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L’info est relatée dans les colonnes du journal « Le Progrès »  de ce matin. Dans le Jura, le parquet a classé sans suite l’affaire de cette femme retrouvée sans vie à proximité d’un kiosque dans le centre-ville de Poligny. Le quotidien jurassien explique,  qu’après les résultats de l’autopsie qui n’avaient pas permis de faire avancer l’enquête, les nouvelles expertises n’ont rien donné. La thèse d’un décès accidentel a donc été conclue par le procureur de la république du Jura.

A la suite de trois plaintes déposées au Parquet de Besançon pour des faits de violences sexuelles, une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur les agissements d’un individu, qui n’était pas titulaire, au début de ses interventions, du diplôme d’assistant en médecine esthétique. Ce dernier est soupçonné d’avoir commis des agressions et violences sexuelles sur  certaines de ses patientes lors de séances d’épilation du maillot. Les faits auraient été commis à Besançon dans le cabinet de son frère, qui exerce en toute légalité la profession de médecin dermatologue. Les faits dénoncés courent entre  mars 2020 et octobre 2021. Le faux médecin aurait mené ses premières interventions dès le mois de novembre 2019. Suite à un appel à témoins, ce sont dix nouvelles plaintes qui ont été enregistrées. La dernière est parvenue en mai dernier. Cinq viols auraient été commis.

L’individu  réfute les faits qui lui sont reprochés. Pour l’heure, il a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il lui est bien entendu interdit de pratiquer cette  profession. Lorsque le dossier sera clos, il sera envoyé au conseil de l’ordre des médecins qui statuera également sur le cas des deux protagonistes.

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

 

Concernant le décès d’un jeune homme de 29 ans, survenu dans la nuit de samedi à dimanche à Besançon, Faubourg Tarragnoz, Etienne Manteaux, le Procureur de la République, a indiqué ce mardi après-midi, lors d’une conférence de presse, que les enquêteurs sont dans l’attente du résultat des analyses toxicologiques. Rappelons que la victime, qui s’est vu refuser l’entrée à la discothèque le QG à Besançon, « en raison de son comportement », s’est mise en colère. Elle  va commettre des dégradations, qui engendrent le déplacement d’une patrouille de police.

 Maîtrisé par les vigiles, l’individu réussit à s’enfuir avant l’arrivée des policiers. Il prend la direction du chemin de Mazagran pour rejoindre le Faubourg Tarragnoz. A cet endroit, il prend un petit chemin et grimpe une pente très escarpée et se retrouve au-dessus d’un muret dont la hauteur est estimée à 4 mètres. En pleine nuit, les policiers découvriront le corps du jeune fuyard au pied de ce muret.

Etienne Manteaux souligne qu’aucun manquement n’a été constaté. Ce jeune homme de 29 ans n’avait pas d’antécédent judiciaire. D’où une des interrogations sur son comportement ce soir-là.  Pour l’heure, aucune poursuite n’est envisagée.  Le Procureur de la République et Yves Cellier, le directeur de la sécurité publique du Doubs, précise qu’aucune chasse à l’homme n’a eu lieu et qu’il était difficile d’apprécier la dangerosité de l’endroit en raison de l’obscurité pour la patrouille dépêchée sur place.

Le reportage de la rédaction / Etienne Manteaux et Yves Cellier

 

L’affaire de l’ostéopathe de Pontarlier, soupçonné de viol et d’agression sexuelle, devrait être close l’automne prochain. Le mis en cause pourrait comparaître devant une cour d’assises. L’affaire est apparue durant l’été 2020 après plusieurs plaintes déposées par des patientes. Depuis sa médiatisation, 19 personnes se sont manifestées.

Huit faits de viol, avec des actes de pénétration vaginale, ont été enregistrés. L’individu est pour l’heure placé sous contrôle judiciaire,  avec interdiction d’exercer. Il conteste les faits qui lui sont reprochés et qui auraient été commis entre janvier 2018 et décembre 2020.

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

 

Un homme s’expliquera le 6 décembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences et proféré des menaces dans un établissement de restauration rapide au centre-ville de Besançon. L’individu a été interpellé et conduit au commissariat de la Gare d’Eau. La victime a porté plainte.

Le trentenaire n’aurait pas accepté que la jeune femme refuse son invitation à partager un verre. Il l’aurait menacé en la pointant du doigt et lui aurait jeté un verre de café à la figure. Au cours de son audition, l’individu a reconnu les faits. Justifiant que sa réponse « n’était pas élégante ».

L’individu, qui a tenté de donner un coup de couteau à un sapeur-pompier qui venait lui porter secours alors qu’il menaçait de se jeter dans le Doubs, au niveau de chemin de Mazagran, à Besançon, a été placé sous contrôle judiciaire en attendant son jugement qui se tiendra le 25 novembre prochain. Les faits se sont produits le 24 juillet dernier, vers 00h30. Cette personne dépressive était fortement alcoolisée. Elle présentait un taux de 1,84 gramme d’alcool dans le sang.

La police de Pontarlier appelle les responsables d’entreprise à la prudence. Il est constaté que des individus n’hésitent pas à s’introduire dans la cour d’une société pour se servir et s’emparer de déchets et autres matières premières qu’ils jugent intéressant.

Le commissariat de police invite les entrepreneurs à signaler ces entrées illicites. A Pontarlier, une patrouille supplémentaire a été mise en place pour mettre un terme à ces délits. Les victimes sont appelées à composer le 03.81.38.51.10. Un individu semble avoir été identifié dans le Haut-Doubs.

Un automobiliste de 23 ans devra s’expliquer en septembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Lundi, vers 17h, une patrouille de police a constaté qu’il était au volant alors que son permis de conduire lui avait été retiré. Il a tenté de prendre la fuite, mais les policiers sont parvenus à l’interpeller. Son passager s’est sauvé avec les clés du véhicule. Lors de sa garde à vue, le conducteur a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Sa voiture a été placée sous scellé en fourrière.

Un homme et son ex-compagne seront déférés en vue d’une comparution immédiate ce mercredi matin à Besançon. Ces deux personnes devront s’expliquer pour des faits de violence survenus samedi après-midi à Pontarlier. Les deux individus se sont mutuellement agressés lorsque la femme, qui était venue passer un moment chez l’homme en compagnie de sa fille, a choisi de quitter les lieux.

Le père de famille aurait jeté une assiette au visage de sa victime, lui occasionnant une plaie. Il l’aurait également poussée au sol. Pour se venger et se sauver avec sa fille aurait donné, avec la pointe d’un couteau, deux coups dans le mollet de son opposant. Les deux protagonistes ont été interpellés lundi à leur domicile respectif. La femme, âgée de 46 ans, s’est vu prescrire 5 jours d’ITT. Un seul jour pour son ancien compagnon, âgé de 47 ans.

Les gardes à vue des deux individus, impliqués dans des violences conjugales, ont été prolongées. à Besançon. Les faits ont été commis au cours de la soirée de samedi et la nuit de samedi à dimanche. Le premier homme, âgé de 50 ans, a été interpellé avec un taux de plus de 2 grammes d’alcool dans le sang. L’interpellation du deuxième, âgé de 37 ans, s’est effectuée rue Battant. Il était également alcoolisé (0,70 gramme d’alcool dans le sang).