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L’Etablissement Français du Sang appelle à la mobilisation. Les réserves de produits sanguins sont fragiles. Les vacances scolaires et le jour férié de la Toussaint ont impacté les réserves de produits sanguins. Les épidémies hivernales ont également limité le nombre des donneurs. Ainsi, l’EFS appelle les personnes qui le peuvent à se rendre dans le lieu de collecte le plus proche dans les jours à venir. Pour  prendre rendez-vous : https://dondesang.efs.sante.fr/

Plusieurs salades préparées de la marque Casino, commercialisées dans tout le pays, dans les magasins Casinos, Vival, et Spar, entre le 27 octobre et le 1er novembre, font l’objet d’un rappel. Il s’agit de carottes râpées, céleri rémoulade et macédoine de légumes.  Des traces de produit détartrant ont été retrouvées à l’intérieur. Les consommateurs ayant acheté un de ces produits ne doivent bien évidemment pas le consommer. Il leur est possible de rapporter le produit au point de vente ou de le détruire. Ils peuvent également solliciter un remboursement.

En compagnie de partenaires associatifs et institutionnels, la ville de Besançon travaille, depuis trois ans, sur un projet de maison des femmes. La nouvelle infrastructure qui devrait voir le jour d’ici la fin de l’année 2024, début 2025, s’installera dans les locaux de la résidence autonome Henri Huot, qui est désormais inoccupée, rue Jean Wyrsch. L’objectif est de concentrer en un même lieu un ensemble de services, répondant majoritairement aux besoins des femmes victimes de violences. Le coût de l’acquisition de cette bâtisse s’élève à 1,2 million d’euros.

La Ville de Besançon et ses partenaires veulent donner naissance à un lieu unique, permettant de donner des réponses multiples. Et ce, dans les domaines psycho-sociaux, juridiques et médicaux . Certaines structures, à l’image de Solidarité Femmes, occuperont pleinement ce nouvel espace. D’autres assureront des permanences.  Des bureaux d’entretiens, un centre de ressources, une salle de formation pour les professionnels, une salle informatique, une recyclerie et un espace de stockage Banque Alimentaire, un espace pour accueillir les enfants et travailler sur la parentalité et une cuisine et un espace de vie pour l’accueil de jour des femmes en grande difficulté seront aménagés.

Par ce projet, à l’image d’Elise Aebischer, l’élue bisontine en charge de l’égalité femmes-hommes, les élus espèrent toucher un public plus large et des personnes qui ont encore du mal à solliciter de l’aide. Tout en conservant la confidentialité recherchée dans ce genre de prise en charge, la Ville de Besançon se félicite de pouvoir proposer un lieu unique et facilement identifiable au sein de la cité.

L'interview de la rédaction : Elise Aebischer

 

 

A Besançon, le Collectif de défense de santé du Doubs ne se fait guère d’illusions sur le futur projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2024, « tant les besoins, notamment en termes financier, sont importants Â». Le collectif dresse un bilan alarmant sur le CHU Minjoz, avec la perte de 59 lits d’hospitalisation. Par ailleurs, selon ce même interlocuteur, sur les 1025 lits restant, 143 sont actuellement fermés par manque de personnel. Ce qui représente 25% de lits en moins depuis 2017.

Depuis mercredi, le tarif de la consultation chez le médecin généraliste est passé à 26,50 euros, au lieu des 25 euros habituels. Chez les spécialistes, il faut désormais s’acquitter de la somme de 31,50 euros. Pour les médecins, cette hausse est jugée « insuffisante Â». Rappelons que cette augmentation est issue du règlement arbitral pris au printemps dernier par l’Etat, après l’échec des négociations  entre l’Assurance-maladie et les syndicats des médecins libéraux.

C’est parti. Ce mercredi 1er novembre sera donné le coup d’envoi de la 8è édition du Mois Sans Tabac. Rappelons que l’objectif de cette initiative est d’encourager les fumeurs à arrêter de fumer pendant 30 jours. Si la volonté fait partie des ingrédients indispensables, des coups de pouce sont parfois bien utiles pour obtenir le résultat souhaité et ne pas rechuter.

