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Dans un communiqué de presse, le sénateur doubiste Jean-François Longeot a saisi le Secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes et la Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion concernant sa demande de prolongation des accords amiables conclus avec les états frontaliers s’agissant de la sécurité sociale.

Après l’obtention de la prolongation des accords amiables conclus entre les états frontaliers pour le télétravail et fixés au 30 septembre prochain, l’accord concernant la sécurité sociale a pu être décalé au 15 novembre. Mr Longeot demande également que la France s’aligne sur la mesure prise par d’autres pays européens qui se sont prononcés en faveur d’un assouplissement des règles d’affiliation jusqu’au 31 décembre 2021.

Dans un communiqué de presse, la CGT du Jura pointe la faible augmentation du SMIC, qui sera revalorisé de 34,20 euros le 1er octobre. Il passera ainsi à 1589 euros. « Cette décision est complètement insuffisante. Elle n’est, en aucun cas, liée à une volonté de revaloriser substantiellement le Smic, comme l’exige la CGT, chaque année, auprès du gouvernement » écrit le syndicat.

En parallèle, il est rappelé que « les multinationales du CAC 40 ont réalisé 57 milliards d’euros de profits au 1er semestre 2021 et l’argent public a été largement distribué aux entreprises ces derniers mois, sans aucun contrôle ni conditionnalité ». La CGT demande « une revalorisation générale des salaires ». Le syndicat revendique un salaire mensuel à 2000 euros bruts. Il porte d’ores et déjà cette revendication à la mobilisation interprofessionnels et intersyndicale  du 5 octobre.

C’est désormais acté. Le  groupe américain Kohler, spécialisé dans la fabrication de sanitaires en céramique, à travers sa marque Jacob Delafon, a cédé son site jurassien de Damparis au lorrain  Kramer.

L’annonce a été formulée hier,  via un communiqué de presse, par Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée à l’Industrie. « Nos efforts permettent aujourd'hui de sauver des savoir-faire uniques et d’offrir des perspectives aux salariés » a déclaré la ministre. Elle souligne le soutien déterminant de l’Etat, de la Région et de l’agglomération dans « cette réussite ».

Rappelons que Kramer s’est engagé à recruter 70 à 75 personnes sur une période d’un an afin de porter l’effectif global de l’usine à 150 personnes. Affaire à suivre…

Ce jeudi, une journée de mobilisation nationale se tiendra partout en France à l’initiative de l’APF. En Bourgogne Franche-Comté, un rassemblement se tiendra à Dijon. Une délégation de personnes en situation de handicap devrait être reçue en préfecture. Les manifestants demandent la déconjugalisation de l’allocation aux adultes handicapées (AAH) au salaire du conjoint ou de la conjointe de la personne.

Les manifestants pointent une décision qui place le bénéficiaire « dans une situation de dépendance, qui occulte son droit à percevoir des ressources personnelles, a nié son existence en tant qu’individu autonome et le fragilise « car la situation de dépendance financière peut entraîner de la maltraitance voire de la violence ».

L'interview de la rédaction : François Masson, représentant départemental de l'APF du Doubs

23 personnes sur les 40 que compte le DITEP de Revigny (Dispositif Institutionnel Thérapeutique Educatif et Pédagogique),  sont en grève depuis le 6 septembre dernier. Ces éducateurs, psychologues, maîtresses de maison psychomotricienne dénoncent leurs conditions de travail dégradées, avec des postes non pourvus et des locaux vétustes.

Les grévistes expliquent que leur santé physique et psychique a été mise à mal l’année écoulée avec cinq directeurs en deux ans et le non remplacement de leurs collègues malades ou cas contact. Ils dénoncent également la suspension de leurs collègues pour « non présentation du pass sanitaire ».

Le collectif réclame les moyens nécessaires pour réaliser ses missions. Les personnels mobilisés se disent déterminés pour poursuivre leur mouvement, jusqu’à obtenir satisfaction. Précisons que cet établissement accueille des enfants souffrants de troubles des conduites et du comportement.

Dans le Jura. L’union départementale CGT annonce qu’elle a déposé un préavis de grève courant du 14 septembre au 15 novembre. Il est porté par des agents du public et du privé. Les effets du pass sanitaire et les répercussions sur l'emploi inhérentes à sa mise en place sont à l’origine de cette action.

