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C’est toujours un évènement très apprécié et qui rassemble un large public. Ce mercredi et ce jeudi se déroule à la foire comtoise de Besançon le concours prestige de la race montbéliarde. Ce jour est marqué par l’arrivée des vaches « jeunes » et « adultes » sur le ring, suivies des « espoirs » et « seniors » ce jeudi, avec en clou du spectacle l’élection de la reine du concours.

VACHE MICROPOLIS

Les éleveurs viennent de toute la Franche-Comté, d’Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie et Grand Est. Les animaux ont été sélectionnés par un jury d’experts qui est passé dans les fermes. 400 bêtes ont été inscrites. La moitié a été retenue. Soit 196 vaches montbéliardes.

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A quelques heures du concours, les agriculteurs bichonnent leurs bêtes. Elles doivent être les plus belles possibles pour séduire le jury, qui se montrera imparable et dressera un classement, qui tiendra compte d’un certain nombre de critères reconnaissant le savoir-faire des agriculteurs.

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L'interview de la rédaction

Enzo et Ethan, deux lycéens de terminale du lycée professionnel Saint Bégnigne de Pontarlier ont participé à la finale de la 1ère édition du concours « Mon chef-d’œuvre en 3 minutes chrono » au rectorat de Besançon le 10 mai dernier.

 Une bonne éloquence. C’est le critère principal des jurys du nouveau concours « Mon chef-d’œuvre en 3 minutes chrono ». C’est avec la réalisation de leur projet préparé dans le cadre du baccalauréat professionnel qu’une trentaine d’élèves de terminale se sont présentés à la finale du concours, organisé le 10 mai dernier à Besançon. Projet d’éducation,  organisé par le rectorat de Besançon en partenariat avec l’AMOPA, « Mon chef-d’œuvre en 3 minutes chrono » regroupe des élèves et apprentis de terminale professionnelle afin de leur permettre de faire un pas dans le monde professionnel.

Une brochure publicitaire et un poème, Enzo remporte le 1er prix

En solo ou en groupe, les élèves ont eu 3 minutes pour réaliser un condensé précis et succinct de leur travail. « J’étais super stressé, à la base je suis un peu timide mais finalement on est heureux de présenter notre projet ». Enzo, élève de terminale professionnelle métier de la sécurité a préparé une brochure publicitaire qui vise à intéresser les jeunes collégiens sur sa formation. La petite particularité que le lycéen a choisi d’apporter à son exposé est son interprétation sous forme de poème, ce qui a su charmer les jurys et lui a valu le 1er prix.

Une performance mise en avant

Cette première édition fut remplie de participants pleins d’ambitions. Ethan, camarade d’Enzo et élève de terminale métier de la sécurité du lycée Saint Bénigne fut également en finale du concours avec la présentation de son projet d’association « World Security » qui vise à informer et sensibiliser les collégiens en prenant exemple sur sa propre expérience. Le choix fut difficile, Ethan n’a pas remporté de prix mais sa performance a été mise en avant et félicitée par les jurys pour avoir présenté un travail admirable.

L'interview de la rédaction ./ Ethan et Enzo

Parler de la maladie autrement et Sensibiliser le plus grand nombre, dont notamment les jeunes, a une bonne hygiène de vie et aux dangers du tabac  tels sont les objectifs de la Color Life de Besançon, organisée par une équipe d’étudiants de l’IMEA et les bénévoles de la ligue contre le cancer dans le parc de la Gare d’Eau.

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Pour le professeur Bosset, le président de la ligue contre le cancer du Doubs, l’objectif est « de ne pas dramatiser la maladie ». Certes, les décès sont une réalité, mais il est important de porter aussi des messages d’espoir et de prévention ».

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1600 personnes

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1600 personnes ont participé à cette course colorée. Plusieurs départs étaient au programme. Un vrai défi pour les plus téméraires, dont l’objectif était de présenter à l’arrivée le t-shirt et le visage les plus colorés possibles. C’est dans une belle ambiance festive, après deux années d’interruption, en raison de la crise sanitaire, qui s’est déroulée cet évènement haut en couleur.

