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L’info est relatée par le journal « Le Progrès ». L’homme, soupçonné d’avoir agressé au couteau une femme et son bébé aux Rousses, le 4 février dernier, est toujours en soins psychiatriques. Nos confrères ont interrogé Lionel Pascal, le procureur de la république du Jura, qui leur a confié que l’enquête se poursuivait et que l’individu serait interrogé lorsque son état mental sera stabilisé.

Ce mercredi, à Besançon, le docteur Frédéric Péchier a été mis en examen pour deux nouveaux cas d’empoisonnement présumés de patients, dont un mortel. Il a été placé sous le statut de témoin assisté pour un troisième. Il est désormais soupçonné de 26 cas d’empoisonnement.

Les informations, données par l’avocat de la défense, ont été corrigées par Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, dans la journée.  Maître Randall Schwerdorffer a précisé que son client a gardé le silence face à la magistrate. IL n’a pas souhaité répondre aux questions qui lui étaient posées. Jusqu’à présent, l’anesthésiste était mis en examen pour 24 empoisonnements de patients, dont neuf mortels.

Le docteur Frédéric Péchier, accusé d’avoir volontairement empoisonné 24 patients, devait faire face à un nouvel interrogatoire de la juge d’instruction, ce mercredi à Besançon. L’anesthésiste, qui ne cesse de clamer son innocence, n’a pas souhaité répondre aux questions portant sur sept autres arrêts cardiaques suspects. Un huitième cas a été écarté. Il a été mis en examen pour ces nouveaux cas, portant le total à 31 empoisonnements.

La juge d’instruction souhaitait entendre le médecin sur huit autres arrêts cardiaques de patients, à la lumière de récentes investigations et de nouvelles contre-expertises médicales. Frédéric Péchier a gardé le silence, comme la loi le lui permet. Le médecin, âgé de 51 ans, se trouve désormais soupçonné de 31 cas au total. C'est Me Randall Schwerdorffer, l'avocat de Frédéric Péchier, qui a annoncé la nouvelle. La défense va contester ces nouvelles mises en examen selon l’avocat bisontin. Pour rappel, l'anesthésiste bisontin est soupçonné d'avoir pollué les poches de perfusion de patients entre 2008 et 2017 dans deux cliniques privées de Besançon, afin de provoquer des arrêts cardiaques pour démontrer ses talents de réanimateur, tout en discréditant des collègues avec lesquels il était en conflit.

 

Concernant l’affaire des tilleuls remarquables, le tribunal administratif de Besançon se positionnera ce jeudi matin sur la nouvelle requête en référé déposée par l’association « Arçon Nature et Patrimoine ». Il y a quelques semaines, la commune d’Arçon, malgré la suspension de la première autorisation, a reçu de la Préfecture du Doubs l’aval pour abattre les 15 arbres en question. Rappelons que  Doubs Nature Environnement  a dernièrement apporté son soutien au collectif local dans son combat et son action juridique.

Un homme de 37 ans n’en a pas encore terminé avec la justice. Lundi, vers 18h, il a été interpellé 1 rue des Causses à Besançon lors d’un contrôle routier. Interrogé sur une possible possession de produits stupéfiants, le trentenaire a remis un bocal contenant de la résine de cannabis aux policiers. Le test de dépistage aux stupéfiants s’est révélé positif. Il était également au volant malgré une suspension de son permis de conduire. Au cours de son audition, il a reconnu les faits. Sa garde à vue a été levée hier. Il sera reconvoqué lorsque les résultats toxicologiques définitifs seront connus.

Un homme a dernièrement été extrait quelques heures de la maison d’arrêt de Besançon pour être entendu sur plusieurs affaires dans lesquelles il pourrait être impliqué. Il s’agit de vols et dégradations, commis à plusieurs endroits dans Besançon. Le quinquagénaire a reconnu les six faits qui lui sont reprochés.

On le soupçonne notamment d’être entré par infraction dan un local, mis à disposition des réfugiés ukrainiens, à la Malcombe, et d’avoir consommé de la nourriture. Il aurait également pénétré, à plusieurs reprises,  l’été dernier, à l’intérieur du CHU Minjoz pour y dérober des effets personnels et des cartes bancaires après avoir forcé 37 casiers destinés au personnel soignant.

Libre sous contrôle judiciaire, l’anesthésiste Frédéric Péchier retrouve le palais de justice de Besançon ce mercredi. Il va devoir s’expliquer sur huit autres cas présumés d’empoisonnement, pour lesquels il pourrait être mis en examen. Quatre d’entre eux sont mortels. Rappelons que M. Péchier est déjà mis en examen pour 24 empoisonnements de patients, dont 13 mortels. Trois jours d’audience l’attendent.

Hier après-midi, vers 15h30, un homme de 38 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Elle était toujours d’actualité ce matin. Lors d’un contrôle routier, mené rue Chifflet, les policiers bisontins ont constaté qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire et qu’il n’était pas assuré.

Un homme de 31 ans, en situation irrégulière, devra s’expliquer devant la justice. Le 5 mars dernier, cet individu, ivre, a bousculé une femme. Une personne s’est interposée pour la protéger. Cette dernière a confirmé les faits. L’individu aurait tenté de lui caresser le cou également. Le mis en cause a fait l’objet d’une OQTF. Il est assigné à résidence. Il comparaîtra le 9 octobre prochain devant un tribunal.

Un Pontissalien de 34 ans devra s’expliquer en juillet prochain devant la justice pour des faits d’insultes et menaces par voie téléphonique en direction de son ex-compagne. Des faits qu’il a reconnus lors de sa garde à vue. La victime est âgée de 34 ans également.