent des disciplines. Ce qui peut susciter des envies et vocations.

Vital ‘Eté est ouvert à la Malcombe et en forêt de Chailluz durant tout l’été. Toutes les infos sont à retrouver sur le site internet de la ville de Besançon. 

Le reportage de la rédaction

Depuis le 10 juillet, une vingtaine de jeunes venus des quatre coins de la France entière participent à la restauration et à la sauvegarde de la Citadelle de Besançon. L’occasion d’apprendre à vivre en groupe, de rencontrer des gens différents, et de veiller à la préservation et à la sauvegarde du patrimoine français.

 

Des jeunes qui œuvrent pour le patrimoine

« Restaurer un monument est un prétexte pour faire de l’éducation populaire et apprendre à vivre ensemble » souligne Paloma Defert, directrice du camp chantier au Club du Vieux Manoir. Cette association d’utilité publique créée en 1952 et basée dans l’Oise, à Pontpoint, est un mouvement de jeunes qui œuvre pour la restauration du patrimoine. Elle organise des activités pour ces jeunes à la recherche de vacances originales et valorisantes. Le Club du Vieux Manoir intervient cet été sur une quinzaine de monuments, comme sur du patrimoine militaire ou encore de l’architecture religieuse comme de l’architecture de ville. Une occasion pour ces jeunes d’acquérir un savoir-faire, des compétences, et de partager une expérience de vie et de rencontrer des personnes différentes, en termes d’âge, de parcours, de vie.

 

Paloma Defert, directrice du camp chantier au Club du Vieux Manoir : 

 

Plusieurs chantiers d’envergure

Jusqu’au 24 juillet, la vingtaine de jeunes présents sur le monument de Vauban sont répartis en trois groupes et travaillent près de 5h par jour, sur des sites parfois cachés du regard des visiteurs. Leurs principales missions : dévégétaliser et remettre en valeur un pavage Vauban caché, dévégétaliser et rejointoyer un mur d’artillerie, et terminer l’ouverture d’un accès près de l’orillon 79, un mur en pierres sèches, dont la tête de mur va être achevée. Il s’agit d’un chantier commencé il y a deux ans, et cette restauration va permettre d’ouvrir cette partie au public.

 

 

Des motivations très différentes

Plusieurs raisons ont poussé ces jeunes à s’investir au sein du Club du Vieux Manoir, en partant dans toute la France veiller à la sauvegarde du patrimoine. Marie-Luce, 17 ans, qui vient de la région Paca, est passionnée d’histoire. « Ça me plait beaucoup de restaurer, et puis on rencontre des gens, c’est une belle expérience ! […] C’est la deuxième fois pour moi, ce sont des amis de mon chantier précédent qui étaient à Briançon qui m’ont parlé de Besançon. En plus c’est le même architecte, Vauban, donc je me suis lancé dans l’aventure même si j’habitais loin ! ». Concernant Hélène, qui vient de région parisienne, c’est son frère qui lui a transmis cette envie de s’investir dans la restauration du patrimoine. « Très jeune, il voulait travailler sur un chantier. Et puis est venu mon tour. Depuis, je reviens tous les ans, et je n’arrête plus ! » confie la jeune fille le sourire aux lèvres. Enfin, Corian, un « pur bisontin » comme il se définit, est présent sur ce chantier grâce à sa mère, qui est salariée au sein de la Citadelle. « Je suis là depuis bientôt quatre ans. Et je reviendrai aussi l’an prochain », affirme le jeune homme.

Une chose est sûre, un lien est commun à tous ces jeunes travailleurs plus motivés les uns que les autres : l’envie de revenir chaque année encore œuvrer pour la restauration du patrimoine, et partager des expériences de vie aux côtés de nombreux autres jeunes. D’ailleurs Paloma Defert le confirme, « le taux de retours est très impressionnant au sein de ces camps-chantiers. Encore plus que les colonies de vacances. C’est quelque chose qui séduit beaucoup les jeunes ».  

