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Tout au long du mois d’octobre, la Ville de Pontarlier se pare de rose pour soutenir la campagne nationale de prévention du cancer du sein. Animations, expositions, conférences, course solidaire… un programme dense et engagé porté par la municipalité et ses nombreux partenaires.

Un lancement haut en couleur

Le coup d’envoi sera donné le samedi 27 septembre, de 10h à 14h sur la Place d’Arçon. Au programme : atelier maquillage, flashmob, discours d’ouverture, inauguration de la vitrophanie et de l’exposition « Les Krâneuses qui Tétonnent », sans oublier la présentation des associations engagées et une démonstration de Dragon Boat par les Dragon Ladies.

Une exposition pour changer les regards

Visible du 1er au 31 octobre sur la Place d’Arçon, l’exposition « Les Krâneuses qui Tétonnent » met en lumière dix jeunes femmes touchées par un cancer du sein. Portée par les associations Jeune&Rose et Maquille Mon Krâne, cette série de portraits photographiques interroge la féminité, le rapport au corps et la résilience. Une démarche artistique et éducative saluée pour sa puissance émotionnelle.

Crazy Pink Run : courir pour la cause

Mercredi 1er octobre, la Crazy Pink Run revient au centre-ville pour une course solidaire de 2,3 km. Départ à 18h depuis la Place Saint-Bénigne, où se tiendra également le village associatif, des stands de restauration, de maquillage, un photobooth et des concerts. Le parcours, ponctué d’obstacles et de musique, promet une ambiance festive et engagée. Tarifs : 6 € (inscription simple) ou 12 € (avec lot et don pour la recherche). Billetterie ouverte depuis  le 15 septembre : https://www.vostickets.fr/Billet/FR/presentation-PONTARLIER.wb

Un mois d’animations et de sensibilisation

Tout au long d’octobre, de nombreuses actions sont proposées :

  • Initiation à l’autopalpation par la CPTS, le 1er octobre (Salle des Annonciades)
  • Journée de sensibilisation à la Clinique Saint-Pierre, le 17 octobre
  • Mobilisation des clubs sportifs locaux
  • Animation Just Dance Rose à la Médiathèque
  • Collecte de cheveux dans les salons de coiffure
  • Entraînements Rugby Santé dès le 18 septembre

Conférence et soirée de clôture

Le mercredi 8 octobre à 19h, une soirée conférence et projection est organisée avec Semons l’Espoir, autour des bienfaits de l’activité physique adaptée en cancérologie. Enfin, le mercredi 5 novembre à 18h, une soirée de clôture à l’Hôtel de Ville permettra de remettre les chèques aux associations partenaires.

Une mobilisation collective

La Ville de Pontarlier remercie ses partenaires pour leur engagement : le Centre Hospitalier Intercommunal de Haute-Comté, La Ligue contre le cancer, le CRCDC, la CPTS entre Doubs et Jura, Un bracelet contre le cancer, Oncodoubs, Vivre comme avant, Semons l’espoir, Sourire et Solidarité.

 Comme chaque année, dans le cadre d’Octobre Rose, la Ville d’Arbois s’engage dans la lutte contre le cancer du sein à travers plusieurs rendez-vous solidaires et culturels. Le coup d’envoi sera donné le samedi 4 octobre avec une balade-spectacle originale mêlant tango et plantes médicinales, au départ de l’Office de Tourisme à 14h.

Le samedi 11 octobre, les kinésithérapeutes locaux proposeront une marche accessibles à tous depuis la Maison de Santé (zone de l’Éthole), à 9h et 10h30, accompagnées de stands d’information et de prévention.

Enfin, du 6 au 31 octobre, les serres de La Platière organiseront une vente de fleurs au profit de la Ligue contre le cancer du Jura et de l’association Oncodoubs. Tous les dons seront intégralement reversés.

Ce jeudi 25 septembre, de 9 h à 12 h 30, la Maison de la vie associative de Lons-le-Saunier accueillera la matinée départementale du Programme National Nutrition Santé (PNNS), organisée par Promotion Santé Bourgogne Franche-Comté. Ce rendez-vous vise à promouvoir une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et à réduire les inégalités sociales de santé liées à la nutrition.

