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Ce dimanche s’est tenu le 1er Tour de l’élection présidentielle. Comme en 2017, Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont qualifiés pour le 2è tour de ce scrutin qui se déroulera le 24 avril prochain. Dans le département du Doubs, avec un taux de participation de 77,1%, Emmanuel Macron arrive en tête (27,5%). La deuxième place revient à Marine Le Pen (24%). Jean-Luc Mélenchon est en troisième position (20,06%).

Les autres candidats

Éric Zemmour – Reconquête ! : 7 %

Valérie Pécresse – Les Républicains : 5,4%

Yannick Jadot – EELV : 4,7%

Jean Lassalle – Résistons ! : 3,1%

Nicolas Dupont-Aignan – Debout La France : 2,8%

Fabien Roussel - Parti Communiste Français : 1,8%

Anne Hidalgo- Parti Socialiste : 1,7%

Philippe Poutou – Nouveau Parti Anticapitaliste : 0,8%

Nathalie Arthaud – Lutte Ouvrière : 0,7%

Avec 4,8 points, Valérie Pécresse n’a pas convaincu les électeurs de droite. Un score en dessous des 5% qui ne passent pas inaperçus. Le sénateur LR Jacques Grosperrin, le président du comité de soutien de Valérie Pécresse dans le Doubs y voit « un vote de colère » et un échiquier politique complètement renverser par Emmanuel Macron.

Le parlementaire doubiste ne cache pas sa déception.  ‘C’est un score qui ne correspond pas à la personnalité de Valérie Pécresse. Nous avions une candidate de grande qualité. La forme n’a pas tenu » explique M. Grosperrin. Habitué aux joutes électorales, Jacques Grosperrin ajoute que  le vote utile a desservi la candidate Les Républicains. « Je pense que beaucoup d’électeurs de notre famille politique  ont voté pour Emmanuel Macron » ajoute Mr Grosperrin.

Le Sénateur du Doubs rappelle que l’élection présidentielle se décline en quatre tours. Il se projette déjà sur le scrutin des législatives de juin prochain. « Le seul parti d’opposition doit être Les Républicains. Je ne vois pas les extrêmes devenir le parti d’opposition pour la France » conclut-il

L'interview / Jacques Grosperrin

 

Comme en 2017, Marine Le Pen et Emmanuel Macron s’affronteront lors du second tour des élections présidentielles le 24 avril prochain. La candidate du Rassemblement National a donc la possibilité de prendre sa revanche sur le président sortant.

melenchon dd

Macron – Le Pen, match retour

Il est 20h, dimanche soir, lorsque les résultats du premier des élections tombent. Comme d’habitude, un mélange de larmes et cris de joie orchestre les rues de toute la France.

Marine Le Pen et Emmanuel Macron vont s’affronter une nouvelle fois encore. Seulement cette fois-ci, la candidate du Rassemblement National n’est plus aussi loin de l’Elysée, et l’espoir grandit. Cela dit, côté Macron, la confiance est au beau fixe. En effet, malgré un quinquennat discuté, le président sortant reste en tête des votes en bénéficiant de 28,6 % des votes, contre 24,2% pour sa concurrente. Mais les résultats sont presque déjà oubliés. Désormais, les deux candidats ont une quinzaine de jours devant eux pour convaincre les Français.

 

L’abstention, le  facteur déterminant

Convaincre, plus facile à dire qu’à faire. Comme annoncé dans les sondages, le taux d’abstention s’est élevé à 26,31%. Néanmoins, rien n’est joué. Marine Le Pen et Emmanuel Macron vont organiser leur agenda pour faire changer d’avis les plus indécis, avec en ligne de mire, la confrontation de l’entre-deux tours le mercredi 20 avril. Un rendez-vous qui n’est pas sans rappeler celui de 2017, durant lequel le représentant LREM avait sérieusement prit l’ascendant. Mais aujourd’hui, la donne aurait changé selon les partisans du RN, Marine Le Pen annonçant il y a quelques jours  être « plus prête que jamais » pour l’Elysée. Pas certain en revanche que cela suffise pour mettre hors course Emmanuel Macron. Résultat le 24.

jean lassalle

 

Les résultats des autres candidats, à l’échelle nationale :

Jean-Luc Mélenchon – L’Union Populaire : 20,2%

Éric Zemmour – Reconquête ! : 7,2%

Valérie Pécresse – Les Républicains : 5%

Jean Lassalle – Résistons ! : 3,;3%

Fabien Roussel – Parti Communiste Français : 2,7%

Nicolas Dupont-Aignan – Debout La France : 2,3%

Anne Hidalgo- Parti Socialiste : 2,1%

Nathalie Arthaud – Lutte Ouvrière : 0,8%

Philippe Poutou – Nouveau Parti Anticapitaliste : 0,7%

FNSEA ZEMMOUR 5

 

