Le Conseil d’Etat a annulé, ce jeudi, la dissolution du collectif écologiste « les Soulèvements de la Terre », prononcée, en juin dernier, par Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur. Selon l’instance, cette mesure, porte une atteinte grave à la liberté d’association ». Et de signifier que cette dissolution ne constituait pas « une mesure adaptée, nécessaire et proportionnée à la gravité des troubles susceptibles d’être portés à l’ordre public ».
Un automobiliste de 19 ans devra s’expliquer en mars prochain devant la justice. Lors d’un contrôle de police, menée Avenue Edgar Faure, à Besançon, les policiers ont aperçu un sachet au pied du conducteur. Le jeune homme confirma qu’il était en possession d’un morceau de résine de cannabis. Le chien spécialisé a permis la découverte sous le siège conducteur d’un morceau de cannabis et d’une capsule contenant une poudre blanche pouvant être de la cocaïne. Au total, les policiers ont découvert 52 grammes de cannabis et 1 gramme de cocaïne. Des stupéfiant qu’il a reconnu avoir acheté dans le quartier Planoise pour la somme de 300 euros.
Jean-Christophe Quenot, originaire de Besançon, poursuivi devant la cour criminelle départementale de Paris, a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle hier, après trois jours de procès. Il était jugé pour avoir abusé sexuellement de 25 enfants en Malaisie, âgés de 10 à 17 ans, entre 2014 et 2017.
Lundi, cet enseignant professeur de français avait tenté de minimiser les faits, en expliquant que « la vulnérabilité ( de ses victimes) n’était pas apparente ». L’individu avait été interpellé en mars 2019, à Besançon, chez sa mère, après avoir pris la fuite de Thaïlande ou il avait été interpellé. Il se trouvait dans une chambre d’hôtel avec deux jeunes garçons. Il avait réussi à échapper à des poursuites en payant une caution.
Le procès de Jean-Christophe Quenot, originaire de Besançon, se poursuit devant la cour criminelle départementale de Paris. Le prévenu est jugé pour avoir abusé sexuellement de 25 enfants en Malaisie, âgés de 10 à 17 ans, entre 2014 et 2017. Hier, cet enseignant professeur de français a tenté de minimiser les faits, en expliquant que « la vulnérabilité ( de ses victimes) n’était pas apparente ». La justice devrait prononcer son verdict ce mardi.
Un homme de 45 ans devra s’expliquer en janvier prochain devant la justice. Cet individu, au volant d’une voiture accidentée, a suscité la curiosité des policiers le 3 novembre dernier, rue de Dole. D’autant plus qu’il semblait dissimuler son visage avec des lunettes de soleil et une capuche. Les forces de l’ordre ont eu du flair car il s’est avéré que son permis de conduire était suspendu. Lors du contrôle, il a présenté celui de son frère, pensant tromper les policiers. Interpellé, il a été conduit au commissariat. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu les faits.
Un jeune homme de 18 ans a été condamné à 24 mois de prison, dont 18 mois ferme. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Le 1er novembre dernier, place de l’Europe, dans le quartier Planoise, il a été interpellé par une patrouille. A la vue des policiers, il a tenté de prendre la fuite, en compagnie d’un acolyte.
En courant, il s’est délesté d’un sac plastique, contenant des produits stupéfiants. Conduit, non sans difficulté au commissariat, les policiers découvriront, sur lui, 24 grammes de cocaïne, 10 grammes d’herbe de cannabis et 39 grammes de résine de cannabis. La perquisition à son domicile n’a rien donné. Lors de sa garde à vue, le mis en cause a reconnu l’intégralité des faits reprochés. Il a expliqué « revendre pour rembourser une dette de 400 €, mais sans lien avec les stupéfiants ».
Lundi soir, dans le cadre du prochain conseil municipal de Besançon, les élus se prononceront sur un vœu, déposé par la majorité municipale, portant sur les mineurs non accompagnés déclarés « non mineurs ». Les élus s’insurgent contre la situation de 78 jeunes, originaires d’Afrique, présentant des papiers les reconnaissant mineurs, mais que les autorités françaises, en l’occurrence le conseil Départemental du Doubs et la Préfecture contestent. L’affaire est actuellement dans les mains de la justice. Une partie de ces jeunes migrants ont été entendus mardi dernier par un juge des enfants.
Hébergés à Planoise
Pour l’heure, 41 des 78 jeunes en question ont été mis à l’abri dans des appartements appartenant à Loge.GBM à Planoise. Ils occupent, en compagnie d’une quarantaine d’autres demandeurs d’asile, un espace de sept étages, comprenant 27 logements. Ils sont pris en charge par la ville et le milieu associatif local, à la suite du démantèlement du camp qu’ils avaient installé rue d’Arène. Anne Vignot et son équipe demandent, par ce vœu, que le vide juridique qui ne reconnait ni la minorité, ni la majorité de ces personnes, soit comblé. Il est demandé « une loi plus claire en la matière et que l’état prenne ses responsabilités ». C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ce document sera envoyé au préfet, aux ministres concernés et aux parlementaires.
L'interbiew de la rédaction : Anne Vignot
Nordhal Lelandais va comparaître le 27 novembre devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières. Le meurtrier de Maëlys et du caporal Arthur Noyer est accusé « d’agression sexuelle sur mineur » et « menace de mort » sur l’une de ses cousines, âgées de 14 ans au moment des faits en 2017. Les faits se seraient produits le jour de l’enterrement du père de l’enfant. Rappelons que Lelandais a été condamné également pour des agressions sexuelles commises sur deux autres petites cousines.
Un individu, qui a maintenu au cours de sa garde à vue être mineur, devra s’expliquer en avril prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Dans la nuit du 29 octobre dernier, avec plusieurs personnes, il a pénétré dans un magasin, situé rue Marulaz à Besançon. Malgré sa tentative de fuite, il a pu être interpellé. Mauvaise pioche, l’intérieur de l’endroit, occupé illégalement, était en cours de création et les étagères étaient vides.
Au cours de son audition, il a expliqué qu’il avait bu et qu’il cherchait un lieu où passer la nuit. Le mise en cause était en garde à vue pour la deuxième fois de la semaine pour les mêmes faits. La victime a déposé plainte
La garde à vue d’un homme de 23 ans a été prolongé à Besançon. Dimanche après-midi, il s’est tristement illustré, tout d’abord au volant d’une voiture, en tentant de fausser compagnie aux policiers, puis à pied. Le mis en cause a été interpellé, non sans difficulté, dans le hall d’un immeuble, rue de Picardie, dans le quartier Planoise à Besançon.
Au cours de sa garde à vue, l’homme a reconnu la conduite sans permis de conduire. Concernant l’absence d’assurance, il a tenté de se justifier en expliquant qu’il voulait vendre le véhicule pour pièces. Par ailleurs, il a nié la rébellion, le refus d’obtempérer et la conduite sous stupéfiants. Il sera déféré ce mardi matin.