Parmi les techniques efficaces qui ont fait leur preuve :  le laserOstop en fait partie. Florian Pelcat le pratique depuis quatre ans dans ses cabinets de Pontarlier et Besançon et les résultats sont toujours aussi convaincants. Mieux encore, nous sommes de plus en plus nombreux à faire appel à ses services. Les raisons sont différentes, mais elles sont majoritairement liées à la santé et au pouvoir d’achat. M. Pelcat voit également arriver de plus en plus de consommateurs de cigarette électronique, désireux de cesser toute dépendance.

Arrêter de fumer en une semaine

Cette méthode LaserOstop de sevrage tabagique au laser a aidé plus de 300.000 personnes depuis 2021 à stopper leur consommation de tabac. Le traitement vise à stimuler les points auriculaires à partir d’un laser à faible intensité. Cette intervention est indolore et sans effets secondaires. «  La méthode LaserOstop consiste à stimuler certains points nerveux dans le but d’aller supprimer la dépendance physique à la nicotine Â» explique le praticien. Et de poursuivre : « Grâce à cette pratique, le patient ne ressent pas le manque comme si nous arrêtions du jour au lendemain Â». Pour renforcer la prise en charge et contribuer pleinement à sa réussite, l’intervention propose également un accompagnement psychologique, sur une année, à la demande de la personne.

Un coaching personnalisé

Parce que notre attachement au tabac est différent, l’accompagnement s’adapte à la personne et ses besoins. « Nous allons nous arrêter sur des points différents. Chaque fumeur est unique, même si le geste reste le même pour tous les fumeurs. Notre but est alors d’avoir un accompagnement thérapeutique sur cette dépendance psychologique Â» conclut M. Pelcat.

Pour contacter Florian Pelcat : 07.88.27.59.71. D’autres informations sont disponibles sur www.laserostop.com

L'interview de la rédaction / Florian Pelcat

 

Dans un communiqué de presse, le centre hospitalier intercommunal de Haute-Comté de Pontarlier lance « un appel pressant aux médecins libéraux du territoire Â» pour renforcer la filière médecine générale des urgences. L’établissement du Haut-Doubs fait face « Ã  une situation exceptionnelle et à un besoin accru de ressources médicales Â». Les médecins libéraux, qui souhaitent se porter volontaires,  sont invités à prendre contact avec le centre hospitalier pontissalien et les docteurs Marguet et André en composant le 03.81.38.53.60.

Des centaines de bouteilles de lait de plusieurs grandes marques françaises ont été rappelées dans toute la France. L’alerte a été lancée par la plateforme gouvernementale « Rappel Conso Â». Un défaut organoleptique a été constaté. Ce sont des consommateurs qui ont signalé une altération du goût et de l’odeur. Un service consommateur est disponible, via le 09.69.32.09.09

Les références concernées par ce rappel sont :

- Candia malin maxi en bouteille de 1litre et pack de 8
- Grandlait demi-écrémé en bouteille 1,5 litre (pack x4), et en bouteille de 1 litre (pack de 6, de 8 et de 10) 
- Grandlait pleine saveur (lait entier) en bouteille 1 litre, par pack de 6
- Silhouette Ã©crémé bouteille 1 litre, par pack de 6
- Viva bouteille 1 litre, en pack de 6 et de 8

Ces produits ont été commercialisés dans les magasins Auchan, Intermarché, Francap, Leclerc, Carrefour, Système U, Provera, Métro, Casino, Vival, Spar, Monoprix, Proxy et Maximo. La date de durabilité minimale est fixée entre le 21 novembre 2023 et le 17 mai 2024.

Dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), et alors que ce mercredi l’Assemblée nationale examine un budget de la sécurité sociale, sur fond de division  au sein de l’Hémicycle, l’exécutif a fini par renoncer à augmenter les franchises médicales et à ponctionner, « Ã  ce stade Â», les retraites complémentaires Agirc-Arrco. Il n’exclut pas de le faire plus tard.

La préfecture du Jura indique la levée des mesures instaurées par le zonage règlementaire au titre de la maladie hémorragique épizootique (MHE), du fait des nouvelles analyses réalisées en Suisse infirmant la présence de la maladie, détectée dans deux élevages bovins suisses les 11 et 16 octobre derniers. Ces deux foyers ont été infirmés ce mardi 24 octobre par les autorités helvètes.