Le visage de la prochaine classic Grand Besançon Doubs a été dévoilé ce mardi soir. Rappelons que deux grands évènements cyclistes se disputeront dans quelques semaines en Franche-Comté. Les amoureux de la petite reine pourront admirer la Classic Grand Besançon Doubs, le 15 avril, avec un départ à Besançon et une arrivée en côte à Montfaucon, et le Tour du Jura, le 16 avril, avec un départ à Champagnole et une arrivée à Nozeroy.
A moins d’un mois du départ, les plateaux des deux épreuves se précisent. D’ores et déjà , quatre équipes de l’UCI WorldTour ont confirmé leur participation. Ainsi, Ben O’Connor (4è du Tour de France 2021) devrait être présent avec sa formation AG2R Citroën Team. Thibaut Pinot et David Gaudu seront vraisemblablement également sur la ligne de départ. L’organisateur a également prévu la participation de deux autres formations : Cofidis et Lotto Soudal.
Les parcours
Concernant la Classic Grand Besançon, les coureurs s’élanceront de Besançon et rejoindront les communes de Marchaux, Devecey, Pouilley-les-Vignes, Osselle, Thoraise, la côte d’Arguel, Saône, Chaudefontaine, après le col de la Grande Côte. Soit un parcours de 172,4 km.
Concernant le parcours jurassien, l’arrivée et le départ s’effectueront à Lons-le-Saunier. Au menu, un itinéraire de 181,75 km, traversant les villages de Perrigny, Vevy, Picareau, Voiteur, Crançot, Voiteur de nouveau et Bornay.
L'interview de la rédaction / Anne Vignot
Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi EELV ?
Alors ça dépend ce qu'on entend par engagement. J’étais déjà engagé au lycée mais plutôt sur la dimension militante, pas forcément politique. Il s’agissait par exemple de clubs développement durables, de lutte contre la précarité, et des choses comme ça. Et quand je suis arrivé à Besançon pour les études, je me suis engagé au moment des municipales, sans forcément être encarté au début, mais en essayant de regarder comment les choses se passaient. Et ensuite j'ai fait le choix d'adhérer en janvier 2020, à la fois à Europe Ecologie les Verts et aux jeunes écologistes.
Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique d’Europe Ecologie Les Verts ?
J'ai l'impression que c'est le parti qui porte des sujets qui sont complètement en adéquation avec les enjeux du moment. On parle beaucoup des enjeux climatiques et environnementaux, mais aujourd'hui l'écologie politique s'est structurée en allant sur aussi tous les champs. C'est un organe qui est prêt à gouverner. Nous sommes présents tant sur les enjeux sociaux, que sur les enjeux de démocratie, de justice et bien d'autres encore. Ce qui fait qu'aujourd'hui, je me reconnais pleinement dans ces idées-là . Personnellement, j'ai passé le cap en adhérant à Europe écologie les Verts, et je ne l'aurais pas fait avec d'autres partis, parce qu’au sein d’EELV, les politiques sont structurelles. On ne va pas juste répondre à un enjeu de court terme. On va répondre tout en n'oubliant pas de prendre en compte une vision de long terme. C'est l’idée du développement durable, d'être en adéquation avec le bien-être des générations futures.
Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Yannick Jadot est favorable à cette idée. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes écologistes ?
Il y a différents arguments sur ce sujet-là . La position qu'on porte c'est d'y être très favorable, et j'y suis à titre personnel, très favorable. On pense que le droit de vote à 16 ans permettrait un engagement plus fort des jeunes dès le départ. On sait qu'il y a une grande abstention aujourd'hui. Ça permettrait en particulier dans le cadre du lycée de vivre sa première élection, où il pourrait y avoir un accompagnement, des débats au sein de l’établissement scolaire, et ça serait une manière de raccrocher un petit peu les jeunes vis-à -vis de la politique, de tous ces enjeux-là . Moi je suis toujours alarmé quand je vois qu’aux dernières élections, 85% des jeunes n'ont pas voté. Donc je pense que malgré ce que d'autres peuvent dire, le droit de vote à 16 ans peut être un levier pour lutter contre ça. Et il y a plein de pays dans le monde dans lesquels c’est déjà en place, où ça ne se passe pas si mal. À 16 ans, un jeune est tout à fait en mesure de porter des idées. Il a des convictions et je pense que ça peut tout à fait s'imaginer.
Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Europe Ecologie Les Verts, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?
On a une maire qui est écolo, et Besançon est une ville écologiste. Ça veut dire qu’il y a un contexte local avec un certain nombre de militants et de militantes, et ça fait aussi quelques mois maintenant qu'on a vraiment restructuré les jeunes écologistes. Aujourd'hui on a pas mal de jeunes, des hommes et des femmes, des lycéens et lycéennes, des étudiants et étudiantes, des jeunes actifs, on a vraiment de tout. On a décuplé le nombre de jeunes écologistes à Besançon pendant la campagne. On sent qu'il y a une vraie appétence pour ces sujets-là , et quand on tracte, les jeunes sont en immense majorité intéressés par nos propositions.
Quelle qualité ferait de Yannick Jadot un bon président de la République ?
Je pense que c'est le seul aujourd'hui à même de répondre aux enjeux actuels, en permettant vraiment une société du bien vivre. Et le bien vivre ça intègre plein d'éléments. Je pense que l'objet du politique aujourd'hui, c'est de faire en sorte qu'entre la naissance et le décès d’une personne, cette dernière ait vécu la meilleure vie possible. Et Yannick Jadot porte cette vision-là .
