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Ce samedi après-midi, le groupe local de L.214 se mobilisera à Besançon, entre 14h et 15h, au Monoprix de la Grande Rue, pour lutter contre les « pires pratiques de l’élevage intensif des poulets ». Les militants iront à la rencontre de la clientèle pour l’inviter à « tourner le dos » à certaines marques. Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une opération nationale, qui se tient dans une vingtaine de villes. L’objectif est de retourner 100.000 barquettes en rayon, avec l’aide du public.

Les pertes d’emplois dans l’industrie française vont se poursuivre. Une affirmation émanant du ministre de l’Industrie Marc Ferracci. Les secteurs de l’automobile et de la chimie sont au plus mal. La prédiction est inquiétante. Le ministre envisage «  des fermetures de sites dans les semaines et les mois qui viennent ». « Des milliers d’emplois » pourraient être perdus. Marc Ferracci souhaite une réponse européenne pour notamment soutenir la filière automobile.

L’association de défense contre les abus bancaires (ADEFAB) se mobilise à Besançon. Le collectif se définit comme une association de consommateurs « dévouée à informer sur les droits bancaires des consommateurs en France ». Elle entend « les aider à faire des choix éclairés et à faire valoir leurs droits bancaires en tant que consommateur ». Installés devant l’agence du Crédit Agricole, rue Cusenier, au centre-ville de Besançon, ils alertent la population sur cette problématique. Certains d’entre eux sont d’ailleurs en litige avec cet établissement. La justice statuera sur le fond de cette affaire  au printemps prochain.

Selon Jean-Philippe Garnier, le président de l’association, les abus bancaires prennent différentes formes. Chacun est appelé à faire preuve d’une grande vigilance lorsqu’il contracte un prêt, sollicite un découvert ou répond à une offre commerciale. Selon des données de l’association UFC Que Choisir, en 2022, la fédération avait déposé plainte contre 12 établissements pour pratiques commerciales trompeuses. « Avant de faire un prêt pour sa maison, par exemple, il convient de bien se renseigner sur comment  sa banque calcule le « TEG », autrement dit le coût « tout compris » de son  crédit » explique M. Garnier. Les engagements sont réciproques et les banques doivent, elles aussi, respecter les cadres définis par la loi. « Des sites, comme servicepublique.fr, donnent des informations précieuses qui protègent le consommateur ».  Si cette association ne peut donner des conseils juridiques, elle appelle les clients « à faire preuve de bon sens avant de s’engager ». La mise en concurrence peut s’avérer être  une démarche pertinente. Les litiges peuvent se transformer en un véritable combat judiciaire, qui devient très vite chronophage et à l’issue incertaine.

L'interview de la rédaction : Jean-Philippe Garnier

Surveiller vos comptes

Les frais bancaires sont également à vérifier régulièrement. En parallèle, chacun est invité à porter un regard sur les transactions qui sont réalisés sur ses comptes. Les établissements ne sont pas toujours à l’origine de démarches suspectes. Loin de là. Le nombre de fraudes à la carte bancaire est en augmentation sur le territoire national. Selon l’UFC Que Choisir, « la fraude bancaire a atteint un montant de plus de 1,2 milliard d’euros, en 2022, et touche un nombre croissant de victimes. Pas moins de 1,3 million de ménages ont ainsi été escroqués en 2020, soit une hausse de 161 % depuis 2010 ». Des situations personnelles effroyables, qui peuvent venir anéantir toute une vie de travail, et pour lesquelles il est difficile de faire reconnaître « un droit au remboursement «  auprès de sa banque.

Les militants de l’association de défense contre les abus bancaires poursuivent leur action militante. Ils sont présents, tous les mercredis après-midi, rue Cusenier, au centre-ville de Besançon.

Dans un souci de meilleure inclusion possible de ses étudiants, l’université de Franche-Comté s’est engagée dans la charte Atypie-Friendly, qu’elle a officiellement signée ce mardi à Besançon. Ce programme national s’est fixé comme objectif de rendre l’enseignement supérieur inclusif, notamment par des actions de sensibilisation et de formation à destination des étudiants, des enseignants et des différents services de l’établissement. Il consiste notamment  à mettre à disposition des ressources, des outils et un accompagnement des différents publics visés.