Au programme : échanges, sensibilisation et mobilisation des acteurs locaux autour des recommandations du Programme National Nutrition Santé, telles que les célèbres « 5 fruits et légumes par jour ». Point fort de la matinée : la signature officielle de la charte du programme  par la ville de Lons-le-Saunier et par ECLA, le regroupement de communes du territoire lédonnien, marquant leur engagement public en faveur de la santé et du bien-être de tous. Un événement fédérateur pour inscrire le territoire dans une dynamique collective de santé publique.

Chikungunya à Dijon : 10 cas confirmés, vigilance renforcée

Un mois après le premier cas autochtone de chikungunya à Dijon, l’ARS Bourgogne-Franche-Comté recense désormais 10 cas dans le même quartier, dont un enfant scolarisé. Bien que leur état de santé ne suscite pas d’inquiétude, un nouveau cas est en cours de confirmation. Les autorités poursuivent les actions de démoustication ciblées (4 opérations à ce jour), l’information des riverains et la pose de pièges dans les écoles. Ces mesures visent à limiter la propagation du moustique-tigre, vecteur du virus.

 Surveillance jusqu’en novembre La période de vigilance se poursuit, et chacun est invité à agir :

Se protéger des piqûres :

  • Appliquer un répulsif matin et soir
  • Porter des vêtements couvrants
  • Utiliser des moustiquaires pour les plus vulnérables

Éviter la prolifération :

  • Supprimer les eaux stagnantes (coupelles, seaux, bâches…)
  • Couvrir les récupérateurs d’eau
  • Ranger les objets exposés à la pluie
  • Entretenir les gouttières
  • Éliminer les déchets et pneus usagés

En cas de symptômes (fièvre, douleurs, éruption…), consultez un médecin. Pour toute question, une ligne d’information est ouverte tous les jours : 0805 200 550.

A Pontarlier. Le Centre Hospitalier Intercommunal de Haute-Comté a participé ce jeudi 18 septembre  Ã  REMPAR25, un exercice national, piloté par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, visant à simuler une cyberattaque d’ampleur.

Cette opération grandeur nature mobilise les acteurs publics et privés pour apprécier leur capacité à réagir face à une attaque informatique. Au CHIHC, l’ensemble des services — des ressources humaines à la direction stratégique — ont été impliqués pour protéger les données de santé et garantir la continuité des soins.

Une mobilisation sans précédent touche les officines françaises ce jeudi, avec près de 98 % des pharmacies en grève selon le syndicat des Pharmaciens de France. En cause : un arrêté gouvernemental visant à réduire les remises sur les médicaments génériques de 40 % à 20 %, une mesure jugée « assassine » par les professionnels du secteur. Plusieurs centaines de pharmaciens et kinésithérapeutes, venus de toute la région, ont répondu à la mobilisation de ce matin au centre-ville de Besançon.

L'interview de la rédaction : Jérôme Pheulpin, président de la Fédération des Pharmaciens de France en Haute-Saône (FSPF)

Une menace directe pour la survie des officines

Pour Jérôme Pheulpin, président de la Fédération des Pharmaciens de France en Haute-Saône (FSPF), cette baisse représenterait une perte moyenne de 30.000 euros par pharmacie, mettant en péril leur équilibre économique déjà fragilisé par l’inflation. « Si cet arrêté passe, 33 % des pharmacies françaises pourraient fermer définitivement », alerte-t-il.

Une mobilisation soutenue par les patients

Les pharmaciens comptent sur le soutien du public, notamment via des pétitions disponibles dans les officines. L’objectif : faire pression sur le gouvernement pour que le plafond des remises génériques soit inscrit dans la loi de financement de la Sécurité sociale 2026, et non laissé à la discrétion du pouvoir exécutif.

L'interview de la rédaction : Jérôme Pheulpin, président de la Fédération des Pharmaciens de France en Haute-Saône (FSPF)

Un service minimum maintenu

Malgré l’ampleur de la grève, les pharmacies de garde assurent un service sanitaire minimum pour répondre aux urgences. Le mouvement pourrait se durcir si aucune réponse n’est apportée par les autorités.

En raison d’une journée de grève annoncée par les organisations représentatives des pharmaciens, la majorité des 885 officines de Bourgogne-Franche-Comté seront fermées ce jeudi 18 septembre. À ce jour, 87 % d’entre elles se sont déclarées grévistes.