Le reportage de la rédaction : paul, de l'équipe d'organisation et le Professeur Bosset

Ce mercredi, à Besançon, le Sporting Club Planoise a organisé la 1ère édition de « Ma cité va briller ». Cet événement, créé pour sensibiliser à la protection de l’environnement et à l’amélioration du cadre de vie des habitants,  a pu voir le jour grâce à la participation des partenaires associatifs et municipaux tels que le SYBERT, le CLCV et la ligue contre le cancer.

La manifestation s’est tenue dans le quartier prioritaire de Planoise, où tous les habitants étaient invités à venir s’y intéresser devant le centre Nelson Mandela. De nombreux rendez-vous étaient proposés à l’occasion de cette journée, pour laquelle les valeurs d’échanges et de partage ont pris tout un sens. Au programme : stands d’informations et de sensibilisation (le SYBERT, le CLCV, la ligue contre le cancer) et des activités ludiques, sportives et créatives,  proposées par des bénévoles.  Sur le site, la jeunesse planoisienne  s’est amusée à sauter sur des plateformes gonflables, pêcher des canettes de jus de fruits, dessiner ou faire de la peinture ou jouer au football. En fin d’après-midi, le club de karaté du quartier a fait une démonstration de cet art martial sous les yeux enthousiastes du public. Les participants de la journée « Ma cité va briller » ont également été sensibilisés à la consommation des produits alimentaires et à la gestion des déchets ménagers. Ils ont également participer à un quizz sur le thème de la  santé, avec des questions sur le cancer. L’événement s’est achevé par un goûter géant

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Conquérir de nouveaux quartiers

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Yacine Hamdoun, le président du Sporting Club Planoise,  aidé de ses partenaires, a le souhait de faire grandir cet événement à l’échelle de la ville de Besançon. Pour cette première édition, l’objectif principal était de ramasser les déchets du quartier, en équipe, sous forme de challenge. C’était également l’occasion de proposer une sensibilisation à l’écocitoyenneté, à la protection de l’environnement et à l’amélioration du cadre de vie des habitants.

L'interview de la rédaction : Yacine Hamdoun

Comme chaque année à pareille époque, ce mercredi après-midi,  dans le jardin de la préfecture du Doubs, s’est déroulée la cérémonie de remise des prix du concours national de la Résistance et de la Déportation. Tous les lauréats ont été récompensés et les meilleurs ont été retenus pour le grand rendez-vous national.

Cette année, les lycéens et les collégiens ont planché sur le thème : « la fin de la guerre. Les opérations, les répressions, les déportations et la fin du IIIè Reich ». Pour cette nouvelle édition, les organisateurs ont regretté le net recul du nombre de participants. Un constat  exprimé car chacun juge utile que ce devoir de mémoire puisse perdurer. Ne rien oublier, pour ne pas reproduire les erreurs du passé. Comme l’a rappelé le représentant du Préfet du Doubs, « le contexte actuel nous oblige à être vigilants et à prôner la paix dans le monde ».

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Des lycéens de Pergaud au Struthof

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Mobilisée depuis de nombreuses années, Christine Chatot-Pieralli, enseignante en histoire géographie au lycée Louis Pergaud de Besançon a fait participer ses élèves. Des jeunes pour lesquels ce devoir de mémoire est des plus importants. Un travail avec une classe de Berlin et le Mémorial de Ravensbrück a été réalisée. La réflexion a porté sur le sujet des femmes déportées durant la Seconde Guerre Mondiale. Cette initiative pédagogique se clôturera mardi prochain par un déplacement au Mémorial du Struthof où les lycéens déposeront une gerbe de fleurs en hommage aux anciens déportés francs-comtois.

Le reportage de la rédaction : Christine Chtot-pieralli et ses élèves sont au micro de la rédaction

 

 

Les épreuves de spécialité au baccalauréat, qui auraient dû se tenir en mars dernier, touchent à leur fin ce vendredi. Ces évaluations inédites, qui ont duré trois jours,  s’inscrivaient dans la nouvelle formule de l’examen, initiée en 2018. Les élèves de Terminale sont évalués sur les deux spécialités qu’ils ont conservées en fin de Première. Soit 13 spécialités au total. Il reste encore deux épreuves à passer : la philo et le grand oral en juin.

