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Un homme de 33 ans devra s’expliquer en mars prochain devant la justice. Une expertise psychiatrique a également été demandée. Il est soupçonné d’avoir donné un coup de poing au niveau de la tempe droite d’une passagère dans le tram,  lundi matin, vers 5h30, à Besançon.

Lors de la palpation, il a été retrouvé en possession d’un couteau suisse. Devant les policiers, il n’a pas reconnu les faits. Aucune ITT n’a été prescrite à la victime. Cette dernière  a expliqué que le mis en cause l’a frappée lorsqu’elle a refusé de lui donner de l’argent. Une plainte a été déposée. Les policiers sont en attente, ce mardi soir, des images en provenance de la vidéo.

Un homme de 29 ans s’expliquera en décembre prochain devant le délégué du procureur de la République. Dimanche, vers 18h15, il  a tenté de fausser compagnie à une patrouille de police alors qu’il avait été repéré sur un point de deal, situé Boulevard Allende, dans le quartier Planoise à Besançon.

Dans sa fuite, il a été vu en train de jeter un couteau. Lors de la palpation de sécurité, il été constaté qu’il était en possession de 550 euros. Par ailleurs, il est apparu qu’il était en situation irrégulière. Il a été placé en garde à vue. Lors de son audition, il n’a pas reconnu le port illégal d’arme. Concernant l’argent découvert, il a expliqué qu’il était destiné à l’achat d’une poussette.

Les policiers pontissaliens ont eu à gérer une affaire de violences conjugales. Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 3h30, les forces de l’ordre sont intervenus dans un appartement. En voyant les fonctionnaires, le mari, alcoolisé et sans doute sous l’effet de stupéfiants,  s’est emporté. Il a insulté les policiers et leur a craché dessus. Ces derniers ont dû utiliser la force pour le maîtriser et l’interpeller. Placé en garde à vue, il s’est blessé en se jetant contre les murs et la porte de sa cellule. Il a été conduit à l’hôpital et récupéré dimanche matin. Il a été présenté à un magistrat ce lundi et jugé en comparution immédiate.

Un jeune homme de 21 ans a été interpellé dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 3h, à Besançon. Il a été placé en garde à vue avec notification des droits différée. Il est soupçonné d’avoir commis des violences sur une femme dans un bar. Lors de son interpellation, il présentait les signes caractéristiques de l’ivresse. Il a reconnu avoir bu du whisky et giflé sa victime. Cette dernière n’a pas souhaité porter plainte. Etant militaire au 19è régiment du génie, les autorités militaires ont été avisés.

Mardi après-midi, les policiers bisontins ont été pris à partie par un groupe d’individus rue Gounod. Alors qu’ils procédaient à l’interpellation de deux hommes, impliqués dans un trafic de stupéfiants, ils ont reçu des cailloux et des canettes en verre, lancés depuis un immeuble. Un attroupement hostile d’une dizaine d’individus s’est formé atour d’eux. Aucun policier n’a été blessé, mais ils ont porté plainte.

Les deux individus, soupçonnés d’être impliqués dans un trafic de stupéfiants, ont été conduits au commissariat et placés en garde à vue. Dans une sacoche jetée à terre, 915 euros, plus de 1 gramme de cocaïne, 60 grammes de résine de cannabis et 11 grammes d’herbe ont été retrouvés à l’intérieur.

Les deux perquisitions effectuées aux domiciles des mis en cause se sont révélées négatives. Au cours des auditions, l’un d’eux a réfuté les faits de violences qui lui sont imputés. En revanche, il dénonce des violences policières. Il reconnaît une consommation personnelle de drogue. L’argent correspondrait à son travail. La garde à vue des deux hommes a été levée jeudi. Ils s’expliqueront respectivement en octobre et février prochain devant la justice.

Un homme de 23 ans devra s’expliquer en 2023 devant la justice. Mardi, vers 22h45, il a été interpellé sur un parking de la rue de Picardie, dans le quartier Planoise, à Besançon, alors que, depuis une voiture, il semblait s’adonner à un trafic de stupéfiants. Les policiers ont découvert près de 10 grammes de cocaïne, 500 grammes de résine de cannabis, 80 grammes d’herbe de cannabis et 1.430 euros en numéraire. Au cours de son audition, il a nié être revendeur de stupéfiants. Il a expliqué être seulement le gardien d’une sacoche pour la somme de 130 euros et être consommateur de cannabis à raison de 5 à 6 joints par semaine.

On connaît les dates du procès en appel de Nicolas Zepeda. Il se déroulera du 21 février au 10 mars au palais de justice de Vesoul. Rappelons qu’en première instance, le Chilien a été condamné à 28 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, à Besançon, en décembre 2016.

Un Bisontin de 32 ans devra s’expliquer en 2023 devant la justice. Lundi soir, vers 18h, lors d’un contrôle, mené rue du Piémont, il est apparu que cet homme circulait sans son permis de conduire, qui était annulé depuis 2018. Lors de la palpation de sécurité, 2.165 euros ont été découverts sur lui.

L’individu a été interpellé et placé en garde à vue. Lors de son audition, le mis en cause a expliqué qu’il ne savait pas que son permis était annulé « car il était incarcéré entre 2019 et 2022 ». Il a nié être un vendeur de produits stupéfiants. Concernant l’argent, « c’est son patron qui lui aurait remis car il ne possède pas encore de compte bancaire ». Cet argent lui a d’ailleurs été restitué sur instruction d’un magistrat.

Mardi, vers 16h30, un homme de 51 ans, alcoolisé, a été interpellé à Besançon. Il brandissait un grand coup couteau. Il a été signalé, dans un premier temps, Pace de l’Europe. Son taux d’alcoolémie est estimé à 1,62 gramme d’alcool par litre de sang. Sa garde à vue était toujours d’actualité hier soir.

Un homme de 31 ans comparaîtra le 2 février prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Dimanche après-midi, à Besançon, une patrouille de police a interpellé ce motard qui pratiquait le rodéo sur le boulevard Léon Blum. A la vue des forces de l’ordre, l’individu, qui faisait une roue arrière, a chuté en tentant un demi-tour. Il a pris la fuite à pied, mais il a échoué. N’étant pas blessé, il a été placé en garde à vue. Le trentenaire a reconnu les faits. Son deux roues a été placé en fourrière.