 

Marie-Luce : 

Hélène : 

Corian : 

 

Vendredi et samedi, le Tour de France passait dans notre région. A cette occasion, de nombreux francs-comtois ont pu profiter des festivités et de l’emballement sportif. Certains sont même allés jusqu'à arriver très tôt le matin ou la veille afin d'observer les coureurs au plus près. C’est le cas de deux jurassiens : Rémi et Baptiste, deux étudiants respectivement en école d’ingénieur et en audiovisuel qui ont profité du passage du Tour et des belles émotions que la grande boucle procure. 

MATEO TOUR 4

Se lever tôr pour voir les coureurs de près

 Les deux amis ont décidé de camper en tente dès la veille à la Planche des Belles filles pour assister à l’arrivée au sommet. “On a le projet avec nos potes de faire le GR20 en août et comme on avait déjà les tentes et le matériel on s’est dit autant venir la veille”. Ainsi, les deux jeunes de 21 ans se sont levés dès 7h du matin afin de réserver des bonnes places pour le passage des coureurs 10h plus tard. “Au début, y’avait que des personnes de l’organisation et les gens sont arrivés plus vers 10-11h”. L’étape entre Tomblaine et la “Super” Planche des belles filles a offert toutes ses promesses vendredi avec une dernière très grande difficulté qui a vu certains coureurs finir le parcours à pied. Les deux amis ont pu observer ce dénouement de près, “à 250m de l’arrivée” et voir leurs coureurs favoris passer. 

MATEO TOUR PINOT

Des fans de cyclisme ravis de ce passage dans la région

Le coureur que les deux compères auraient voulu voir gagner, c’est “Thibaut Pinot forcément”, originaire de la région. Ce ne fut pas le cas mais l’ambiance a au moins été au rendez-vous. Rémi, qui “pratique le cyclisme sur route depuis six ans”, était ravi de ce moment car pour lui “le vélo est une passion”. Il affirme : “je suis de très près le Tour donc c’est toujours un rendez vous quand il passe dans le coin”. 

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 Le reportage de la rédaction

Owen Tchernenko et son entraineur Dorian Young

L’élève du collège André Malraux Owen Tchernenko a réalisé une grande saison au sein du club nautique pontissalien. Âgé de 13 ans, il a atteint les minimas pour les championnats de France Jeunes dans l'épreuve de 50m nage libre. Il partira à Pau lundi avec son entraîneur pour espérer obtenir un résultat. 

Une passion née très tôt

Comme nous l’apprend le jeune Owen, la natation le suit depuis sa plus tendre enfance. Il a débuté la discipline “dès l’âge de 3 ans en Guyane”. Après avoir longuement hésité entre le football et le sport nautique, il s'est finalement orienté vers ce dernier car "depuis petit, il se sent bien dans l’eau”. Arrivé à Pontarlier il y a 3 ans pour débuter son collège, le jeune a réalisé une “progression fulgurante” selon son entraîneur Dorian Young. Il nous explique : “il a commencé au club en septembre 2020 et ça a été le confinement assez rapidement donc on l’a un peu découvert cette année”. Owen possède surtout un physique impressionnant pour son âge : “il grandit de 3 cm tous les mois” nous confie son entraîneur. Fort de ces conditions physiques, le jeune nageur pontissalien a pu réaliser des très bons temps dès le début de l’année. Grâce au travail de Dorian et de toute l’équipe du CNP, Owen a pu arriver au meeting de Montélimar la semaine dernière avec un objectif en tête : réaliser les minimas pour les championnats de France. 

owen seul

Owen devant la piscine du CNP

“Le mental aussi important que les physique”

