Menu

Choix du secteur :
Se connecter :
 

La Ville de Morteau prend soin de ses aînés. Cette année, en plus de recevoir une visite de leurs élus, les personnes âgées de 75 ans et plus seront visitées et recevront un colis de Noël au mois de décembre. Ce petit assortiment de produits de qualité, offert par la Ville, sera apporté aux aînés entre le 1er décembre et le 5 janvier. Le CCAS a recensé toutes les personnes d'après la liste électorale de Morteau. Néanmoins, les personnes qui ne sont pas inscrites sont invitées si elles le souhaitent, à se faire connaître auprès du CCAS de Morteau, 6 Rue Barral au 03 81 68 56 86 ou ccas@morteau.org pour recevoir leur colis de Noël.

Le 7 novembre dernier, à Besançon, en présence du général de division Jean-Pierre Fagué, commandant la 1ère division, et Emmanuel Viellard, président du MEDEF Franche-Comté, des manifestes ProMilès ont été signés par 28 entreprises du Doubs.

Ce document s’inscrit dans une démarche de collaboration entre les Armées et les entreprises et permet l’instauration de plusieurs objectifs, comme la réinsertion du personnel militaire, blessé ou en reconversion dans le monde civil, la promotion de la réserve opérationnelle au sein des entreprises et la favorisation de l’emploi des conjoints des militaires dans le cadre de la mobilité et de l’installation des familles.

Dans un communiqué de presse, le MEDEF de Franche-Comté monte au créneau. Il dit clairement s’opposer aux augmentations d’impôts et de charges sur les entreprises, prévues dans le projet de loi de finances pour 2025. D’autant plus que cette décision s’inscrit dans un contexte ‘de hausse du chômage » en France.

Selon le collectif, ces décisions politiques seront « pénalisantes » pour les entreprises et seront un véritable frein pour « la compétitivité, l’activité et l’emploi ». Les patrons francs-comtois appellent le parlement « à agir ». Et de conclure : « les entreprises et les salariés de ce pays méritent mieux que des décisions qui sacrifieraient leur avenir ».

Dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) et cinq autres associations ( CICS, Amnesty Internationale, le Nid, Léo Lagrange et Solidarité Femmes)  organisent un temps d’information et de sensibilisation dans différentes structures sociales et administrations de la ville de Besançon. Pour cette nouvelle édition, ce lundi, un escape game, présentant Gisèle Halimi et son œuvre, à travers ses combats pour le droit des femmes,  la légalisation de l’avortement et la criminalisation du viol, s’est tenu au sein de la cité administrative Viotte. Cette action était destinée aux fonctionnaires qui y travaillent. Elle fait suite à l’intervention qui s’est tenue à l’école de la deuxième chance et à celles à venir à la mission locale.

ESCAPE GAME HALIMI ETAT

L'interview de la rédaction : Mélody Goux, juriste au CIDFF du Doubs

Les participants sont invités à résoudre des énigmes, leur délivrant des codes, qui leur donneront des informations utiles pour retrouver l’héritage de Gisèle Halimi. A travers cette démarche, Mélody Goux, juriste au CIDFF du Doubs, entend sensibiliser un public varié, qu’il s’agisse des agents des services de l’état, mais aussi les jeunes. La jeunesse fait partie de cette catégorie de personnes qu’il est important de sensibiliser. Certains sont parfois très éloignés et réfractaires à ces enjeux.  Chiffres à l’appui, Anne Vignot, Maire de Besançon, rappelle qu’une nette régression sur les conditions des femmes est enregistrée au XXIe siècle. Depuis le début de l’année, 122 féminicides ont eu lieu en France. Les violences sexuelles et conjugales, notamment sur des femmes enceintes, sont en constante augmentation.

L'interview de la rédaction : Mélody Goux, juriste au CIDFF du Doubs

GISELE HALIMI BUREAU

Depuis le 15 novembre, et jusqu’au 1er décembre, l’association Recidev, organise à Besançon ; le festival des solidarités, « dont la mission est de promouvoir et célébrer une solidarité ouverte aux autres et au monde ». Des animations sont proposées dans cinq lieux différents de la ville de Besançon. Ce lundi 25 novembre marque l’ouverture de l’exposition « les maux de notre alimentation » à 14h au Kursaal, salle Proudhon. Pour tout savoir sur cet évènement : www.festivaldessolidarites.org

Le service Fil d’Ariane de l’association Travail et Vie de Pontarlier, qui accompagne les femmes victimes de violences, organise une grande journée de sensibilisation ce lundi 25 novembre pour la journée de lutte contre les violences faites aux femmes.

