On peut déjà parier sur le succès de cet ouvrage. Les Mortuaciens Martial Bournel Bosson, Patrice Mazotti et Jacques Vuillemez préparent un livre sur la tradition des conscrits à Morteau. Un ouvrage, truffé d’anecdotes et de photographies, qui retracera toutes ces années, mettra en lumière ses acteurs et déclinera cette richesse historique locale.
Née en 1798, cette tradition est célébrée tous les ans. Morteau fait partie des communes où elle est particulièrement ancrée. Toutes les générations ont une anecdote à raconter. Depuis plus de deux siècles, elle anime le territoire et fait se rencontrer toutes les générations. Elle est aussi un héritage que l’on se passe au fil du temps. « C’est grâce aux conscrits que j’ai pu découvrir une photographie de mon arrière-grand-père » explique Martial Bournel Bosson.
Une tradition française et mortuacienne
Cette tradition date du service militaire. Malgré sa suspension, en 1997, l’évènement perdure. Il permettait aux jeunes d’une même génération de défiler dans les rues avant de s’engager sous les drapeaux de la nation française. En fonction des villes, il se vit différemment. A Morteau, tous les ans, en février, les jeunes de 20 ans prennent possession de la ville le temps d’une journée. Ils sont accompagnés d’une mascotte. L’année 2023 ne dérogera pas à la règle.
« Les conscrits ça ne raconte pas, ça se vit »
C’est tout cet état d’esprit que les trois auteurs ont envie de faire revivre. Conter cette belle tradition, sous les angles historique et festif. Photos et anecdotes défileront à leur tour au fil des pages. Pour financer ce sympathique projet, une cagnotte est en ligne : https://fr.ulule.com/conscrits-morteau/ En fonction du financement obtenu, les responsables prévoient, en plus de publier le livre, d’éditer une série d’affiches collector et monter une exposition.
L'interview de la rédaction : Martial Bournel Bosson
A compter du 1er mars , et jusqu’au 31 mars, Préval et les commerces du Haut-Doubs lancent le défi « Sans emballages SVP ! ». Les consommateurs sont invités à apporter leurs propres contenants lors de leurs courses alimentaires. L’objectif du défi est de réaliser 10 achats sans emballage chez les commerçants et faire prendre conscience qu’il est possible de réduire sa consommation d’emballages jetables.
Durant tout le mois de mars, différents stands seront animés par les lycéens du territoire chez les commerçants partenaires. Un tirage au sort aura lieu le 18 avril avec les cartes ayant recueilli 10 adhésifs. Des bons d’achat, d’une valeur de 180 à 20 euros, seront offerts. Pour de plus amples informations : www.preval.fr
La nouvelle formule du Carnaval pontissalien a suscité de nombreuses réactions. Finalement, les maisons de quartier et la municipalité ont réussi leur pari. Ce samedi après-midi, des centaines d’enfants sont venus participer, en famille, à ce carnaval new-look. Certes, comme toutes les premières, des ajustements devront sans doute être réalisés, mais dans l’ensemble, le pari a été relevé. Rappelons que faute de combattants, les élus pontissaliens ont dû se résoudre à annuler le traditionnel défilé pour proposer un moment festif différent.
L'interview de la rédaction / Témoignages d'enfants
Pour l’occasion, huit ateliers se sont tenus. Un stand gourmand animait également les lieux. Danses, bonne humeur et spectacles de magie étaient au programme. Tout le monde a joué le jeu pour faire plaisir et mobiliser. Les élus pontissaliens, Patrick Genre, Bénédicte Erard et Philippe Besson, avaient sorti leurs plus déguisements. Les petits pontissaliens ont également répondu à l’appel. La salle des Capucins grouillait de héros en tout genre.
La mise au point du Maire de Pontarlier
L'interview de la rédaction / Bénédice Hérard
Comme chaque année, l’édile pontissalien était présent. Déguisé, il s’est, lui aussi, prêté au jeu. Néanmoins, Patrick Genre ne cache pas sa déception quant aux réactions très vives qui se sont manifestées sur cette nouvelle formule. « On peut critiquer l’initiative, mais laissons là vivre au moins une fois, et que l’on en tire les conclusion après » lance l’édile. Et de poursuivre : « Il faut essayer d’être positif et ne pas toujours critiquer ce qui se fait. Essayons de ne pas casser avant de voir, de ne pas démolir avant de construire » ajoute-t-il. Pour Bénédicte Hérard, l’élue en charge de l’action sociale, malgré les difficultés, « il était important d’organiser un évènement festif, de ne pas rien faire ». En quelques semaines, les différents acteurs ont su se mobiliser. Certes le défilé était absent cette année, mais la cité du Haut-Doubs a rebondi pour que petits et grands partagent un sympathique moment coloré, festif et convivial. L’ambiance de carnaval a su être préservée.
L'interview de la rédaction / Patrick Genre
Jeudi, à l’Assemblée nationale, les députés ont majoritairement voté contre la proposition de repas à 1 euro pour les étudiants. Dans le Jura, les députés Renaissance, Eric Alauzet et Laurent Croizier se sont opposés à cette mesure. Dans le Jura, la députée Danielle Brulebois a pris une décision identique. La CGT salariés-étudiants dénonce les élus « qui ont voté contre cette mesure qui aurait permis aux étudiants concernés d’arrêter de faire la queue à la banque alimentaire ».