Un bac en présentiel

Après deux ans de covid, et un bac obtenu en contrôle continu en 2020 et 2021, les candidats de cette année retrouvent la vraie ambiance d’examen, en présentiel.  Cette année, 381.221 candidats en voie générale et 141.978 en voie technologique et 186 200 en bac professionnel se sont présentés. Ce qui fait un total de 710 000 jeunes candidats. 

Samuel, Mattéo et Mélina

Ce jeudi 12 mai, à Besançon, Samuel, un élève du lycée Victor Hugo, a planché sur l’épreuve de mathématiques. Au programme : trois exercices, issus du programme décliné tout au long de cette rentrée scolaire. A l’issue de l’épreuve, l’adolescent était plutôt satisfait.  Son ami Matteo a, quant à lui, travaillé sur une dissertation et une analyse de document en histoire et géopolitique. Il se sent plutôt confiant, même s’il a trouvé le sujet d’analyse de documents plus complexe.  Quant à Mélina, une élève du lycée Jules Haag,  les quatre heures étaient consacrées  à l’AMC ( anglais et monde contemporain).

Un diplôme toujours très convoité

Pour ces jeunes, comme leurs prédécesseurs, l’obtention du baccalauréat est une priorité. La poursuite d’études passe par cette réussite. « Mes tontons m’ont encouragé. Je ne veux pas les décevoir. Je veux réussir » raconte l’un d’eux. Difficile de tirer des conclusions trop hâtives, mais ces futurs bacheliers ne se sentent pas désavantager par rapport aux deux dernières générations parce qu’ils renouent avec les épreuves en présentiel. Bien au contraire.

Le reportage de la rédaction

 

Ce mercredi, sur le site de la Malcombe, 200 lycéens et collégiens, venus des établissements scolaires du Grand Besançon, ont participé à une riche après-midi sportive et festive, organisée par les étudiants en 2è année de licence Management du sport de l’université de Franche-Comté. Au total, ce sont une cinquantaine d’étudiants, qui ont encadré les jeunes participants.

Au programme, une Color Run, du cécifoot, un ventrigliss, un parcours du combattant, du volley-ball, du street golf, … . Depuis plusieurs mois, en partenariat avec l’UNSS, les jeunes organisateurs, s’investissent dans la préparation de cet évènement. Organisés en pôle, ils ont pensé complètement ce rassemblement. Communication, partenariat, logistique, règles du jeu, … , tout a été minutieusement préparé. Une mise en pratique des connaissances théoriques acquises tout au long de l’année.

Des ados à fond

Certes, le plaisir et la joie des participants ne sont pas suffisants pour décréter la qualité d’un évènement, mais il faut bien avouer que c’est déjà un premier signe. Dans les prochains jours, avec leurs professeurs, les étudiants vont évaluer cette belle après-midi. A l’image de Julien, les jeunes organisateurs  esquissent déjà les griefs qui pourraient leur être formulés. Sans anticiper les évaluations à venir, les étudiants peuvent être fiers d’eux. Le défi est relevé.

Le reportage de la rédaction

Dans le cadre d’un projet tutoré, Trois étudiants en 3è année de licence « management du sport » à  l’UFR STAPS de Besançon ont décidé d’organiser une action de financement à destination de Rémi Bourdin, étudiant en 3ème année de licence STAPS, spécialité Activités Physiques Adaptées et Santé à Besançon, mais surtout sportif de haut niveau.

Domicilié à La Rivière Drugeon et licencié au ski club de Frasne/Drugeon, Rémi fait partie des équipes de France juniors et B de ski nordique. Malgré le soutien de ses sponsors, le jeune athlète cherche à boucler le budget de sa prochaine saison. Pour réussir les échéances à venir et notamment se qualifier pour les prochains championnats du monde U23 de ski nordique, qui se disputeront à Whistler au Canada, l’athlète doit réussir sa préparation estivale.  C’est notamment pour cette raison qu’il a besoin du soutien de tous les amoureux des sports de glisse et de la montagne.