A 17H, Le taux de participation au premier tour de l'élection présidentielle s’établit à 65,92 %  en Bourgogne Franche-Comté (69,38 % au 1er tour de la présidentielle 2017 ;

En Franche-Comté, il s’établit comme suit :

Doubs : 62,01 % (65,76 % au 1er tour de la présidentielle 2017)

Jura : 70,23 % (71,20 % au 1er tour de la présidentielle 2017)

Haute-Saône : 68,32 % (70,83 % au 1er tour de la présidentielle 2017)

Territoire de Belfort : 64,68 % (64,54 % au 1er tour de la présidentielle 2017

Selon les derniers chiffres communiqués, à midi, le taux de participation  s’élève à 28,18 % (30,47 % au 1er tour de la présidentielle 2017.

En Franche-Comté, il s’établit comme suit :

Doubs : 22,61 % (29,01 % au 1er tour de la présidentielle 2017)

Jura : 30,30 % (30,07 % au 1er tour de la présidentielle 2017)

Haute-Saône : 24,47 % (30,78 % au 1er tour de la présidentielle 2017)

Territoire de Belfort : 24,78 % (30,97 % au 1er tour de la présidentielle 2017

 

C’est parti. Le 1er tour de l’élection présidentielle se déroule ce dimanche. Les bureaux de vote ont ouvert à 8h et fermeront entre 18h et 20h en fonction des territoires. Douze candidats sont en lice.

Emmanuel Macron – LREM

Marine Le Pen - RN

Jean-Luc Mélenchon – L’Union Populaire

Éric Zemmour – Reconquête !

Valéry Pécresse – Les Républicains

Fabien Rouselle – Parti Communiste Français

Yannick Jadot – Europe Écologie Les Verts

Anne Hidalgo- Parti Socialiste

Jean Lassale – Résistons !

Philippe Poutou – Nouveau Parti Anticapitaliste

Nathalie Arthaud – Lutte Ouvrière

Nicolas Dupont-Aignan – Debout La France

La grande inconnue ?

La grande inconnue de ce scrutin est tout d’abord l'abstention. Beaucoup s’attendent à une abstention record. En 2021, lors du scrutin des régionales, 2/3 des Français n’étaient pas allés voter. De nombreux commentateurs craignent également que le record du 21 avril 2002 (28,4 %) soit également battu. Selon une enquête Ipsos-Sopra Steria réalisée du 4 au 6 avril, l'abstention pourrait se situer entre 26 et 30 %, avec un point moyen à 28 %.

L’hypothèse Mélenchon ?

Enfin, quels candidats seront présents au second tour ? Peut-on s’attendre à un match entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron, comme les sondages l’ont indiqué ces derniers mois ? Jean-Luc Mélenchon sera-t-il parvenu à rassembler à gauche ? Le vote utile aura-t-il été entendu ? Difficile de se positionner précisément.

Quelles consignes de vote ?

A 20h, une première estimation sera connue. Tour à tour, les candidats prendront la parole sur les chaînes de télévision pour analyser les résultats et éventuellement faire connaître leur consigne de vote pour le second tour. La division est tellement grande à gauche et au sein de l’échiquier politique français qu’il est compliqué de formuler des hypothèses. Si le cas d’un duo Macron / Le Pen se confirmait, certains appelleront-ils à faire barrage à l’extrême droite ? Affaire à suivre.


100 élus de Bourgogne Franche-Comté appellent à voter pour Anne Hidalgo ce dimanche 10 avril. Une démarche en faveur « d’une gauche républicaine, sociale et écologique ». Parmi les signataires : Marie Guite Dufay (présidente du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté), Denis Arnoux (maire de Pont-de-Roide), Nicolas Bodin (vice-président de Grand Besançon Métropole), Patrick Ayache (maire de Pirey et vice-président de Grand Besançon Métropole), Abdel Ghezali (1er adjoint à la ville de Besançon) et Gérard Guinot ( conseiller municipal de Pontarlier), Eric Houlley (maire de Lure et vice-président du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté) et Raphaël Krucien ( conseiller départemental du Doubs).

A l'approche des élections présidentielles, les différents soutiens des candidats se mobilisent autour de leurs représentants. Comme c'est le cas de Jacques Vuillemin (79 ans), ancien 1er adjoint de Robert Schwint, ancien maire de Besançon, sénateur et député socialiste du Doubs, qui est aujourd'hui soutien de Jean-Luc Mélenchon.

Un engagement contre les inégalités sociales

Militant socialiste depuis près de 40 ans, c'est très jeune que Jacques Vuillemin s'est rangé derrière le parti socialiste. En effet, issu d'une famille modeste, cet homme convaincu et déterminé, « vieux con » se définit-il, a voulu s’engager pleinement pour combattre les inégalités sociales qui l'entouraient.