L’appel des syndicats a été entendu ce mardi. Des milliers de personnes se sont rassemblés dans la rue en Franche-Comté pour dénoncer la réforme des retraites. La jeunesse a animé le cortège bisontin.
A Besançon, de nombreux étudiants ont fait le déplacement pour exprimer leur mécontentement. Ces jeunes se mobilisent pour leurs parents ou grands-parents, mais aussi pour eux et leur avenir de futurs actifs. « Je pense à mon grand-père qui a perdu la vie peu de temps après avoir pris son droit à la retraite » explique Théo. Marina est également venue exprimer ses inquiétudes. « La situation des femmes » l’inquiète tout particulièrement. « Cette réforme est tout sauf égalitaire » appuie-t-ell. Loïs, lui aussi, est venu enrichir les rangs avec ses camarades de la fac de lettres. « La mobilisation directe est la seule béquille que nous avons pour valoir notre voix ».
Le reportage de la rédaction
Les retraités étaient également présents. Ils sont venus dire qu’il était inconcevable d’allonger le temps de travail. « Ce fut tellement difficile pour moi de travailler au-delà de 60 ans que je m’oppose à cet allongement du temps de travail. D’autant plus que les conditions sont devenues difficiles partout » explique ce manifestant. Chacun appelle le gouvernement à écouter la rue et à changer de trajectoire. « Il faut trouver des politiciens qui aient le courage de s’engager vers autre chose » conclut Marie-Jeanne.
Le reportage de la rédaction
Cette année, le Carnaval de Pontarlier prendra une forme différente. A la place du traditionnel défilé en ville, il a été décidé d’organiser un après-midi récréatif. Il se tiendra le samedi 18 février, de 14h à 17h, à la salle des Capucins. La Ville de Pontarlier, en partenariat avec le collectif Parloncap et les Maisons de quartier ont concocté un évènement familial. Au menu : sculpture sur ballons, musique, danse, maquillage, phomaton, … . N’hésitez pas à vous présenter à cet évènement avec le plus beau des déguisements. Pour de plus amples informations : www.ville-pontarlier.fr
Les jeunes fondeurs de la région s’y préparent. Elle avait été reportée au début du mois. Finalement, la Transju’Jeunes aura bien lieu ce mercredi 1er février aux Rousses. 2000 jeunes, âgés de 7 à 19 ans, sont attendus dans le Jura et participeront aux courses de 1 à 6 kilomètres. On notera la présence de Célia Aymonier, médaillée aux championnats du monde de ski de fond et d’Anouk Faivre Picon pour donner le coup d’envoi de ces différentes épreuves en style libre.
La Communauté de Communes du Grand Pontarlier propose, comme chaque année, des animations pour les enfants durant les vacances scolaires. L’objectif est de permettre à chaque enfant de 4 à 13 ans et plus vivant sur le territoire de découvrir une grande diversité d’activités aussi bien culturelles que sportives à petits prix. Ateliers kamishibaï (une technique de contage d’origine japonaise basée sur des images qui défilent) ou petit reporter photo, initiation au roller ou activité mini moto et quad, sur une journée ou quelques heures, il y en a pour tous les âges et tous les goûts. Les inscriptions pour les vacances scolaires de Carnaval et Pâques ont débuté depuis le mercredi 18 janvier.
Les conscrits de la Rivière-Drugeon vous souhaitent une bonne et heureuse année 2023. Si vous aussi vous souhaitez nous faire partager ces sympathiques et conviviaux moments collectifs, n’hésitez pas nous envoyez vos photos à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Ce samedi, le salon du lycéen et de l’étudiant se tient à Micropolis Besançon. Pour cette nouvelle édition, 75 exposants, organisme de formation et conseillers en orientation sont présents pour répondre aux questions des jeunes et de leurs parents. L’orientation est une véritable question qui concerne toute la famille. A quelques jours du 18 janvier, qui correspond aux étapes d’inscription et de formulation de ses vœux, lycéens et étudiants sont venus obtenir des informations et envisager ou confirmer une inscription dans un établissement scolaire.
Pas toujours facile de se trouver un avenir professionnel. Si pour certains, les choix sont faits, pour d’autres, les interrogations sont encore nombreuses. Résultats scolaires, coût de la formation, déplacements, salaires, durée des études, recrutement, …., autant de questions auxquelles ces publics doivent répondre. C’est d’ailleurs parfois dès le collège que l’on vient se confronter à cette douloureuse réalité. Autant se faire que peut, les jeunes essaient de ne pas subir ce moment déterminant, mais de l’appréhender au mieux pour être complétement acteur de son projet professionnel.
Jusqu’au 9 mars
Encore un mois et demi pour peaufiner sa réflexion. D’autres événements, comme les journées portes ouvertes des établissements de formation, permettront d’aller encore plus loin dans la réflexion. Lycéens et étudiants ont jusqu’au 9 mars pour confirmer jusqu’à 10 vœux. S’en suivront d’autres étapes jusqu’au 13 juillet, date de la fin de la phase d’admission principale.
Le reportage de la rédaction