L'interview de la rédaction, Bertrand Monthubert, directeur du programme Atypie-Friendly

 

Un trop de grand nombre d’étudiants, présentant un trouble du neurodéveloppement (autisme, trouble du déficit de l’attention, troubles dys), ne peut investir des études dans le supérieur. L’université de Franche-Comté veut faire évoluer la situation et donner les moyens à ces jeunes de réussir leur projet personnel et professionnel. Construit autour d’un réseau, avec différents échelons, ce programme va pouvoir se construire à Besançon, qui entre ainsi dans cette dynamique nationale. Certes, le chantier paraît important, mais Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté,  entend renforcer le projet d’insertion, d’inclusion et d’accompagnement de toutes les jeunesses, qu’elle a mis en place  durant son mandat à la tête de l’établissement.

L'interview de la rédaction, Bertrand Monthubert, directeur du programme Atypie-Friendly

Marie-Agnès Poussier-Winsback, ministre déléguée chargée de l’Economie sociale et solidaire, de l’intéressement et de la participation est attendue dans le Jura ce mardi 5 novembre. Après avoir lancé le mois de l’économie sociale et solidaire lundi, la ministre se déplace à Dole pour introduire la conférence régionale de l’Economie, Sociale et Solidaire de Bourgogne-Franche-Comté, avant de visiter, toujours à Dole,  une entreprise indépendante familiale engagée dans cette démarche. Elle retrouvera ensuite les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire pour la conclusion des travaux de la conférence régionale.

Le FC Sochaux-Montbéliard condamne avec la plus grande fermeté les propos racistes et injurieux qui ont été adressés à Samy Benchamma et Karim Mokeddem lors de la rencontre de Coupe de France face à Avallon, ce dimanche. « Le racisme n'a pas sa place dans le sport, ni sur le terrain ni en dehors » indique le club dans un communiqué de presse.  Le FCSM précise qu’il travaille « en étroite collaboration avec les autorités compétentes afin que toute la lumière soit faite sur ces incidents et que les responsables soient identifiés et sanctionnés comme il se doit ».

Nous nous approchons du traditionnel changement d’heure. Dans la nuit de samedi à dimanche, le pays bascule à l’heure d’hiver. Durant cette période, on recule d’une heure nos appareils. Ainsi, comme le veut le traditionnel adage, « à trois heures, il sera deux heures ». Pour l’heure, la possibilité, souvent exprimée, de supprimer le changement d’horaire, semble ne plus être d’actualité actuellement.

Ce samedi 26 octobre, l’association « Droits Devant 25 » organise une journée intitulée « Amour pour tous » à Besançon, 17 rue Pergaud. Cette journée est réservée aux personnes en situation de handicap intellectuel, sans tabou, mais aussi sans famille, sans éducateur et sans tuteur ». Ce forum débutera à 14h30. Il se terminera à 19h. Une vingtaine de stands, déclinant différents sujets de société, tels que les droits, l’amour, la pornographie, le consentement, … seront proposés.

Ce samedi, en réponse à la mobilisation parisienne, suite au décès d’un cycliste, mort écrasé volontairement par un automobiliste, l’Association Vélo Besançon organise une action  ce samedi, à 17h45, dans la cité comtoise. Le rendez-vous est fixé devant la mairie, sur l’esplanade des droits de l’homme. Cette mobilisation s’effectuera sous la forme d’une minute de silence. « La violence motorisée ne doit pas être banalisée » déclare le collectif dans son communiqué de presse.

Suite à la situation d’un étudiant bisontin, contraint au redoublement, après avoir été hospitalisé en urgence, le jour de ses épreuves écrites de BTS, le député Modem doubiste Laurent Croizier a déposé une proposition de loi instaurant des sessions de remplacement pour les candidats hospitalisés.

« Alors que les examens du baccalauréat, du certificat d’aptitude professionnelle, ou du brevet professionnel prévoient des sessions de remplacement, une absence à une épreuve du Brevet de Technicien Supérieur pour une cause de force majeure est sanctionnée par la note zéro » pointe le parlementaire. Cette proposition de loi transpartisane a été cosignée par 35 députés de 9 groupes différents.

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