Le ministère de l’éducation nationale publie ce mercredi des indicateurs sur la performance des lycées français. Ils font référence aux taux de réussite au baccalauréat, de mention, d'accès au diplôme et de proportion de bacheliers parmi les sortants.
Le journal l’Express a combiné toutes ces données pour composer un palmarès. Si l’on tient compte uniquement du taux d’accès au bac, qui nous semble être moins sélectif que la simple référence au taux de réussite - ce qui permet de mettre de côté les boîtes à bac et de valoriser le suivi et l’accompagnement des lycéens- le classement nous paraît plus pertinent. A Besançon, le lycée Jules Haag arrive en tête avec 97% d’élèves qui parviennent à ce niveau. Claude Nicolas Ledoux (94%), Louis Pergaud (93%) , Victor Hugo (93%) et Pasteur (92%) complètent le classement. A Pontarlier, c’est le lycée Xavier Marmier qui arrive en tête (93%). On soulignera l’excellente performance du lycée Edgar Faure de Morteau et de ses enseignants , avec 98% des élèves qui accèdent au baccalauréat.
Enfin dans le Jura, toujours en tenant compte de cet indicateur, c’est le lycée Victor Bérard de Morez, qui arrive en tête (97%). Les lycées Hyacinthe Friant de Poligny (96%), Jean Michel de Lons-le-Saunier (94%) et Paul Emile Victor de Champagnole (94%) apparaissent également en haut du classement.
Stéphane Ravacley l’a fait savoir sur la page Facebook des « convois solidaires ». Les dons de produits, qui sont actuellement réceptionnés Chemin des Près à Besançon, seront acheminés en Ukraine très prochainement. Un nouveau convoi devrait partir de Besançon le 31 mars prochain. Le collectif, par la voix de son président d’honneur, annonce qu’il détaillera dans les prochains jours les besoins humains, matériels et financiers nécessaires.
Le BesAC n’a pas tremblé. Hier soir, dans le cadre de la 4è journée de championnat, comptant pour les Play-offs de nationale 1 masculine, les basketteurs bisontins ont vaincu Toulouse sur le score de 86 à 76. La solidité et la solidarité bisontines lors de cette rencontre ont été très appréciées. La rencontre se disputait au gymnase des Montboucons.
Dans le cadre de la 30è édition de la journée mondiale de l’eau, Grand Besançon Métropole a présenté sa nouvelle marque d’eau « la Bisontine », qui se décline désormais sur l’ensemble du territoire Grand Bisontin. En 2006, une première étape avait été franchie en imposant cette marque sur la seule ville de Besançon. Depuis 2018, la compétence de l’eau a été transférée au Grand Besançon, qui a tout naturellement décliné ce concept à l’échelle de son territoire.
Par ailleurs, dans le cadre d’un partenariat avec la société Rième Boissons, il a été décidé de produire de l’eau pétillante, qui est désormais disponible dans certains établissements et restaurants du département. Rappelons que cette eau a été mise en valeur par la collectivité pour promouvoir sa qualité auprès du grand public. Comme l’explique Christophe Lime, le président du Conseil d’exploitation de la régie eau et assainissement du Grand Besançon, pour respecter les valeurs du développement durable, la zone de distribution du produit s’effectue sur les secteurs les plus proches de Besançon, sous la forme de bouteilles consignées. L’élu bisontin est fier d’affirmer que l’eau bisontine, en plus de sa qualité irréprochable, est peu coûteuse.
Un homme a été placé en garde à vue ce mardi après-midi à Besançon après avoir été contrôlé avec un taux de 1,22 gramme d’alcool par litre de sang. Le quinquagénaire a été conduit sans incident au commissariat de la Gare d’Eau. La garde à vue est toujours en cours ce soir.
Un traileur a chuté dans les bois ce mardi après-midi à Conliège. La victime a été prise en charge par l’équipe du secours en milieux périlleux. Elle a été ensuite dirigée en ambulance sur un centre hospitalier.
Ce mardi, après-midi, vers 14h, à Ecurcey (25), un homme de 46 ans a été blessé lors de travaux de bûcheronnage. Alors qu’il procédait à l’abattage d’un arbre, le quadragénaire a été percuté à la jambe et au bras par le tronc. Il a été extrait du milieu boisé par les équipes spécialisées du GRIMP et évacué par les sapeurs-pompiers sur l’hôpital Nord Franche-Comté.
Ce samedi 26 mars, à Champagnole, le syndicat jurassien de la race montbéliarde et EVA Jura organisent la première édition de Jura Expo, un concours départemental de vache laitière. 200 montbéliardes et leurs éleveurs seront présents pour décrocher les titres mis en jeu. Autant dire que l’élite de la Montbéliarde jurassienne assurera le show en terre champagnolaise. Au cours de cette journée, des stands seront à découvrir et des animations seront proposées pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
L’objectif pour les organisateurs est de pérenniser cet évènement dans le temps. L’idée étant d’en faire une biennale. Les organisateurs veulent renouer avec les belles fêtes agricoles. Après ces deux ans de disette, tout le monde a envie de réussir cet évènement. Un millier de spectateurs sont attendus ce samedi, à partir de 9h, à Champagnole, rue Clémenceau.
L'interview de la rédaction / Michaël Millet, président du syndicat jurassien de la race montbéliarde