Jusqu’au 10 novembre, les Rois Vagabonds dressent leur chapiteau rue de Cologne, dans le quartier Planoise, à Besançon pour « Concerto pour deux clowns ». Autour de ce spectacle, la Ville lance une programmation « OFF » baptisée Grand Théâtre Éphémère, en lien avec les acteurs du quartier et pilotée par la Maison de quartier.
Pendant plus d’un mois, ce lieu vivant accueillera ateliers artistiques, spectacles familiaux, concerts, rencontres interculturelles, actions de sensibilisation et temps conviviaux. Sophrologie, yoga du rire, graff, sérigraphie, Octobre rose, gala de boxe, gospel, Fiesta Latina… chaque semaine offrira une palette d’événements ouverts à toutes et tous.
Au cœur de Planoise, ce théâtre temporaire devient un carrefour culturel et festif.
Face à l’engouement du public (près de 25 000 visiteurs), l’accrochage Marcel Prunier. Dessiner les Années folles est prolongé jusqu’au 1er mars 2026 au musée du Temps de Besançon. Une soixantaine de dessins de l’artiste y sont exposés dans le cabinet de curiosités. Une Nocturne festive est prévue le 14 novembre, de 18h à 22h, avec danse, visites, ateliers et ambiance Charleston. Tenue d’époque vivement conseillée ! Entrée libre dans la limite des places disponibles.
À l’occasion de la reconnaissance officielle de la Palestine comme État souverain par la France, les élu·e·s de la majorité municipale de Besançon annoncent la levée du drapeau palestinien ce lundi 22 septembre à 21 h 30 sur l’Esplanade des Droits de l’Homme. Ce geste fort coïncidera avec la prise de parole du Président Emmanuel Macron. La décision a été prise en concertation avec l’ensemble des groupes politiques du conseil municipal.
À l’occasion des Journées européennes du patrimoine, Anne Vignot, Maire de Besançon, et son équipe municipale invitent le public à explorer l’Hôtel de Ville, place du 8 septembre. Ce bâtiment emblématique, construit au XVIe siècle en pierres de Chailluz par l’architecte Richard Maire, est classé aux Monuments historiques et a été restauré en 2019.
Lieu central de la vie démocratique locale, il abrite les réunions du conseil municipal. Le dimanche 21 septembre, de 11h à 18h, les élus proposeront des visites commentées de la salle du Conseil, du salon des Portraits des maires et de l’ancien bureau de Jean Minjoz.
Rendez-vous au rez-de-chaussée, face à l’Office de Tourisme de Grand Besançon.
Un accident de la route s’est produit ce jeudi en fin d’après-midi, à Besançon, à sur la RN57, dans le sens Vesoul-Besançon. L’incident implique un véhicule seul, immobilisé sur la voie de droite. Aucun impact sur la circulation n’a été signalé. Une victime, consciente, a été prise en charge par les secours pour un bilan médical.
La Ville de Besançon franchit une nouvelle étape dans son Plan Eau avec un projet novateur en France : la récupération et la réutilisation de l’eau de la piscine Mallarmé pour l’arrosage du complexe sportif Léo Lagrange.
Un double constat : sécheresses et gaspillage d’eau
Depuis plusieurs années, les sécheresses estivales fragilisent les terrains de sport de la ville, au point d’obliger la municipalité à négocier des dérogations préfectorales pour maintenir un minimum d’arrosage. Parallèlement, la réglementation impose aux piscines municipales de renouveler régulièrement leur eau : près de 20.000 m³ par an sont ainsi rejetés vers la station d’épuration. « Il nous fallait trouver une convergence entre ces deux problématiques : éviter de gaspiller l’eau des piscines et sécuriser l’entretien de nos terrains », a résumé la maire Anne Vignot.
L'interview de la rédaction : Jean Emmanuel Lafarge, l’élu en charge de la maîtrise d’énergie à la Ville de Besançon
La solution : décloration, stockage et pompage
Le dispositif repose sur trois étapes :
Déchlorer les eaux issues de la piscine Mallarmé, qu’il s’agisse des vidanges annuelles ou du renouvellement quotidien imposé (30 litres par nageur et par jour).