Déçu par le Parti Socialiste

Après avoir été longuement un soutien du parti socialiste, notamment celui de Robert Schwint, à la tête de la ville entre 1977 à 2001, Jacques Vuillemin s'est dit déçu de son parti de cœur. Déception qu’il explique par l’éloignement du parti avec les valeurs qui l’ont fait adhérer, il y a 40 ans. C'est donc cette amertume qui a poussé l'ancien premier adjoint de Robert Schwint à se rallier à la France Insoumise,  chez qui il a retrouvé le combat auquel il tenait.

Une crainte de l'avenir

Jacques Vuillemin déplore « une forme de déshumanisation sociale » que connaît la société actuellement. Selon lui, elle a été d'autant plus forte lors de la crise sanitaire, où, par exemple, « certaines personnes ne pouvaient pas assister ou voir un proche à l’hôpital »,  ce qui l'a profondément touché. L'ancien militant du parti socialiste se dit également « inquiet de la montée de certains partis d'extrême droite » renforçant encore plus sa volonté de s'engager, ne voulant pas assister en spectateur à celle-ci.

L'interviw de la rédaction / Jacques Vuillemin

 

Christopher Crawford, Consul des Etats-Unis à Lyon, s’est rendu ce mercredi matin à l’hôtel de ville de Besançon dans le cadre d’une réunion sur le développement et l’investissement d’entreprises française aux Etats-Unis. Au cours de l’assemblée, des présentations ont été faite afin de mettre en lumière des programmes tel que Business France et Team France Export. Leur objectif étant d’accompagner au mieux les entreprises voulant se développer à l’international.

L’élection présidentielle se rapproche. Le premier tour aura lieu ce dimanche 10 avril, puis le second tour le dimanche 24 avril. Plein Air a rencontré des jeunes engagés politiquement au cours de ces derniers jours. Ils se sont exprimés sur leurs attentes, notamment concernant la jeunesse. Aujourd’hui nous nous sommes entretenus avec Kevin Landry, 21 ans, référent des jeunes avec Macron en Haute-Saône, étudiant à la faculté de Besançon, engagé à La République En Marche.

 

Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi « La République En Marche » ?  

Alors je suis politiquement engagé depuis les élections municipales de 2020. Je m’intéresse à la politique depuis que j’ai 14 ans. Je me suis engagé à LREM car j’ai soutenu Emmanuel Macron en 2017, même si je n’avais pas le droit de vote et que je n’étais encore que lycéen. Sa démarche m’intéressait, cette volonté de passer outre les clivages, et de faire de la politique autrement. J’ai adhéré au parti suite aux municipales.

 

Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique d’Emmanuel Macron ?

Je dirais qu’on a un avantage sur les autres candidats à l'élection présidentielle, c'est qu'on a un président sortant, qui a un bilan. D'autant plus qu'il est positif, et particulièrement pour les jeunes. Au sein des Jeunes avec Macron, on a lancé en septembre dernier une campagne d'affichage « Macron président des jeunes ». Notre volonté par cette campagne d'affichage, c'était de rappeler le bilan extrêmement favorable du président à l'égard des jeunes. Alors je pourrais citer les repas Crous à 1€, qui au départ étaient ouverts à tous les étudiants, puis aux étudiants boursiers. Vous voyez, on est également dans une résidence universitaire, et juste à côté, il y a des protections hygiéniques gratuites pour les étudiants. C'est un exemple concret de la politique du gouvernement. Tout comme la contraception gratuite pour les femmes de 18 à 25 ans. Je crois que jamais un président de la République n'a eu autant d'impact concret dans la vie des jeunes, qu'ils soient étudiants ou non. On pourrait aussi parler de l'apprentissage. En 2017 on avait un peu plus de 200.000 contrats d'apprentissage qui étaient signés en une année. En 2021 on est à plus de 700.000. Et sur le prochain quinquennat, le candidat Emmanuel Macron vise les 1.000.000. Donc on a vraiment une dynamique qui touche tous les jeunes, que ce soient les étudiants, que ce soient les jeunes sans formation, sans emploi, avec la plateforme « Un jeune une solution ». C’est quand même 9 milliards pour la jeunesse. Mais également les jeunes qui veulent aller vers l'emploi avec l'apprentissage, et puis les jeunes qui sont en emploi, avec toutes les mesures qui ont été prises pour le pouvoir d'achat.

 

Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Emmanuel Macron est plutôt mitigé. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes de LREM ?