Le 9è carrefour des collectivités locales se tiendra les 23 et 24 septembre prochains à Besançon Micropolis. A travers ce traditionnel rendez-vous, la fédération Bourgogne Franche-Comté des Travaux Publics entend relancer convenablement son activité et tisser des liens forts et durables avec ses premiers partenaires que sont les collectivités locales. Ces dernières n’ont d’ailleurs pas laissé tomber ce secteur d’activité durant cette crise et les confinements successifs. Elles ont très vite relancé les chantiers et les commandes pour permettre aux entreprises de poursuivre leur activité et, ainsi pallier à la baisse des commandes émanant des particuliers et de l’état.

« Remettre les gens au travail »

Tisser du lien, échanger, montrer ce que l’on sait faire, prendre des contacts, remplir les bons de commande, tels sont les grands enjeux de ce carrefour, placé également sous le signe de l’engagement en faveur de l’écologie. Vincent Martin, le président de la fédération,  en profitera sans doute pour appeler à la mobilisation et à la reprise. Malgré les nombreuses personnes sans emploi, les entreprises du BTP ne parviennent pas à recruter. « Il faut changer les mentalités et retrouver la motivation. Il faut retourner bosser’ lance M Martin.

L'interview de la rédaction

Ce jeudi 9 septembre, à partir de 15h, la CGT salariés-étudiants organise une distribution de fournitures scolaires 11 rue Battant, au centre-ville bisontin. Lors de la dernière année scolaire, le syndicat avait déjà mené des actions identiques dans la cité comtoise.

L’intersyndicale CGT, FO, FSU et Solidaires organise un rassemblement ce jeudi 2 septembre à 17h30 devant le centre Nelson Mandela  à Besançon, dans le quartier Planoise, pour s’opposer au pass sanitaire et dénoncer la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement. 

Dans la continuité des actions des 9, 19 et 26 août derniers, les manifestants demandent « l’abrogation du pass sanitaire et de ses conséquences, une autre politique sanitaire, la création de lits et de postes de soignants et un accès libre à la culture, dans les médiathèques, bibliothèques, et salles de spectacle, au sport et aux loisirs tout en maintenant une protection sanitaire ».

Petit rassemblement ce matin à Besançon, sur la place des droits de l’homme. Une trentaine d’agents de la ville, des militants syndicalistes et quelques citoyens se sont donnés rendez-vous pour dénoncer l’application du passe sanitaire. Rappelons que depuis ce lundi 30 août,  le passe sanitaire devient obligatoire pour les employés des lieux où le public le présente.

Ce document ne fait pas l’unanimité. Les manifestants dénoncent « une loi discriminante et injuste ».  D’autant plus qu’au sein d’une même administration, d’un même service, tous les agents ne sont pas dans l’obligation de le présenter. Pour les manifestants cette loi est d’autant plus incompréhensible que, même s’ils sont vaccinés, ils peuvent toujours transmettre la maladie. Ce qui les inquiète particulièrement

« Une loi liberticide »

Au-delà de cette situation, certains continuent de pointer une loi « liberticide ». Ils dénoncent les sanctions appliquées, l’instauration d’un contrôle sur la population, la division de la population et la dégradation des conditions de travail des agents ». Une situation jugée intolérable, car, selon eux, au début de la pandémie, les fonctionnaires ont été « utilisés » et ont répondu présent, « sans masque et sans gel », pour assurer la continuité du service public.

MANIF PASS SANITAIRE AGENTS CGT

 

Vers des reclassements ?

Anne Vignot, la Maire de Besançon, et Elise Aebischer, en charge des relations aux usagers et des ressources humaines, sont venus rencontrer les manifestants. Elles leur ont rappelé le cadre et les décrets qui ont été pris pour en arriver là. Anne Vignot n’exclut pas la possibilité de faire appliquer la loi. C’est-à-dire de procéder à la suspension de l’agent réfractaire. Néanmoins, avant d’en arriver à cette solution ultime, des discussions sont prévues. La possibilité d’un reclassement n’est également pas exclue.

L'interview de la rédaction / M. Portugal (syndicat

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