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Suite à l’attaque à caractère terroriste qui s’est produite à Arras le 13 octobre 2023, la Première ministre, Élisabeth Borne, a décidé d’élever la posture du plan Vigipirate sur l’ensemble du territoire national au niveau « Urgence attentat ». Le plan Vigipirate est un outil central du dispositif français contre le terrorisme. Il associe toutes les parties prenantes, l’État, les collectivités territoriales, les opérateurs publics et privés ainsi que les citoyens, à une attitude de vigilance, de prévention et de protection.Hier, Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur, a indiqué qu’il y avait sans doute un lien « entre ce qu’il s’est passé dans le Proche-Orient et le passage à l’acte Â» de l’assaillant.

 

Une expérience politique de plus pour la sénatrice jurassienne Sylvie Vermeillet. Désignée récemment vice-présidente du Sénat, après sa brillante élection, dès le 1er tour, le 24 septembre dernier, Mme Vermeillet a tenu sa première présidence au palais du Luxembourg. Une mission qu’elle pourra endosser lorsque Gérard Larcher sera absent. Rappelons que, lors de son premier mandat, Sylvie Vermeillet était vice-présidente de la commission des finances.

Dans un communiqué de presse, les élus centristes de la ville de Besançon demandent à la majorité municipale bisontine de faire preuve de « transparence Â» concernant la gestion de l’amiante dans les écoles de la cité. Ils pointent les informations « fausses et partielles Â» transmises par la Maire de Besançon. « L’amateurisme et le manque de transparence ont aujourd’hui créé un climat de défiance et d’anxiété Â» écrivent-ils. Ils demandent la création d’une commission spéciale chargée de faire « toute la transparence Â» que nécessite ce dossier.

Après avoi réuni les chefs de partis, ce jeudi, pour évoquer la situation en Israël, à la suite des actes terroristes, Emmanuel Macron prendra la parole à la télévision. Il s’exprimera devant les Français. Il interviendra à 20h sous la forme d’une allocution télévisée. De son côté, l’exécutif craint d’éventuelles répercussions nationales après ces attaques au Proche Orient.


Concernant le conflit israélo-palestinien, Jean-François Colombet, le Préfet du Doubs, a rencontré mardi des représentants de la communauté juive. Un échange, qui a permis au représentant de l’état d’exprimer « la compassion du gouvernement Â» et la sienne. Les échanges ont également porté sur les mesures de protection qui ont été mises en place par la police nationale et la gendarmerie depuis samedi soir.

Aucun mouvement profond et d’envergure n’a été enregistré. Néanmoins, quelques dégradations ont été constatées par les forces de l’ordre. Il s’agit de quelques graffitis qui ont été inscrits dans l’espace privé, notamment dans l’enceinte d’un club sportif du Pays de Montbéliard. A Besançon, ils sont apparus dans des espaces publics. A Chaque fois, le nécessaire a été fait pour effacer ces inscriptions nauséabondes. Des enquêtes sont en cours pour identifier et interpeller les auteurs.

L'interview de la rédaction : Jean-François Colombet, préfet du Doubs

 


Ce mercredi 11 octobre, à 17h30, Europe Ecologie Franche-Comté, organise un rassemblement devant la préfecture du Doubs, à Besançon, pour demander l’interdiction du glyphosate en Europe. Pour le parti, « il en va de la préservation de notre environnement, de la qualité de notre alimentation, des conditions de travail des agricultrices et agriculteurs et de la santé de toutes et tous Â».

Face à l’attitude de certains parents qui exposent leurs enfants sur les réseaux sociaux, l’Assemblée nationale a voté mardi soir, en nouvelle lecture, une proposition de loi visant à mieux protéger le droit à l’image de l’enfant. La date d’un nouvel examen de cette loi au Sénat n’a pas encore été définie. La notion de « vie privée Â» de l’enfant apparaît. Par ailleurs, l’avis de l’enfant doit également être pris en compte par les deux parents.

Après la conférence de presse de Ludovic Fagaut, chef de l’opposition municipale,  Anne Vignot, la Maire écologiste de Besançon, a tenu à faire le point sur la situation de l’amiante dans les écoles de la ville. Document d’experts à l’appui, elle a rappelé, concernant les trois écoles, dont la situation méritait un suivi, que rien ne justifiait une fermeture. Néanmoins, soucieuse de ne faire prendre aucun danger aux enfants et aux enseignants, l’édile a décidé de mener les opérations nécessaires, ciblant les sites Bruyère, Bourgogne et Sapins. Des travaux de recouvrement des sols à surveiller ont été demandés, avant d’entamer des interventions plus lourdes cet été.

Des expertises menées en interne

Concernant le litige portant sur les rapports et évaluations de la situation, Anne Vignot reconnaît que le suivi demandé, Â« s’il était effectué par les services de la ville de Besançon Â», aurait mérité d’être mené par un cabinet indépendant. Ce que la Maire s’est attachée de mettre en place dès qu’elle a eu connaissance de ce manquement. « Le diagnostic de 2016 a été réalisé suite à un travail qui avait été fait en 2005. Sa réalisation ne pouvait être effectuée en interne. Nous avons désormais pris les mesures qui s’imposent Â» ajoute Mme Vignot.

70 millions d’euros d’investissement

Les travaux de désamiantage programmés s’effectueront dans le cadre des 70 millions d’euros consentis sur la totalité du mandat pour la rénovation et la réhabilitation des écoles bisontines. Douze écoles sur les soixante quatre que comptent la ville bénéficieront d’une cure de jouvence. C’est concrètement un peu plus d’un million d’euros qui sont budgétisés chaque année dans ce plan. « Lorsque nous sommes arrivés aux responsabilités, nous avons constaté que les écoles n’avaient pas fait l’objet d’une attention particulière Â» explique Mme la Maire. « Ce sont de véritables passoires thermiques. Il va falloir encore de nombreuses années pour arriver à mettre aux normes tous ces sites Â» termine la maire de Besançon.

L'interview de la rédaction / Anne Vignot

 

Concernant la guerre du Hamas, les élus et militants d’Europe Ecologie Les Verts « condamnent avec une fermeté totale ces évènements particulièrement atroces Â». « Aucune circonstance ne peut jamais justifier une attaque délibérée contre des civils. Le droit fondamental de chaque individu à vivre en sécurité et en paix doit être garantie en toutes circonstances Â» ajoutent-ils.  Les Verts souhaitent « que des solutions diplomatiques et politiques urgentes puissent être trouvées afin que les peuples israéliens et palestiniens puissent vivre en paix Â».