Cette animation se déroulera au théâtre Bernard Blier, à Pontarlier, de 10h à 18h. Tous les acteurs qui accompagnent les femmes victimes de violences, mais aussi des artistes, une socio esthéticienne, des ateliers de krav maga...

Dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et minorités de genre, un rassemblement est organisé ce samedi 23 novembre à Besançon. Le rendez-vous est fixé à 15h sur l’Esplanade des Droits de l’Homme. Le rassemblement portera sur les violences patriarcales plus précisément.

Ce mercredi, la Ville de Besançon, dans le cadre de la journée des droits de l’enfant, va procéder au baptême des arbres de la place de la Révolution, au centre-ville. Pour cette journée, la cité s’associe avec les Francas du Doubs et l’Unicef. D’où la présence d’enfants des accueils de loisirs du réseau bisontin. Ces arbres, déjà jumelés avec des écoles de Besançon, porteront des prénoms d’enfants du monde entier, sélectionnés par l’Unicef et les jeunes bisontins.

Dans le cadre de la journée internationale des Droits de l’Enfant, le 20 novembre, le collectif des jeunes en recours de Besançon appelle à la mobilisation. Ses membres entendent  ainsi dénoncer la situation « dramatique des mineurs isolés étrangers en France ». Il est rappelé que « l’État français a été pointé du doigt pour le non-respect des droits de l’enfant par les instances internationales ».

Le rendez-vous est fixé à 14h sur l’esplanade des droits de l’homme au centre-ville de Besançon. Parmi les revendications exprimées : l'application de la présomption de minorité pour garantir une prise en charge jusqu’à la fin des recours juridiques, l’accès à la scolarité pour tous ceux et celles qui le souhaitent et un logement digne et adapté pour tous et toutes.

Le Secours Catholique vient de publier son rapport annuel sur la pauvreté en France. Plus d’un million de personnes ont été accompagnées par l’association en 2023. Elles sont environ 15.000 en Franche-Comté.  Par la voix d’Antoine Aumonier, son délégué régional, l’antenne franc-comtoise a notamment pointé les difficultés que rencontrent ces personnes pour accéder aux prestations sociales. Et ce, en raison de démarches devenues dématérialisées, nécessitant la possession de moyens informatiques,  qu’elles ne disposent pas. Elles doivent également faire face à une logique administrative de plus en plus restrictive, posant un regard suspicieux sur les besoins et les attentes de ce public.

L'interview de la rédaction : Antoine Aumonier

Des personnes sans ressource

Le Secours Catholique constate « une pauvreté qui se féminise ». « 57% des personnes qui sont rencontrées par l’association sont des femmes » explique Antoine Aumonier. Autre point  inquiétant, et pas des moindres, « 25% des bénéficiaires n’ont aucune ressource ». Par ailleurs, la famille, avec toutes ses composantes, n’est pas épargnée. En 2023, 200.000 familles sont suivies par l’association. Preuve que la pauvreté s’aggrave en France, les ¾ des personnes aidées par le Secours Catholique se trouvent en situation d’extrême pauvreté. « C’est-à-dire qu’elles vivent avec moins de 555 euros par mois, en recul de 19 euros par rapport à 2022 ».

L'interview de la rédaction : Antoine Aumonier

En visitant ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles.Tout accepterTout déclinerPersonnaliser
Options des cookies
×
Choix utilisateur pour les Cookies
Nous utilisons des cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles. Si vous déclinez l'utilisation de ces cookies, le site web pourrait ne pas fonctionner correctement.
Tout accepter
Tout décliner
En savoir plus
Suivi statistique
Google Analytics
Accepter
Décliner
Partage sur les réseaux sociaux
Outil de partage en un clic des articles sur vos réseaux
Accepter
Décliner