Porter le plus haut possible les couleurs des montagnes du Jura

Pour soutenir cet enfant du Haut-Doubs et l’aider à performer, il suffit de lui apporter un soutien financier. Ses amis ont créé une cagnotte sur la plateforme « ibelieveinyou ». Ainsi, en cliquant sur ce lien : https://ibelieveinyou.fr/fr/project/1150/championnats-du-monde-u23-le-reve-canadien , il est possible de faire un don. Alban, Maxime et Matthew ont été séduits par le projet sportif de Rémi. C’est la raison pour laquelle,  ils se sont lancés dans cette aventure. Les valeurs et l’image que dégagent ce sport, sa notoriété et surtout la motivation et la persévérance de Rémi ont conforté les étudiants dans leur choix.

Un parcours exemplaire

Comme Obélix, Rémi Bourdin est tombé dans la marmite depuis sa plus tendre enfance. Dès l’âge de 7 ans, il pratiquait déjà sa discipline en plein cœur des forêts enneigées du massif du Haut-Doubs. Le jeune homme a gravi les échelons pour se hisser parmi les meilleurs athlètes français. Remi fait partie des grands espoirs de la discipline. Alors autant dire que tous les soutiens sont les bienvenus pour l’aider dans son ascension.

Le reportage de la rédaction / Alban, Maxime, Matthew et Rémi

En cette fin d’année Universitaire, la fac de sport de Besançon multiplie les mises en situation pratique. C’est dans ce contexte d’apprentissage que les étudiants de l’UFR STAPS, option management du sport, organisent pour le 11 mai prochain une grande après-midi sportive à la Malcombe. 200 collégiens et lycéens venus de toute l’académie sont attendus. Une expérience formatrice qui vient s’ajouter à d’autres.

En partenariat avec l’UNSS, les étudiants se sont organisés. A travers différents pôles, des responsabilités ont été confiés à chacun. Communication, logistique, village d’animation, partenariats, tout a été pensé pour la pleine réussite de l’événement

Deux projets

Plus de 200 collégiens et lycéens de l’académie de Besancon seront attendus mercredi prochain à la Malcombe. Les plus jeunes participeront à l’événement baptisé  Sport-S-Tival et leurs aînés à Spring Games. Au programme : une Color Run pour les premiers et plusieurs activités physiques de pleine nature pour les seconds (biathlon, tir à l’arc, cécifoot, volley). Sans compter toutes les belles surprises qui attendent les participants. Des ateliers pour le plaisir d’apprendre et de découvrir, mais aussi dans un esprit de sensibilisation aux enjeux climatiques et d’éducation à la santé. La pratique sportive dans un cadre défini et dans le respect des règles et de leur application sont également un autre enjeu

Le projet pour les collégiens

Le projet pour les lycéens


Alors que la Guerre se poursuit, Eric Sémashkin, un jeune ukrainien, scolarisé au lycée Louis Pasteur à Besançon, a réalisé un court-métrage pour dénoncer la pression des combats sur les civils Ukrainiens. C’est en février, avant même que Poutine se manifeste, qu’il avait pour projet de réaliser ce film. Avec le début des combats son projet a pris un tout autre sens.


Cette création met en scène deux souris blanches, symbolisant des êtres innocents et purs, au milieu d’une décharge, oppressées par l’envahisseur russe. Cette réalisation veut aussi porter un message d’espoir. Certes, la situation est grave et la souffrance des civils ukrainiens est terrible, mais le jeune réalisateur veut croire que la situation va s’améliorer. Il exprime ainsi cette espérance en donnant symboliquement à l’un de ses acteurs principaux la possibilité de retrouver le grand air et l’espoir d’un monde meilleur.

Une création personnelle

Ce court-métrage a été réalisé par lui-même. Il explique que « c’est un avantage qui lui permet de tourner le film quand il le souhaite ».  Passionné par le cinéma depuis sa plus tendre enfance, Eric Sémashkin réalise des films depuis 2013  en “stop-motion”. Cela consiste à prendre des objets de base immobile et les animer avec la capture de plusieurs images. C’est en 2017 qu’il s’est lancé dans l’aventure et l’écriture de cette technique cinématographique, en tant que réalisateur et parfois même acteur.

L'interview de la rédaction