Lors de ce meeting de Montélimar, Owen a réalisé un très bon temps dès les séries du matin : 26’89 alors que les minimas pour le 50m nage libre se trouvent à 26’69. Tout l'enjeu de la journée a été ensuite de maintenir Owen dans une bulle de concentration afin de gagner quelques dixièmes l’après midi. Ce sera chose faite avec un temps record de 26’62. Le jeune pontissalien partira donc aux championnats de France Jeunes de Pau qui se dérouleront du mardi 12 au vendredi 15 juillet. En plus de l’épreuve de 50m nage libre située mercredi, Owen aura l’occasion d'avoir “une nage bonus”, c'est-à-dire le 100m nage libre dans lequel il s'élancera vendredi. D’ici là, pour son entraîneur et toute l’équipe du CNP, l’objectif sera de "peaufiner les détails comme sur le start (le départ) où il peut gagner de nombreux dixièmes de secondes”. Surtout, pour Owen Tchernenko, “le travail mental est aussi important que le physique”. Lui qui possède un physique très avantageux par rapport à ses concurrents du même âge doit se concentrer sur sa force mentale “si importante pour ne pas lâcher en pleine course”. Ainsi, Owen et Dorian travaillent autant sur “des exercices physiques que des exercices de méditation, de concentration”. 

owen potes

Owen au milieu de ses coéquipiers. Les résultats individuels se construisent aussi en équipe.

 

Pour Dorian Young, l’enjeu sera, pour les deux épreuves, “de finir dans les 16 dans les séries du matin ce qui pourrait nous rapprocher des meilleures places”. Owen Tchernenko n’a plus qu’à se lancer dans le grand bain.

De tels résultats nécessitent une équipe d'entraîneurs impliqués derrière. Le CNP, qui manque d’un entraîneur pour la saison prochaine, fait un appel à l’embauche. Si vous êtes intéressés, envoyez un mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

 

L'interview de la rédaction / Owen Tchernenko et Dorian Young    

 
 

Dans quelques jours, un jeune pilote de l’aéroclub de Pontarlier, Pierre Mangeard (20 ans), originaire du Haut-Jura, actuellement en 3è année d’école d’ingénieur en aéronautique, après avoir décroché son baccalauréat au lycée Les Augustins de Pontarlier, va participer au tour aérien des jeunes pilotes, dont le coup d’envoi sera donné le 16 juillet à Chambéry. Soit deux semaines de compétition, organisées par la fédération française d’aéronautique, à laquelle 45 jeunes pilotes, triés sur le volet, participeront. Au programme  de ce tour de France  : maniabilité de l’avion, enregistrement GPS, propreté de l’avion, recyclage de l’appareil, législation, épreuves théoriques, travail en équipe, … . L’objectif étant d’identifier les jeunes pilotes de demain. « C’est un véritable passeport pour l’avenir. Un tremplin professionnel. Il permet également de se créer un véritable réseau » explique Sylvain Geoffriault, l’instructeur du jeune homme, qui connaît parfaitement les rouages et les exigences de l’épreuve.

aviation pierre

Une sélection exigeante

Pour en arriver là, Pierre Mangeard a dû se montrer à la hauteur. Après trois annulations successives en raison de la crise sanitaire, l’épreuve peut enfin se dérouler en 2022. Pour figurer dans cette dream team de jeunes pilotes français, le Pontissalien a franchi les étapes réglementaires. A savoir, des présélections et une sélection nationale qui s’est tenue fin mai. « Le but est aussi de démocratiser ce domaine  et casser cette image que l’aviation est réservée à une élite richissime ». Et de conclure : « N’importe qui peut venir prendre des cours ». Pierre le promet, il saura rendre à tous ceux qui l’ont aidé à progresser l’accompagnement nécessaire pour qu’ils découvrent cette discipline et la pratiquent, pourquoi pas, à leur tour.

L'interview de la rédaction / Pierre Mangeard et Sylvain Geoffriault

 

C’est le retour des séances de cinéma en plein air à Pontarlier. Le collectif « Parloncap », qui regroupe la Maison de quartier des Pareuses, la Maison Pour Tous des  Longs Traits, la MJC des Capucins et le Centre Social Berlioz, propose, en partenariat avec la Ville de Pontarlier et la Communauté de Communes du Grand Pontarlier, plusieurs soirées.  Du cinéma pour toute la famille.  Au programme, cinq séances gratuites. Renseignements au 03.81.38.81.96 ou Cinéma en plein air - Ville de Pontarlier (ville-pontarlier.fr)

Pénalisé par la réouverture tardive de la patinoire Lafayette, le Besançon Doubs Hockey Club a eu du mal à faire le plein de jeunes adhérents cette saison. Le club bisontin veut faire mieux lors de la reprise en septembre prochain.

