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Un jeune homme de 18 ans a été interpellé mardi soir, à 19h, rue Ravel à Besançon. Il se trouvait sur un point de deal et s’adonnait à de la vente de produits stupéfiants. Il a été trouvé en possession de 62 grammes de résine de cannabis, 4 grammes de cocaïne et la somme de 230 euros. A l’issue de sa présentation devant la justice, il a été condamné à une peine de six mois d’emprisonnement assortie du sursis probatoire.

Cette semaine se tient au palais de justice de Besançon, le premier procès sur les fusillades qui ont secoué le quartier de Planoise entre 2019 et 2020. Sept prévenus comparaissent, dont un homme qui est soupçonné d’avoir piloté un trafic de stupéfiants depuis sa prison et ordonné des règlements de compte.

Ce procès plonge au cœur du trafic de stupéfiants de Besançon. De la gestion, de la vente, et du chiffre d’affaires, en passant par le recrutement des vendeurs, mais aussi la concurrence pour occuper les points de deal. Et bien évidemment de toutes les violences qui en résultent. Depuis ce lundi, ce sont sept individus qui sont jugés au palais de justice de Besançon pour une dizaine de fusillades ayant eu lieu entre novembre 2019 et mars 2020. Des coups de feu et une affaire de séquestration qui ont fait cinq victimes, et qui découlent directement de cette guerre entre deux bandes rivales. Tous les prévenus sont soupçonnés d’avoir pris part au trafic du clan « de la Tour » et à ces fusillades. Une escalade de violence qui a conduit à l’assassinat d’un innocent : Houcine Hakkar, abattu par erreur, le 8 mars 2020. Le délibéré est attendu pour la fin de semaine.

Hier soir, l’association Solmiré s’est livré à une action choc à la Gare Viotte pour soutenir la petite Mariama et sa famille qui sont menacées d’expulsion. La fillette de 4 ans risque l’excision en cas de retour dans son pays d’origine la Sierra Leone. D’autres actions sont prévues pour la demande d’asile de Mariama.

“C’est tellement dur pour moi, je ne suis plus moi-même", prononce Juliana en larme. Victime d’excision à l’âge de 15 ans, elle quitte son pays la Sierra Leone en 2017 lorsqu’elle est menacée d’une seconde mutilation. Exilée en Allemagne la jeune femme donne naissance à deux enfants avant d’être menacée d’expulsion et trouver refuge en France au début de l’automne 2021. La préfecture du Doubs estime que d’après les lois et la procédure de Dublin, l’Allemagne est le pays qui doit donner le droit d’asile à la famille.

Sauver la petite Mariana

En cas de retour au Sierra Leone, la petite Mariana âgée de 5 ans risque de subir le même sort. “On a décidé de faire une action choc pour vraiment rendre cette situation visible et que les choses avancent auprès du préfet.” explique Lucie, bénévole dans le collectif Solmiré. L’action a pour but d’imager la cruauté de l’excision. Un mannequin à l’effigie du préfet ferme brusquement un sécateur, s’en suit des jets de faux sang qui viennent éclabousser des femmes vêtues d’un seul drap blanc. Des scènes fortes qui ont interpelé de nombreux usagers de la gare. L’association compte sur ces initiatives pour obtenir au plus vite le droit d’asile pour Juliana et ses deux enfants.

Un jeune motard, âgé de 20 ans, devra s’expliquer le 6 septembre prochain devant la justice. Samedi après-midi, vers 15h30, à Pontarlier, une patrouille de police a constaté que l’individu pratiquait le rodéo. Il a tenté de prendre la fuite, mais il a été interpellé. Au cours de son audition, il a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés.

Ce vendredi, la cour d’appel de Besançon a confirmé la condamnation de Jonathann Daval à verser 160.000 euros de dommages et intérêts à la famille d’Alexia Daval. Rappelons que le meurtrier purge actuellement une peine de 25 ans de réclusion pour le meurtre de la jeune femme, survenu en 2017. La famille de la victime réclamait 350.000 euros

Deux individus, originaires des Pays de l’Est, devront s’expliquer le 6 octobre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Jeudi après-midi, vers 14h30, l’un d’eux a été interpellé après avoir commis un vol au préjudice d’une parfumerie de la zone commerciale de Doubs. Quelques minutes plus tard, un automobiliste s’est présenté aux policiers. A l’intérieur de son véhicule se trouvait une quinzaine de bouteilles d’alcool, qui s’avèreront avoir été volée dans une enseigne bisontine.

Les investigations policières ont permis d’établir que le véhicule avait été mis sous surveillance par la gendarmerie dans les Côtes d’Armor à la suite de vols à l’étalage dans la région. Au total, l’enquête de police a identifié six autres vols, commis notamment à Besançon. Le préjudice total s’élève à 2.150 euros

On a appris ce mercredi que la première présidente de la cour d’appel de Besançon a désigné, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties, la cour d’assises de Haute-Saône , dont le siège est à Vesoul, pour statuer en appel dans le dossier Zepeda.

L’audience devrait se tenir au premier semestre 2023. Rappelons que le Chilien Nicolas Zepeda a été condamné à 28 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat, en 2016 à Besançon, de son ancienne petite amie, l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki.

La nuit dernière, vers 00h15, rue Péclet, à Besançon, une patrouille de la police nationale a interpellé un homme de 38 ans qui circulait en sens interdit en scooter. Le dépistage d’imprégnation alcoolique pratiqué par les fonctionnaires s’est révélé positif. L’individu présentait un taux de 1,68 gramme d’alcool par litre de sang. Il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Cette dernière est toujours d’actualité ce matin.

Europe Ecologie Les Verts vient de porter plainte à la suite de tags néo-nazis et d’inscriptions incitant à la haine raciale découverts sur une affiche électorale de Stéphane Ravacley, candidat dans la 2è circonscription du Doubs aux législatives. Rappelons que le boulanger bisontin porte les couleurs de la NUPES, la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale, dans ce scrutin. 

Les deux adolescents de 14 et 17 ans, soupçonnés d’avoir jeté des colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon, devront s’expliquer le 26 août prochain devant la justice. Ce sont des policiers municipaux qui ont été requis par le centre de supervision urbaine de la ville. Les colis n’ont pas été retrouvés.

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