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Le procès de Nordhal Lelandais, le tueur présumé de Maëlys, se poursuit. La deuxième, et avant dernière semaine, arrive à son terme. Ce vendredi, le prévenu va être interrogé sur l’enlèvement et la mort de la fillette. Il devra s’expliquer sur le déroulé de la nuit du 26 au 27 août 2017, période durant laquelle la fillette a disparu et a été tuée. Lelandais va-t-il revenir sur certains de ces propos. Alors que de nombreuses interrogations subsistent encore.

Un homme d’une vingtaine d’années a été placé en détention ce jeudi. Le 8 février dernier, vers 12h30, au moment de son interpellation, il avait procédé à plusieurs transactions de produits stupéfiants. La perquisition menée à son domicile a permis de découvrir 20 grammes d’héroïne et 10 grammes de cocaïne. Sa sacoche contenait 3,5 grammes d’héroïne, 24 grammes de cocaïne, 100 grammes de résine de cannabis et la somme de 1850 euros. L’individu a reconnu les faits.

Ce jeudi, vers 16h, les policiers ont interpellé un individu, qui avait tenté de prendre la fuite, rue Berlioz, à Besançon. Il était en possession de six barrettes de résine de cannabis et six bonbonnes de cocaïne ou d’héroïne. Il a été placé en garde à vue. Cette dernière est toujours d’actualité ce soir.

Le procès de Nordhal Lelandais, le meurtrier présumé de la petite Maêlys, se poursuit. Ce mercredi, les débats se sont notamment orientés sur le téléphone portable du prévenu et les raisons qui l’ont poussé à s’en séparer en urgence. Lelandais a détruit son portable à coups de pierre, avant de le jeter dans un lac. Les magistrats le soupçonnent d’avoir filmé le meurtre de la fillette.

Dans la nuit de lundi à mardi, un jeune homme de 18 ans a été interpellé dans le hall d’un immeuble, avenue de Bourgogne, dans le quartier Planoise, à Besançon. L’individu est défavorablement connu des services de police. Il est connu comme un acteur local du trafic de stupéfiants.

Lors de son interpellation, un gramme de cocaïne, un petit sachet contenant un gramme d’herbe de cannabis et 1300 euros en billets et petit numéraire ont été découverts. Le jeune individu a refusé d’être auditionné. Il a été déféré, avant d’être remis en liberté.

Une discorde  entre voisin s’est réglée à coups de machette et de serpette le 6 février dernier. La victime, un homme de 35 ans, s’est présentée au domicile de son agresseur suite à un problème de tapage, rue des Pâquerettes à Besançon. Le trentenaire a été blessé à trois reprises, à la main droite, au niveau de la hanche gauche et de l’avant-bras gauche.

L’auteur des faits a été interpellé et conduit en garde à vue différée en raison de son alcoolémie. La victime a été transportée à l’hôpital et prise en charge par les policiers pour son dépôt de plainte. Déféré mardi matin, l’agresseur présumé a été placé sous contrôle judiciaire.

Une jeune femme de 20 ans devra s’expliquer le 16 mai prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Dans la nuit de lundi à mardi, elle a insulté le veilleur de nuit de l’hôtel Ibis, rue Foch. Elle a également porté un coup de pied au niveau de la jambe d’une policière puis elle lui a craché au visage à trois reprises, tout en l’insultant. Elle a été interpellée et placée en garde à vue différée pour cause d’alcoolémie. Au cours de son audition, cette dernière a indiqué qu’elle ne se rappelait pas des faits à cause de son alcoolisation excessive.

Ce lundi a débuté la deuxième et avant dernière semaine du procès de Nordhal Lelandais, le tueur présumé de Maëlys. L’après-midi a été marqué par les témoignages de la famille de la petite victime. Au cours de l’audience, la grande sœur de Maëlys, âgée de 17 ans, s’est adressée à Lelandais et lui a demandé d’avoir « le courage et la dignité de parler ».

Elle a également souhaité savoir s’il avait violé sa sœur. Il a répondu « non ». Précisons  qu'au cours de l'audience,  Lelandais a reconnu  avoir des penchants pédophiles. Ce qui n'avait jamais été le cas jusqu'à présent. Le procès reprendra ce mardi matin à 9h.

Suite à des agressions entre bandes de jeunes, survenues depuis le 4 février dernier, 71 CRS ont été appelés en renfort à Dijon, dans le quartier sensible de Fontaine d’Ouche. Des agressions sont apparues ces derniers jours dans le milieu scolaire.

Ce sont des informations diffusées sur les réseaux sociaux qui ont mis le feu aux poudres.  Des interpellations ont été effectuées. Cette présence policière se poursuit ce lundi. Les autorités craignent une escalade de la violence dans la capitale régionale.

Jeudi, vers 21h, rue de Velotte, à Besançon, lors d’un contrôle, une patrouille de police a identifié un conducteur de 24 ans qui n’était pas titulaire du permis de conduire. Après vérification, il est apparu que le véhicule n’était pas assuré et que le contrôle technique n’était pas valide. Le jeune homme faisait également l’objet d’une fiche de recherche. Il a été placé en garde à vue.