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Ce lundi 9 mai, deux jeunes gens, âgés de 18 et 25 ans, ont été interpellés après avoir tenté de jeter des colis contenant des denrées périssables par-dessus  l’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. L’un d’eux a tenté de prendre la fuite, mais il a été rattrapé par les forces de l’ordre.

Un homme de 19 ans sera déféré ce vendredi matin devant la justice en vue d’une comparution immédiate. Mercredi matin, il a été contrôlé dans les communs d’un immeuble, situé 6 rue Van Gogh, en possession de stupéfiants et d’argent. Il avait sur lui 370 grammes de résine de cannabis, 22 grammes d’herbe, 26 grammes de cocaïne et 610 euros d’argent. Lors de son audition, il a invoqué le droit au silence. La perquisition menée à son domicile s’est révélée négative. Seul un téléphone portable a été saisi.

Un jeune homme, âgé de 17 ans, devra s’expliquer prochainement devant la justice. Il est soupçonné d’avoir dérobé une voiture à Besançon. Son propriétaire a pu identifier l’auteur et le véhicule en consultant le réseau social « Snapchat Â». Ce dernier a convenu un rendez-vous avec le malfrat présumé dans la nuit de lundi à mardi.

Les policiers se sont également rendus sur place et ont appréhendé l’adolescent, qui a été conduit au commissariat. La palpation de sécurité a permis de constater qu’il était également en possession d’un opinel. En attendant de s’expliquer devant un juge, il a été remis à ses parents.

Un homme de 44 ans devra s’expliquer en novembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir menacé de viol deux jeunes filles,  lundi soir, vers 22h15, quai Veil Picard à Besançon. Le quadragénaire, alcoolisé, aurait tenté de mettre des coups à l’une de ses victimes, qui s’est défendue.

Lors de la palpation de sécurité, un couteau de type Opinel a été trouvé sur lui. Au commissariat, son alcoolémie s’établissait à 1,66 gramme dans le sang. Il a nié les menaces de viol, mais a reconnu la possession de l’opinel, « sans aucune raison légitime Â», selon lui.

A Pontarlier, le commandant Trousseau appelle la population à la prudence et à la vigilance. Avec notamment le retour des beaux jours, les vols à la roulotte sont une réalité. Pour s’en protéger, il convient d’adopter les bons comportements. Cacher ses documents, papiers et sacs à mains dans son véhicule n’est sans doute pas la meilleure des solutions. Pensez également à faire des photocopies de vos documents les plus précieux.

Il en est de même si vous organisez un pique-nique ou laisser vos affaires quelques instants sans surveillance pour aller piquer une tête dans les beaux lacs naturels de la région ou les piscines franc-comtoises. « Des personnes mal intentionnées peuvent facilement repérer vos biens et s’emparer d’une partie de vos affaires Â» explique le policier.

En appliquant ces règles de bons sens, beaucoup de problèmes pourraient être éviter. En tout cas, n’hésitez pas à contacter les forces de l’ordre, si vous avez été victime de tels agissements. Le 17 ou le 03.81.38.51.10 ( pour le secteur de Pontarlier) sont à composer urgemment,  en évitant bien évidemment de toucher l’endroit violé.

L'interview de la rédaction

A Besançon. Un homme devra s’expliquer en octobre prochain devant la justice. Dimanche matin, une équipe de police secours s’est rendue au centre-ville, grande rue, pour un différend entre deux personnes dans un appartement.

Le requérant a expliqué aux policiers avoir reçu des coups de poing et de pied au visage par un individu qu’il avait hébergé pour la nuit. Une dispute au sujet d’un téléphone en serait à l’origine. L’agresseur a été interpellé et placé en garde à vue. Au cours de son audition, il a indiqué avoir été menacé avec un couteau de cuisine. Il a reconnu des échanges de coups réciproques avec son ami. Aucune ITT n’a été prescrite pour la victime.

C’est un fléau qui interpelle grandement la police de Pontarlier. Malgré la mise à disposition d’installations par les communes, le dépôt sauvage de déchets est récurrent. Il est également constaté que certains prennent de dangereuses libertés en  déposant  leurs détritus devant les portes des déchèteries. Une attitude qui ne passe pas et qui bien évidement conduit à une sanction lorsque les auteurs sont identifiés. La note est salée puisqu’elle peut s’élever à 1500 euros.

Des ressortissants suisses pas toujours respectueux de l’environnement

Ces infractions, observées sur le sol français, ne sont pas toujours à imputer aux locaux, mais parfois, des ressortissants suisses, peu scrupuleux, déposent leurs poubelles après avoir traversé la frontière. Tous ne passent pas à travers les mailles du filet. Bien au contraire. Les fonctionnaires des douanes veillent au grain et n’hésitent pas à sanctionner. Là aussi, les amendes sont bien réelles. Elles fluctuent avec le poids constaté.

Un jacuzzi en pleine nature

Dernièrement, un jacuzzi a été découvert  en pleine nature, sur un sentier. Pour l’heure, les indélicats n’ont pas encore été identifiés. Les investigations sont en cours et devraient rapidement mener aux auteurs. « Un acte que la justice saura sanctionner le moment venu Â» promet le Commandant Armand Trousseau.

L'interview de la rédaction / Le Commandant Armand Trousseau

Dans la nuit de jeudi à vendredi, à Besançon, une patrouille de police secours a pris en charge un individu d’une trentaine d’années qui venait de proférer des menaces de mort à l’encontre d’un agent de sécurité d’un établissement de nuit, situé  grande rue. Il l’aurait également menacé avec un couteau. Il était fortement alcoolisé. Ramené au commissariat, il a été placé en garde à vue avec notifications des droits différée. Entendu, il ne reconnaissait pas les faits. Il s’expliquera le 13 mai prochain devant la justice.

L’affaire concernant la disparition d’un homme, originaire de Serbie, est peut-être en passe d’être partiellement résolue. Son corps a peut être été retrouvé le 20 avril dans une maison désaffectée sur les rives du Doubs. Des proches avaient signalé sa disparition le 26 décembre dernier. Sa voiture avait été retrouvée dans le quartier Planoise et des traces de sang avaient été constatées dans le coffre de sa voiture.  

Ce mardi, le Conseil d’Etat a porté la suspension de l’athlète  Ophélie Claude Boxberger à quatre ans. Initialement, elle avait été suspendue à deux ans pour dopage par la commission des sanctions de l'Agence française de lutte contre le dopage. Estimant que l’athlète était coupable de falsification, la présidente de l’agence avait saisi le Conseil d'État pour contester la décision de la commission. Huit ans avaient alors été demandés par cette dernière.