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Jusqu’au 30 avril, les habitants de Pontarlier sont invités à donner leur avis sur les propositions formulées par la Ville pour accélérer le développement des énergies renouvelables sur son territoire. Ces décisions s’inscrivent dans le cadre du dispositif de planification territorial, mis en place, nationalement, pour lutter contre le changement climatique et renforcer la souveraineté énergétique de la France. Pour tout savoir sur ce dossier : https://www.ville-pontarlier.fr/articles/consultation-publique-zones-dacceleration-des-energies-renouvelables-zaer et donner son avis : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

A quelques semaines des élections européennes, la Ville de Besançon vous invite à venir découvrir, à compter du 20 avril, et jusqu’au 11 mai, l’exposition consacré au Parlement européen. Proposée par la Maison de l’Europe Bourgogne Franche-Comté, elle est à découvrir à l’Office de Tourisme du Grand Besançon , du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h. L’accès est libre.  

La Bisontine Séverine Véziès, candidate aux élections européennes de juin prochain, sur la liste de l’Union Populaire, annonce avoir porté plainte contre le collectif Némésis, après leur intervention lors du carnaval de Besançon, où l’on pouvait lire sur deux pancartes :  Â« violeurs étrangers dehors et libérez-nous de l’immigration Â». « Face à l'extrême droite et ses trolls, je ne laisserai rien passer. Ils ne me feront pas baisser la tête Â» écrit Mme Véziès dans son communiqué.

Gabriel Attal passe ce jeudi le cap des cent jours à Matignon dans un contexte difficile avec la dégradation des finances publiques, la crise agricole, les menaces de motion de censure et la violence, notamment des mineurs, que le pays connaît.

Ce jeudi, Gabriel Attal est en déplacement à Viry-Châtillon, dans l’Essonne, deux semaines après l’agression mortelle de Shemseddine. Il lancera ainsi une grande concertation sur le fléau de la  violence des mineurs, à la demande d’Emmanuel Macron.

Dans un communiqué de presse, Nicolas Pacquot, député du Doubs, qui compose la majorité présidentielle, ne cache pas que la rémunération du patron de Stellantis Carlos Tavares, approuvée à plus de 70%, interpelle.

Il juge les 36,5 millions d’euros pour l’année 2023 « indécents Â». Même si « les compétences du directeur général sont indéniables et que personne n’a oublié son rôle crucial dans le sauvetage de PSA, alors que l’entreprise était au bord du précipice Â».

Il n’est pas encore trop tard pour s’inscrire sur les listes électorales. Rappelons que les élections européennes se dérouleront le 9 juin prochain. Si vous ne l’êtes pas encore, vous pouvez vous rendre sur le site service-public.fr  jusqu’au 1er mai. Il est également possible de passer en mairie. La date est fixée au 3 mai. Précisons que les citoyens français recensés à l’âge de 16 ans, et qui résident toujours dans la même commune, sont inscrits automatiquement.

Anna Falga, nouvelle présidente du Modem du Doubs, et Laurent Croizier, député du Doubs et ancien président départemental du parti, réagissent aux propos tenus par un élu du Rassemblement National lors de la dernière assemblée régionale à Dijon. Ils se disent atterrés par l’utilisation de cette expression « nazie Â».

Rappelons que  l’élu en question  a lancé le mot Â« untermensch Â». Ce qui signifie « sous homme Â» en français. « L’utilisation de cette expression empruntée au nazisme par le Rassemblement National en dit beaucoup de l’imposture de la dédiabolisation du parti de Madame Le Pen et de Monsieur Bardella, héritiers désignés de Jean-Marie Le Pen Â» terminent-ils.

Suite à la décision du tribunal administratif de Besançon de débouter les opposants au projet d’écoquartier des Vaîtes, portant sur l’abrogation du Plan Local d’Urbanisme, la Ville de Besançon indique qu’elle a lancé  une consultation pour sélectionner  une nouvelle équipe chargée de concevoir le projet des Vaîtes.

Le communiqué de la Ville précise que « ce projet aura un caractère précurseur et devra être un véritable démonstrateur urbain de la transition écologique en conjuguant le besoin de nouveaux logements et en particulier à destination des familles et les enjeux du climat et de la biodiversité Â»

Lynché sur les réseaux sociaux pour des propos tenu  lors du dernier conseil municipal de Besançon, l’élu Kevin Bertagnoli a décidé de porter plainte auprès du Procureur de la République pour les faits de « harcèlement moral Â» et « menaces de mort Â». Rappelons qu’il interpellait Yves Cellier, le directeur interdépartemental de la sécurité publique du Doubs, sur sa présence armée lors de l’assemblée municipale, alors qu’il dressait le bilan de la délinquance à Besançon.

L’élu bisontin maintient sa position. Il explique que « la séquence vidéo montrée sur les réseaux sociaux, mise en ligne par le Député Laurent Croizier,  fait suite au refus de Monsieur le Directeur d’accéder à la demande de (ses) collègues Â».  Selon M. Bertagnoli, la présence armée du policier ne se justifiait pas. Et d’expliquer : « Il n’était pas là pour une mission de maintien de l’ordre ou de protection des personnes, mais pour une mission de représentation dans le cadre d’un débat démocratique et je l’en remercie encore Â».

Pour justifier sa position, M. Bertagnoli fait référence à « une coutume républicaine Â», instituée par les Romains, qui veut que « par le principe de courtoisie républicaine,  l’on n’entre pas armé dans une assemblée délibérante. Faire respecter une institution républicaine, élue démocratiquement c’est aussi faire honneur à la sienne, la Police Nationale Â».  Et de conclure : « Ce même principe, qui demande aux agents de la force publique de déposer les armes devant les autorités civiles, n’est-ce pas finalement celui qui leur donne le pouvoir d’agir pour protéger notre sécurité ? Â»  Il appelle « tous les élus à prendre part au débat public pour préserver l'intégrité de notre démocratie Â».

Anne Vignot a décidé de porter plainte pour cyber harcèlement, suite à l’action qu’elle a dénoncée, devant la justice, après l’intervention de deux militantes du collectif Némésis lors du Carnaval de la Ville, dimanche dernier. L’édile a reçu des centaines d’injures, des propos dégradants et des appels à commettre des crimes, dont des menaces de viol.