L’ARS recommande aux habitants d’anticiper leurs besoins, notamment pour les traitements indispensables. Pour assurer la continuité des soins, une officine sera réquisitionnée dans chaque secteur disposant d’un service d’urgence ou d’une maison médicale de garde.

La liste des officines ouvertes de 9h à 19h est disponible sur le site de l’ARS Bourgogne-Franche-Comté : https://www.bourgogne-franche-comte.ars.sante.fr/greve-des-pharmaciens-du-18-septembre-2025-ou-puis-je-me-rendre-en-cas-durgence-0

A ce sujet, les pharmaciens de Bourgogne Franche-Comté  manifesteront  ce jeudi à 10h au départ de la place de la Révolution au centre-ville bisontin. Une délégation sera reçue à la préfecture du Doubs. Ils seront rejoints par les kinésithérapeutes. Les étudiants  de ces deux filières devraient également être présents.  

Un souffle de verdure s’apprête à transformer la terrasse impersonnelle du 4e étage du service de soins palliatifs du CHU de Besançon. Grâce au soutien du Fonds Phisalix et de ses mécènes, un jardin thérapeutique et sensoriel verra bientôt le jour, pensé comme un espace de réconfort pour les patients, leurs familles et les soignants.

Un lieu de vie au cœur du service

« Ici, certains patients ne peuvent plus rentrer chez eux. Ils n’ont pas toujours la possibilité de sortir à l’extérieur. Offrir un espace pour respirer, voir le soleil, entendre des oiseaux, c’est essentiel », explique le Docteur Nicolas Becoulet, chef du service des soins palliatifs du CHU de Besançon. Le projet prévoit des bacs de jardinage à hauteur de fauteuil roulant, des plantes aromatiques, une fontaine, des aménagements végétalisés et un mobilier convivial. Un espace conçu autant pour l’apaisement que pour l’introspection, dans un moment de vie où les gestes simples comptent plus que jamais.

L'interview de la rédaction : Le docteur Nicolas Becoulet, chef du service des soins palliatifs du CHU de Besançon. 

 

Le soutien du Fonds Phisalix et des mécènes

Le chantier est estimé à 155.000 €. Ce 16 septembre, quatre mécènes – la Ligue contre le cancer, le groupe 1000, Ruggieri, Druet et Trascic – ont remis ensemble des chèques pour un total de 60 000 €, soit 60 % du financement déjà acquis. « Le mécénat n’a pas vocation à se substituer à l’Assurance maladie, mais à apporter ce supplément d’âme qui rend l’hôpital plus humain », souligne Emmanuel Luigi, directeur général adjoint du CHU. Depuis sa création en 2024, le Fonds Phisalix a déjà collecté 180 000 € et financé plusieurs projets, de la pédiatrie à la psychiatrie, en passant par l’oncologie. Le jardin thérapeutique est l’un de ses projets phares pour 2025.

L'interview de la rédaction : Jonathan Debauve, directeur de la communication du CHU Minjoz. 

 

Un fonds en plein essor

Nommé en hommage à Marie et Césaire Phisalix, couple de médecins bisontins engagés dans la recherche et la société, le fonds s’appuie sur une dynamique collective. « Les équipes médicales, les cadres de santé et les mécènes travaillent ensemble, c’est ce qui fait la force de ce projet », insiste la direction. Parmi les initiatives à venir : un dîner caritatif organisé le 14 octobre à Besançon, en partenariat avec Cuisine Mode d’Emploi(s), l’école fondée par le chef Thierry Marx. Objectif espéré : récolter 15.000 € supplémentaires grâce à un repas de gala et une vente aux enchères. Fermob, partenaire du projet, s’est également engagé à fournir du mobilier en don en nature. Pour participer à cet évènement : https://www.fonds-phisalix.fr/

Un symbole pour l’hôpital public

Au-delà des chiffres, le jardin incarne une philosophie : replacer l’humain au centre des soins. Dans un service où l’accompagnement prime sur l’acharnement thérapeutique, cet espace permettra aux patients de retrouver un peu de liberté et aux familles de créer des souvenirs précieux. « Ce n’est pas un projet de décoration, c’est une démarche profondément utile pour le bien-être des malades et de leurs proches », conclut le Docteur Nicolas Becoulet

La Ville de Pontarlier lance sa campagne Octobre Rose 2025 avec un mois d’animations dédiées à la sensibilisation au cancer du sein. Le coup d’envoi sera donné le samedi 27 septembre sur la Place d’Arçon avec ateliers, flashmob, sport adapté et inauguration de l’exposition photo « Les Krâneuses qui Tétonnent », en hommage à dix jeunes femmes touchées par la maladie.