Alors je n’ai jamais entendu Emmanuel Macron s'exprimer favorablement à cette idée. Moi à titre personnel j'y suis défavorable. Et à vrai dire quand j'écoute les jeunes autour de moi, mes camarades, des amis, je n'ai pas l'impression que cette problématique intéresse plus que ça. J'ai l'impression que ça ne concerne qu'un certain nombre de militants politiques, qui comme moi, ont eu très tôt un avis et auraient aimé l'exprimer, moi le premier, bien avant 18 ans. Maintenant je pense qu'il faut aussi savoir reconnaître que les jeunes, dans la grande majorité, ne nous ressemblent pas tous. Ils ne sont pas tous aussi intéressés par la politique. Élargir le droit de vote à 16 ans, ça ne fera qu’élargir la base de l'abstention si je puis dire, parce que les jeunes de 18 à 24 ans s'abstiennent déjà énormément. Donc je préfère qu'on tente des choses pour lutter contre l'abstention des jeunes.

 

Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Emmanuel Macron, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?

Oui il y a un engouement forcément, on arrive à l'approche du premier tour, donc on sent que de plus en plus de gens souhaitent participer à la campagne. On a de nouveaux adhérents régulièrement, que ce soit au niveau du Doubs, mais aussi plus généralement au niveau de la région et de la France. Je dirais qu’Emmanuel Macron a plusieurs atouts. D'abord un bilan positif. Ensuite, il a un projet tourné vers la jeunesse, qui s'inscrit dans la continuité de ce qui a été fait. Je retiens 3 grands piliers au niveau de la jeunesse.

Le premier, l'orientation avec la proposition qui permet aux jeunes de la 5ème à la 3ème de découvrir beaucoup plus de métiers, notamment des métiers manuels et techniques. Également la proposition de faire des lycées professionnels des voies d'excellence, permettant aux jeunes de voir le temps de stage augmenter de 50% tout en étant rémunérés.

Le 2ème pilier, c'est la question du travail et du pouvoir d'achat. Parce que les jeunes ce ne sont pas uniquement les étudiants ni ceux qui sont en études, mais aussi ceux qui travaillent. Et en matière de pouvoir d'achat, le candidat Emmanuel Macron propose plusieurs choses. D'abord la suppression de la redevance télé qui représente quand même un gain d'une centaine d'euros par an et qui s'inscrit dans la logique de suppression de la taxe d'habitation. Puis, une proposition qui me tient particulièrement à cœur et qui concerne aussi les jeunes, c'est la question de la création d'un compte épargne-temps. On parle beaucoup de la retraite à 65 ans, mais quelqu'un qui travaille pourra cumuler ses RTT et ses congés payés sur un compte épargne temps, et il pourra soit les monétiser, pour justement avoir un peu plus de pouvoir d'achat, ou alors s'il le souhaite les cumuler pour ensuite les utiliser plus tard.

Enfin, le dernier pilier est celui de la culture et du numérique. Comme l'extension du pass culture pour permettre à des plus jeunes de bénéficier de cette mesure, qui je crois est un succès. On entend beaucoup « Macron président de la droite » ou que sais-je, mais la réalité est que cette proposition est une mesure qui vise à lutter contre les inégalités en matière culturelle, et permet l'émancipation des jeunes par la culture. Il propose également des sessions généralisées de l'enseignement du code informatique et des usages numériques à partir de la 5ème. On sait que le numérique est de plus en plus prégnant dans notre vie, et donc enseigner à ces jeunes les usages numériques et le code, je pense que c'est une très bonne proposition. Et celle que je mettrais en dehors de de tout ce package : le financement du permis de conduire pour les jeunes qui s'engagent au sein du service national universel. Ça c'est véritablement à la fois une mesure de pouvoir d'achat mais aussi d'émancipation, quand on sait que par exemple à la campagne, ou à Besançon, la voiture c'est super important pour se déplacer, notamment pour travailler.

 

Quelle qualité fait d’Emmanuel Macron un bon président de la République ?

Je crois qu'il a toutes les qualités d'un président de la République. On voit qu’en matière internationale il a la stature, à la fois la réserve et la dynamique nécessaire pour conduire des négociations, par exemple avec Poutine. Et puis on a vu aussi en matière de réforme que c'était un président qui a l'envie de faire et qui qui n'a pas peur parfois d'être impopulaire. Parce qu'il croit que certaines réformes sont bonnes pour le pays et donc il les fait. Et puis surtout il a été élu pour ça. A titre personnel, ma vie a changé, a évolué. Je me souviens qu’au tout début de mes études je devais payer chaque semaine des courses pour manger ou des repas au Crous assez onéreux, même si c'est relatif. Aujourd'hui, grâce à Emmanuel Macron, et en tant qu’étudiant boursier, je bénéficie des repas à 1€. Ce n'est pas rien. Je suis étudiant donc ce sont surtout des thématiques qui sont liées à la vie étudiante, mais on pourrait aussi citer la suppression de la cotisation sociale étudiante qui représente un gain de pouvoir d'achat pour les étudiants d'une centaine de euros annuellement. Ma vie s'est améliorée sur le quinquennat du président de la République.