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Les nouveaux chiffres du chômage, pour le quatrième trimestre, sont connus. En Bourgogne-Franche-Comté, le nombre de demandeurs d’emploi de la catégorie A, tenus de chercher un emploi et sans activité, augmente de 0,3%. Il diminue de 0,1% sur un an. La diminution est de 0,6% dans le Doubs et de 0,9% dans le Jura. Notre région compte 100.560 demandeurs d’emploi.

Le nombre d’actes antisémites a progressé, en 2023 en France. Ils s’établissent à 1.676, contre 436 en 2022. Ces chiffres émanent du CRIF, le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France. Selon l’organisme, « une explosion Â» a été constatée après les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre dernier.

La colère des agriculteurs s’empare également de la Franche-Comté.  Après la Haute-Saône, le département du Jura monte au créneau. Un rassemblement est prévu ce vendredi. Les professionnels de la terre partiront des quatre coins du département pour rejoindre, à la mi-journée, la rocade de Montmorot. Ils viendront de Dole, Arlay, Poligny, Champagnole, Salins-les-Bains, …. . Une opération escargot est prévue sur l’A39. Collectivement, ils se rendront à Lons-le-Saunier, où une délégation sera reçue par le préfet, à 15h. Un document, composé de 140 propositions, lui sera remis.

Christophe Buchet, le président de la FDSEA du Jura, explique que trois chapitres sont particulièrement développés. Les revendications porteront sur la dignité de la profession et de la capacité à renouveler les générations. La rémunération est également au cÅ“ur de ces thématiques et problématiques. Enfin, la condition d’exercice du métier fait  partie des sujets que les agriculteurs veulent aborder. Des propositions seront ainsi formulées afin que des mesures soient prises pour mieux accompagner le métier.

L'interview de la rédaction / Christophe Buchet, président de la FDSEA du Jura

 

Selon une dernière étude de la Fondation de France, « un Français sur dix est isolé et un sur cinq se sent seul Â». Le rapport fait le lien entre isolement et précarité. Selon cette même étude, un tiers des Français sont en « fragilité relationnelle Â». Ces personnes vivent majoritairement en zone rurale et dans les quartiers prioritaires. Il apparait également que la situation économique a des conséquences sur l’isolement. Sept personnes sur dix disent avoir réduit leurs activités extérieures en raison de la hausse des prix.

Hier, mardi, les responsables des principaux cultes en France, chrétiens, juifs et musulmans, ont répété leur réticence face à une évolution de la loi sur la fin de vie. De son côté, l’Association pour le droit à mourir dans la dignité a exprimé sa « préoccupation Â» face à cette démarche. Elle a estimé que « certaines religions cherchent à dicter leur morale au sein de la société Â». Rappelons qu’un projet devrait être rendu public en février prochain, selon les engagements d’Emmanuel Macron.

Gérard Larcher, le président LR du Sénat,  s’est dit opposé à l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution. Une promesse du Président de la République Emmanuel Macron. « L’IVG n’est pas menacée dans notre pays. Je pense que la Constitution n’est pas un catalogue de droits sociaux et sociétaux Â» a-t-il déclaré. Rappelons que les députés examinent ce mercredi le projet de révision constitutionnelle visant à garantir aux femmes la liberté de recourir à un avortement.

Selon un dernier communiqué de la SPA, le nombre d’animaux abandonnés ou maltraités, pris en charge par la structure en 2023, s’élève à 45.000. 28.600 d’entre eux sont des chats. Un contexte difficile, qui se conjugue avec un nombre d’adoptions qui a baissé, saturant les 64 refuges de l’association.

Une nouvelle augmentation en perspective. A partir de la fin mars, la franchise médicale, autrement dit le reste à charge du patient, non remboursé par l’Assurance maladie ou sa complémentaire santé, sur les médicaments et les actes paramédicaux, va passer de 50 centimes à 1 euro. La franchise médicale sur les transports sanitaires va également être multipliée par deux, pour passer à 4 euros. Il en sera de même sur les consultations et actes médicaux et sur les examens et analyses de biologie médicale.

On en sait plus sur l’uniforme que porteront les élèves des établissements scolaires, engagés dès cette année, dans l’expérimentation du port de l’uniforme à l’école. Une centaine d’établissements sont concernés cette année, avant une éventuelle généralisation en 2026. Ce dernier, qui sera proposé aux collectivités,  se composera d’un polo blanc ou gris, d’un pull bleu marine et d’un pantalon gris, ainsi que d’une blouse pour les enfants de maternelle. Un espace permettra à la collectivité d’y faire apparaître son logo, en finançant une partie du coût.