Temps fort du mois : la Crazy Pink Run, course solidaire de 2,3 km au cÅ“ur du centre-ville, prévue le mercredi 1er octobre. Stands associatifs, animations musicales et obstacles festifs rythmeront l’événement. La billetterie est ouverte depuis ce lundi 15 septembre : inscriptions pour la Crazy Pink Run

Tout au long d’octobre, ateliers d’autopalpation, conférences, mobilisation des clubs sportifs, collecte de cheveux et animations culturelles viendront compléter le programme. Clôture prévue le 5 novembre avec une soirée de remise de chèques aux associations partenaires.

Le programme complet est à découvrir sur : https://www.ville-pontarlier.fr/sortir/agenda/fiche/octobre-rose

À l’occasion de Septembre Turquoise, mois national de sensibilisation aux cancers gynécologiques, le CHU de Besançon renouvelle son engagement en organisant une journée d’information et d’échange ouverte à tous. Elle se déroulera le vendredi 19 septembre. Professionnels de santé, patientes, proches et grand public sont invités à participer à une série d’ateliers, de stands et de tables rondes pour mieux comprendre ces pathologies encore trop méconnues.

Une mobilisation essentielle

Chaque année en France, près de 16 000 femmes sont diagnostiquées avec un cancer gynécologique. Ces cancers, qui touchent l’appareil génital féminin, se déclinent en cinq formes principales : endomètre, ovaires, col de l’utérus, vulve, vagin et trompes de Fallope. Si certains sont rares, d’autres comme le cancer du col de l’utérus peuvent être détectés précocement grâce au dépistage, augmentant ainsi les chances de guérison. La prévention joue un rôle clé : activité physique, vaccination et suivi gynécologique régulier sont autant d’actions qui peuvent réduire les risques.

Le CHU de Besançon, centre expert

Le CHU de Besançon est reconnu comme centre expert pour la prise en charge des tumeurs gynécologiques rares. Son approche multidisciplinaire réunit chirurgiens gynécologues et digestifs, oncologues, radiothérapeutes, et professionnels du soin de support. L’établissement propose également des essais cliniques innovants en chirurgie, radiothérapie et oncologie. Un hôpital de jour dédié aux soins de support accompagne les patientes tout au long de leur parcours : diététique, activité physique adaptée, soutien psychologique et sexothérapie font partie des services proposés.

Programme de la journée

Stands d’information

10h-15h | Hall de l’hôpital Jean-Minjoz – Accès libre

Atelier « Vie intime / Santé sexuelle ». Animé par Céline Bruchet, sexothérapeute. Hôpital Jean-Minjoz – Sur inscription : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-a-latelier-sante-sexuelle-1753788632

3 Sessions :

10h-11h et 11h30-12h30 (patientes uniquement)

13h30-14h30 (couples)

Café Imagyn

15h-16h | Maison des familles – Sur inscription : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-au-cafe-imagyn-1753715884

Un moment d’échange convivial pour les patientes et leurs proches, animé par Babette Gonzales.

Table ronde – Soignants, patientes et proches

16h-17h30 | Thème : Activité physique adaptée avant et après chirurgie pelvienne

Intervenants : Dr Brice Paquette et Quentin Jacquinot, PhD

Inscriptions : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-a-la-table-ronde-soignantspatientes-1753789211

Table ronde – Professionnels de santé

15h-16h | Échanges sur les traitements, la recherche et les parcours de soin

Intervenantes : Pr Mougin, Drs Toubin et Mansi

Inscriptions : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-a-la-table-ronde-reservee-aux-professionnels-de-sante-1753789501

Cette journée est une invitation à briser les tabous, à mieux comprendre les enjeux des cancers gynécologiques et à renforcer les liens entre patientes, proches et soignants. Une mobilisation turquoise pour une cause qui mérite toute notre attention.