 

Dix longs mois de fermeture. Censée rouvrir en septembre dernier, la patinoire Lafayette avait finalement pu accueillir les clubs et le public en novembre 2021 uniquement. La faute aux restrictions sanitaires puis à un problème technique lié au condensateur, qui s'est retrouvé hors service. Le club du Besançon Doubs Hockey et ses équipes, qui pratiquent sur la glace de Lafayette, s'en sont retrouvés bien embêtés. « Nous étions en novembre lorsque la patinoire a rouvert. En général c'est en septembre que l'on choisit son sport et on ne revient pas à autre chose après », déplore Bénédicte Leclerc, présidente du club, lorsqu'il est l'heure de faire le bilan.

 

Faire mieux la saison prochaine

 

Les dirigeantes du Besançon Doubs Hockey Club espèrent donc remplir leurs sections jeunes pour la saison en approche. « Nous avons reçu beaucoup d'appels de personnes intéressées par l'idée de rejoindre le club. Nous allons également participer à des actions comme celle de ''TrouveTonSport'' au complexe Léo Lagrange mercredi prochain », poursuit la présidente du club, qui rappelle que les inscriptions sont toujours ouvertes à tous et à toutes.

L'interview de la rédaction / Bénédicte Leclerc, présidente du club

 

Dans le cadre du label “Terre de jeux” qui a été décerné à plus de 6 lieux au sein de l’agglomération de Besançon ainsi qu’aux villes de Valdahon, Pontarlier et Morteau, la ville de Besançon organise de nombreux évènements olympiques depuis 2019 en lien avec la jeunesse et les personnes en situation de handicap. Aujourd’hui, mardi 21 juin, avait donc lieu un nouvel évènement au complexe sportif Michel Vautrot qui consistait à faire pratiquer à 450 élèves de 18 écoles élémentaires bisontines différentes activités sportives et à les faire rencontrer Migna Touré, grande basketteuse professionnelle.

Un label avec plusieurs objectifs

Ce label « Terre de jeux » a été lancé par le comité olympique à l’annonce de l’obtention des Jeux à Paris en 2024. Il consiste à mettre plus de sport dans le quotidien des français en organisant des séances de pratiques et en faisant découvrir notamment les épreuves paralympiques. Aussi, la seconde volonté de ce label est de faire vivre à tous les émotions du sport et des jeux : il s’agit donc également d’organiser des retransmissions publiques des jeux ou des rencontres avec des athlètes. Cette journée du 21 juin correspondait donc aux deux objectifs et a pris place dans un processus d’initiatives sportives activé dès 2019 par la ville et le département du Doubs par l’obtention de ce label. Christine Bouquin, présidente du département du Doubs était allée à cette occasion directement à Paris en 2019 signer cette obtention auprès de Tony Estanguet, directeur du Comité Olympique. Reste à savoir si Besançon et le Doubs feront partis des têtes d’affiches des territoires lors de la remise des trophées « terre de jeux » organisé lors des Jeux Olympiques de 2024 qui décernera des prix aux lieux qui ont organisé les évènements les plus grandioses et innovants.

Migna Touré, une grande championne auprès de futurs champions ?

La basketteuse professionnelle de 27 ans possède l’un des plus beaux palmarès de la discipline en France. En effet, membre aujourd’hui du club de Lattes-Montpellier, elle a eu l’occasion de participer aux Jeux Olympiques de Tokyo avec l’équipe de 3X3 où elle est allée jusqu’en demi-finale. Elle a notamment été élue meilleure joueuse mondiale de cette discipline en 2021 et elle prépare actuellement les mondiaux de Sydney avec l’équipe de 5X5 qui se tiendront en septembre. Malgré toute cette préparation, Migna Touré a donc pris le temps de venir transmettre sa grande expérience aux plus jeunes lors de cette journée : une transmission d’autant plus importante dans sa vie qu’elle est également professeure d’EPS, en disponibilité dans l’agglomération de Lille. Elle intervient très régulièrement à la Faculté de Montpellier en Licence STAPS, elle sait donc que le partage, la transmission sont des éléments essentiels pour pouvoir faire naitre de nouveaux champions ou bien simplement des jeunes en bonne santé.

