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Claude Guéant, l’ancien préfet du Doubs, proche de Nicolas Sarkozy, a été condamné à un an de prison, dont huit mois de prison ferme avec mandat de dépôt pour « favoritisme » dans le cadre du procès des « sondages de l’Elysée ». Parmi les autres prévenus : Patrick Buisson a écopé de deux ans de prison avec sursis et 150.000 euros d’amende pour détournement de fonds publics et l’ex-sondeur Pierre Giacometti s’est vu délivrer six mois de prison avec sursis et 70.000 euros d’amende. Précisons que Claude Guéant, déjà incarcéré pour une autre affaire, n’a pas souhaité être extrait de sa cellule pour entendre sa condamnation.

Un homme, âgé d’une quarantaine d’années, a été interpellé le 19 janvier dernier. Il est soupçonné d’avoir dérobé un sweat shirt de marque et d’autres articles, un téléphone et un vêtement, dans trois enseignes de la zone commerciale de Châteaufarine. Connu des services  de police, il comparaîtra en mai prochain devant la justice. Le quadragénaire nie les faits, à l’exception du vol à l’étalage commis dans le commerce où il a été interpellé.

Un jeune homme d’une vingtaine d’années devra s’expliquer en septembre prochain devant la justice. Le 19 janvier dernier, à Besançon, il a été interpellé et placé en garde à vue après avoir tenté de prendre la fuite a pied à la vue d’une patrouille de police, rue Russel. L’individu s’est délesté dans sa course d’un sachet, contenant 10 bonbonnes de cocaïne, 14 d’héroïne et 175 euros

Claude Guéant (77 ans), l’ancien préfet du Doubs et très proche de Nicolas Sarkozy, est toujours en détention à la prison de la santé. Il est incarcéré depuis le 13 décembre dernier. L’ex-ministre de l’Intérieur devra attendre le 7 février prochain pour savoir si sa demande de remise en liberté sera acceptée.

C’est à cette date que la décision du juge d’application des peines sera connue. En janvier 2017, Claude Guéant avait notamment été condamné à deux ans d’emprisonnement, dont un an ferme,  dans le dossier des primes en liquide du ministère de l’Intérieur. Il lui est reproché de ne « pas respecter les décisions de justice ». Son incarcération fait suite au retard de paiement des sommes auxquelles il avait été définitivement condamné en 2019.

Ce mercredi soir, un jeune homme de 19 ans est toujours en garde à vue au commissariat de police de  Besançon. Dans l’après-midi, vers 14h, à la vue d’une patrouille de la BAC, il a pris la fuite au fond d’un hall d’immeuble, place Cassin, dans le quartier Planoise. Lorsqu’il a été interpellé, il était en possession d’une liasse de 910 euros de billets de banque.

A ce même endroit, un sac contenant 9 grammes d’herbe de cannabis, 175 grammes de résine de cannabis et environ 6 grammes de cocaïne a été découvert. Lors de son audition, il a reconnu la possession de ces produits « pour sa consommation personnelle ». Il nie avoir vendu à un autre homme, âgé de 40 ans, de la marchandise.

Un jeune homme de 18 ans a été placé en détention à la maison d’arrêt de Besançon pour y purger 5 mois de prison ferme. Mardi matin, à 9h, il a été repéré après avoir jeté un colis par-dessus l’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon, avenue Clémenceau. Il avait été interpellé rue de Dole. Il était en possession de deux morceaux de résine de cannabis.

Dans le cadre d’une opération conjointe, associant la Police aux Frontières, l’Urssaf, la police nationale et la police municipale, une personne qui était en situation irrégulière,  et qui exerçait dans un salon de coiffure pontissalien,  a été interpellée et invitée à quitter le territoire. L’intervention a été menée mardi. Les deux gérants de l’enseigne devront s’expliquer prochainement sur ces faits.

Suite au féminicide,  commis hier soir à Besançon, dans le quartier Battant, l’association Solidarité Femmes a réagi via un communiqué de presse. Ses responsables et bénévoles se disent « choquées, révoltées et infiniment attristées ». Un rassemblement est prévu à 18h sur la place Pasteur à Besançon. Rappelons que ce drame survient 20 jours après le décès d’une autre femme, Corine, qui a perdu la vie sous les coups de son mari.

Un jeune homme de 22 ans devait être présenté ce mardi à la justice, après la prolongation de sa garde à vue. Le 16 janvier, vers 18h, une patrouille de police a constaté qu’il effectuait des transactions avec d’autres personnes. Lorsqu’il est contrôlé, le jeune individu n’identifie pas les fonctionnaires et leur signale la présence de policiers dans le secteur. Reconnaissant son erreur, Ce dernier tente de prendre la fuite, mais il est rapidement maîtrisé. Dans sa sacoche se trouvait une importante somme d’argent et des produits stupéfiants : 30 grammes de résine de cannabis, 50 grammes de cocaïne et 65 grammes d’héroïne.

Un jeune homme de 18 ans a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Présenté hier à la justice, il a vu la révocation d’un sursis probatoire de 3 mois prononcé lors de sa comparution immédiate. Le 14 janvier dernier, il a été interpellé, non sans difficulté, alors qu’ils circulaient avec deux autres individus sur un scooter rue du Bouquet de Soleil.

Dans le scooter, situé sous la selle, les policiers ont découvert un sachet contenant 70 bonbonnes de produits stupéfiants pour un poids total de 68 grammes,  ainsi qu’une bombe lacrymogène. Dans la sacoche du mis en cause se trouvaient 690 euros. Blessé, après avoir percuté la voiture de police avec son engin, il a été conduit à l’hôpital, avant d’être placé en garde à vue.

A son domicile, les enquêteurs ont découvert 2.700 euros dans un bac à aspirateur. Au cours de son audition, il a reconnu avoir achetés ses produits à Planoise pour 500 euros et vouloir les revendre. Concernant le scooter sans carte grise et sans assurance qu’il conduisait, il a expliqué « l’avoir acheté à un homme non identifié pour 4000 euros il y a un mois ».