Stocker l’eau traitée dans deux cuves géantes de 4 000 m³ installées sur le site de la piscine.
Acheminer cette ressource, grâce à un réseau de pompes et de canalisations enterrées, jusqu’aux terrains du complexe Léo Lagrange, équipés d’arrosage automatique.
Ce volume tampon assure deux mois d’autonomie en période de sécheresse et couvre l’essentiel des besoins annuels du stade (environ 8 000 m³).
Un projet pionnier et collectif
Ce chantier, chiffré à près d’un million d’euros, mobilise plusieurs services municipaux : sports, espaces verts, bâtiments. Sa mise en service est prévue pour janvier 2026, en cohérence avec la vidange hivernale de la piscine Mallarmé. « Ce système n’a pas d’équivalent en France, du moins à cette échelle », souligne Jean Emmanuel Lafarge, l’élu en charge de la maîtrise d’énergie. Outre l’arrosage des terrains, l’eau récupérée pourra aussi servir à d’autres usages : balayeuses de voirie, nettoyage des engins, voire arrosage d’arbres nouvellement plantés.
L'interview de la rédaction : Jean Emmanuel Lafarge, l’élu en charge de la maîtrise d’énergie à la Ville de Besançon
Des bénéfices écologiques et financiers
L’opération réduit la pression sur le réseau d’eau potable, limite l’envoi d’eaux propres à la station d’épuration et sécurise la pratique sportive même en période de restriction préfectorale. Comparée à d’autres projets de récupération pluviale (ex. cuve de 130 m³ à l’école Brossolette), l’investissement se révèle trois fois plus efficient au mètre cube. « Ce n’est pas seulement un geste écologique, c’est aussi un choix économique et une garantie pour nos clubs sportifs et nos plantations », a insisté la maire.
Le musée des beaux-arts et d’archéologie de Besançon présente, jusqu’au 21 septembre, l’exposition Chorégraphies. Dessiner, danser (XVIIe-XXIe siècle). Plus de 250 œuvres et documents – dessins, carnets, partitions, vidéos – explorent les liens entre danse et écriture graphique, de la notation de Feuillet (1700) aux carnets d’Andy De Groat. Des prêts du Louvre et d’Orsay témoignent de l’histoire du ballet, quand dessiner servait à composer gestes et attitudes. L’exposition met aussi en lumière des pratiques sociales partagées, du recueil de Marie-Antoinette aux chorégraphes contemporains. Point d’orgue : la présentation d’une nouvelle version de Les Temps Tiraillés de Myriam Gourfink. Une immersion inédite dans la mémoire et l’invention de la danse.
L’ESBF débute sa nouvelle saison en D1 féminine avec une défaite. Les handballeuses bisontines se sont inclinés à Plan de Cuques sur le score de 33 à 24 ce mercredi. Il faudra absolument réagir mercredi prochain face à Achenheim Truchtersheim, qui s’est imposé hier soir (28 – 26).
Depuis le 1er septembre 2025, la Ville de Besançon a désactivé les commentaires sur ses publications institutionnelles Facebook. Cette décision repose sur des motifs juridiques liés au code électoral, afin de garantir l’égalité entre les listes candidates aux municipales de 2026 et d’éviter tout risque de promotion, directe ou indirecte, de la majorité ou de l’opposition. Les groupes d’opposition conservent par ailleurs leur droit d’expression dans les supports municipaux prévus par la loi.
Ce lundi 1er septembre, vers 13h30, à Besançon, un homme de 30 ans a menacé et insulté un passant avec une arme de poing devant une supérette de la rue Battant. La victime s’est réfugiée quelques minutes dans un commerce avant d’alerter la police municipale.
L’auteur a été interpellé et placé en garde à vue. L’arme, un pistolet de type airsoft, a été saisie. Il a été convoqué en composition pénale le 28 novembre et devra suivre un stage de citoyenneté ainsi qu’une injonction thérapeutique.