Une journée très active

Au-delà des rencontres et des séances d’autographe, la basketteuse a donc pu pratiquer directement avec les élèves toute sorte d’activités comme du vélo, de la course d’orientation, du badminton, du volley-ball ou encore du breakdance. Les disciplines étaient donc très variées et tout l’enjeu était là : faire découvrir aux jeunes les disciplines olympiques ou certaines qui pourraient être amenées à le devenir. Une grande excitation et une extase de pouvoir se défouler s’est observée chez tous les élèves qui prenaient tout de même leurs précautions en ces temps caniculaires.

 

 

Des sourires, de la joie, de la transpiration au programme de cette journée réussie. Les jeunes s’en souviendront longtemps et Migna Touré espère que ce genre d’événements peut les pousser à se lancer dans toute sorte d’activités sportives car selon elle, « le sport c’est la vie ! ».

 

L'interview de la rédaction / Migna Touré    

Le collège Victor Hugo de Besançon vient de se doter d’une boite à livres, un projet de partage de la lecture qui a trouvé écho auprès des adultes de l’établissement. A l’initiative de ce projet, une motivation commune entre une élève et Mr Minary, professeur de technologie. La réalisation de la structure a été confiée aux élèves de la classe UPE2A, un dispositif d’aide à l’apprentissage du français pour les jeunes nouvellement arrivés en France et Allophone.

Le concept est très intéressant. Il est basé sur la participation et la collaboration des élèves de l’établissement scolaire. Le principe ? Les collégiens sont invités à venir déposer des livres, accompagnés d’un commentaire du lecteur. L’ouvrage circule ainsi entre les jeunes. Un véritable temps de partage et d’échange autour de la littérature. A travers cette initiative, l’établissement scolaire bisontin répond une nouvelle fois encore favorablement à une proposition émanant de son jeune public.

Le reportage de Faïz, élève de 4è du collège Victor Hugo

Après une belle saison en niveau Excellence, les U15 féminines du club de handball de Vercel vont participer au tournoi international de la sanesCup 2022 à Barcelone en juillet prochain. Un projet ambitieux mais coûteux pour le club et les familles des joueuses.

La génération 2008 du club de handball de Vercel vient de valider une belle saison en Plateau Excellence. Un succès qui valide les belles performances répétées années après années par le groupe de joueuses. « Elles sont toujours bien placées au classement avec de très bons résultats. C'est une très belle génération », explique Sébastien Mignot, éducateur au club. Fortes de ces bons résultats, de nombreuses joueuses vont quitter le club cet été pour rejoindre différentes formations prometteuses. Sept d'entre elles vont rejoindre le comité du Doubs l'année prochaine, dont deux qui vont parfaire leur formation au pôle espoir de Besançon. Bien conscient de tout le travail réalisé par ses joueuses cette saison, Sébastien Mignot et l’entraîneur Frédéric Plancon veulent marquer le coup. Ils viennent donc d'inscrire la formation au tournoi international de Barcelone ( sanesCup ), qui se déroulera du 8 au 13 juillet prochain à Barcelone.

Un appel aux donations

Mais ce beau projet représente  un coût assez élevé pour le club de Vercel et les familles des joueuses. Afin d'alléger les dépenses, Sébastien Mignot appelle au don pour financer le rêve de ce groupe de jeunes joueuses prometteuses. « On a eu beaucoup de retours positifs de la part des commerces et des entreprises locales de Valdahon et des alentours. Nous recherchons toujours des mécènes et des généreux donateurs afin d’alléger la part à charge de chaque famille », indique l'éducateur, qui espère être entendu.

Pour aider le club à boucler son financement, n’hésitez pas à composer le 06.81.11.92.59 ou à écrivez à l’adresse mail suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

L'interview de la rédaction / Sébasrien Mignot