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La consultation publique, portant sur le projet d’installation d’une unité de granulation, mené par la société EO2 Bourgogne Franche-Comté,  est lancée ce mardi 13 novembre à Salins-les-Bains. Elle se déroulera jusqu’au 11 décembre dans les locaux de la mairie jurassienne. L'installation s'implantera sur un terrain de 8,3 ha dans la zone industrielle des Mélincols, située au Nord-Ouest de la commune. L'unité transformera des rondins de trituration, feuillus et résineux, en granulés de bois. Les granulés seront vendus en vrac ou ensachés et palettisés. La capacité de production de l'unité s'élèvera à 110 000 t de granulés par an.

Le site comportera :

Une plateforme de stockage et de transformation des rondins,

Un séchoir à contact direct équipé d'un générateur d'air chaud à partir de biomasse,

Une unité de granulation,

Une unité d'ensachage et de palettisation,

Des zones de stockage des granulés.

Le public pourra formuler ses observations et propositions de la manière suivante :

- Soit par voie électronique à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. en précisant l’objet “société EO2 Salins-les-Bains”;

- Soit par correspondance : Préfecture du Jura à l’attention du BRGAE – 9 rue de la Préfecture – 39000 LONS LE SAUNIER

- Soit sur le registre de consultation établi sur les feuillets non mobiles cotés et paraphés par le maire de Salins-les-Bains, disponible aux jours et heures d’ouverture de la mairie.

https://www.mairie-salinslesbains.fr/wp-content/uploads/2024/10/Avis_consult.pdf

 

Dans un communiqué de presse, la Ville de Besançon appelle les jardiniers des Vaîtes à se faire connaître et a procédé, avant le 20 décembre prochain, à la régularisation de leur situation. Elle leur propose, quelle que soit la solution choisie, de pouvoir cultiver la parcelle qu’ils occupent actuellement jusqu’à la fin de la saison de culture 2025 (au plus tard le 31 décembre 2025). Des rencontres individuelles des jardiniers occupants vont démarrer. Il leur sera proposé trois solutions de régularisation de leur activité.

Pour se faire connaître, s’informer et être régularisé les jardiniers peuvent dès à présent mais avant le 20 décembre 2024 :

  • Appeler le 03 81 61 51 21 entre 9 h et 11 h 30 et 14 et 16 h (Direction de l’Urbanisme de la Ville de Besançon)

Ou

  • Ecrire à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Ou

  • Rencontrer les représentants Ville de Besançon/Territoire 25 aux permanences d’information (lieux et dates prochainement précisés)

L’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse vient de publier son nouveau rapport sur l’état des eaux. En Bourgogne-Franche-Comté, 26% de rivières seulement sont en bon état écologique. La qualité des rivières est quasi systématiquement altérée par la présence de pesticides dans les zones de plaine.

La qualité des rivières est également impactée par le changement climatique, qui élève la température de l’eau, nuisant ainsi à la vie aquatique. En 2023, sur les 1.400 paramètres analysés dans les eaux des bassins Rhône-Méditerranée et de Corse, 706 produits de synthèse ont été détectés au moins une fois dans les cours d’eau, dont la moitié sont des pesticides.

La direction Biodiversité et Espaces verts de la Ville de Besançon procède actuellement à l’abattage d’arbres dépérissants ou menaçants sur l’ensemble des quartiers de la ville. 277 opérations sont programmées.  Cette situation s’explique par le dérèglement climatique et l’apparition d’attaques parasitaires croissantes ces dernières années.

Pour compenser les pertes et accroitre le patrimoine arboré, près de 1 000 arbres seront plantés cet hiver : tilleuls, érables champêtres, chênes, arbres de Judée, muriers blancs, micocouliers et bien d’autres. « Plus de 5 000 arbres ont été plantés depuis le début du mandat » ajoute la Ville.

Un 20è lynx a été blessé à la suite d’une collision cette nuit dans le Doubs.  La structure jurassienne Athenas, chargée de la préservation de la faune sauvage, s’est rapidement rendue sur place, mais elle n’est pas parvenue à le capturer.  « Victime d'une fracture à une patte postérieure, il est probablement condamné s'il n'est pas retrouvé » indique-t-elle. Toute information dans le secteur de Levier /Chaffois doit être communiquée au plus tôt. Pour ce faire, il est possible de contacter urgence lynx au 06.76.78.05.83.

C’est une décision qui suscite de vives réactions. Dans le cadre de son plan de chasse, la Commission Départementale de Chasse et de la Faune Sauvage du Doubs prévoient d’abattre près de 500 chamois lors de cette saison 2024/2025.

Selon les chasseurs, cette mesure fait suite à l’absence de prédateurs pour assurer la régularisation. Ce que démentent les défenseurs de l’environnement. Cet animal provoquerait d’importants dégâts. Selon l’association, cette situation pourrait mettre en péril certaines parcelles. Selon le collectif de défense, plus de 200 individus auraient été tués en moins d’un an sur le territoire.

Dans un communiqué de presse, Europe Ecologie les Verts dénonce la pratique inacceptable des « safaris faisans » en Haute-Saône et ailleurs. Cette information provient d’un reportage repéré, sur la toile, par un  écologue, naturaliste et lanceur d’alerte. Chaque année des faisans, élevés de manière intensive, sont relâchés pour être abattus par des chasseurs dans une sorte de ball-trap vivant. EELV Franche-Comté « appelle les responsables politiques et les autorités à interdire ces pratiques, et cela passe par l’interdiction de l’élevage des animaux destinés à la chasse ».

Le lien de la vidéo : https://www.linkedin.com/posts/pierre-rigaux-01060b1a1_faune-animaux-aezcologie-activity-7256584107613179905-1lqh/

L’état de catastrophe naturelle est reconnu pour la commune de Besançon au titre des mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols pour la période du 1er janvier 2023 au 31 mars 2023. Il appartient désormais aux assurés victimes de la sécheresse, de saisir leurs assureurs dans les 30 jours au maximum à compter de la date de publication de l’arrêté au Journal Officiel, paru le 19 octobre, afin de faire valoir leurs droits.

La Ville de Besançon fait savoir que plusieurs bacs ont été installés à l’entrée et  au centre du cimetière Saint-Ferjeux, afin de réduire la prolifération du moustique-tigre. Ces bacs sont mis à disposition des visiteurs afin qu’ils remplissent les coupelles, pots et jardinière de sable, évitant ainsi la stagnation d’eau, principale source de développement des larves. Si cette expérimentation s'avère efficace, elle sera étendue à d'autres cimetières de la ville.

A Pirey, près de Besançon, le Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté accorde  une subvention de près de 193.000 euros à l’institution François Cartannaz pour la réalisation d’une chaufferie biomasse centralisée pour l’école et le collège. Ce soutien s’inscrit dans le cadre de la politique de soutien aux énergies renouvelables mené par collectivité locale.