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L’info est relatée dans les colonnes du journal « Le Progrès Â»  de ce matin. Dans le Jura, le parquet a classé sans suite l’affaire de cette femme retrouvée sans vie à proximité d’un kiosque dans le centre-ville de Poligny. Le quotidien jurassien explique,  qu’après les résultats de l’autopsie qui n’avaient pas permis de faire avancer l’enquête, les nouvelles expertises n’ont rien donné. La thèse d’un décès accidentel a donc été conclue par le procureur de la république du Jura.

A Dole, les salariés de l’entreprise NP Jura sont en grève illimitée. Une centaine d’entre eux, sur les 180 que compte la firme est mobilisée. Ce mouvement historique de mécontentement est né jeudi dernier lors des fortes chaleurs. Les revendications portent sur les conditions de travail et les salaires. Pour l’heure, les négociations n’ont rien donné. A la reprise du travail, après les congés annuels d’été, la situation pourrait davantage se crisper. Affaire à suivre.

A la suite de trois plaintes déposées au Parquet de Besançon pour des faits de violences sexuelles, une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur les agissements d’un individu, qui n’était pas titulaire, au début de ses interventions, du diplôme d’assistant en médecine esthétique. Ce dernier est soupçonné d’avoir commis des agressions et violences sexuelles sur  certaines de ses patientes lors de séances d’épilation du maillot. Les faits auraient été commis à Besançon dans le cabinet de son frère, qui exerce en toute légalité la profession de médecin dermatologue. Les faits dénoncés courent entre  mars 2020 et octobre 2021. Le faux médecin aurait mené ses premières interventions dès le mois de novembre 2019. Suite à un appel à témoins, ce sont dix nouvelles plaintes qui ont été enregistrées. La dernière est parvenue en mai dernier. Cinq viols auraient été commis.

L’individu  réfute les faits qui lui sont reprochés. Pour l’heure, il a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il lui est bien entendu interdit de pratiquer cette  profession. Lorsque le dossier sera clos, il sera envoyé au conseil de l’ordre des médecins qui statuera également sur le cas des deux protagonistes.

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

 

Concernant le décès d’un jeune homme de 29 ans, survenu dans la nuit de samedi à dimanche à Besançon, Faubourg Tarragnoz, Etienne Manteaux, le Procureur de la République, a indiqué ce mardi après-midi, lors d’une conférence de presse, que les enquêteurs sont dans l’attente du résultat des analyses toxicologiques. Rappelons que la victime, qui s’est vu refuser l’entrée à la discothèque le QG à Besançon, « en raison de son comportement Â», s’est mise en colère. Elle  va commettre des dégradations, qui engendrent le déplacement d’une patrouille de police.

 Maîtrisé par les vigiles, l’individu réussit à s’enfuir avant l’arrivée des policiers. Il prend la direction du chemin de Mazagran pour rejoindre le Faubourg Tarragnoz. A cet endroit, il prend un petit chemin et grimpe une pente très escarpée et se retrouve au-dessus d’un muret dont la hauteur est estimée à 4 mètres. En pleine nuit, les policiers découvriront le corps du jeune fuyard au pied de ce muret.

Etienne Manteaux souligne qu’aucun manquement n’a été constaté. Ce jeune homme de 29 ans n’avait pas d’antécédent judiciaire. D’où une des interrogations sur son comportement ce soir-là.  Pour l’heure, aucune poursuite n’est envisagée.  Le Procureur de la République et Yves Cellier, le directeur de la sécurité publique du Doubs, précise qu’aucune chasse à l’homme n’a eu lieu et qu’il était difficile d’apprécier la dangerosité de l’endroit en raison de l’obscurité pour la patrouille dépêchée sur place.

Le reportage de la rédaction / Etienne Manteaux et Yves Cellier

 

Une première étape sera bientôt franchie concernant les travaux qui se déroulent actuellement dans la côte de Larnod, près de Besançon Avec la fin de l’opération de rabotage de la falaise et d’entretien, la circulation va pouvoir s’effectuer sous alternat à compter de vendredi soir. Néanmoins, le chantier n’est pas terminé. Suite à un glissement de terrain survenu au début du mois de février 2021, il a fallu procéder à la consolidation définitive du talus. Soit la construction d’une paroi de 70 mètres. La fin de cette opération est prévue le 2 septembre prochain.

LARNOD CHANTIER 3

Concernant les travaux sur la falaise. Plusieurs entreprises ont été menées. Tout d’abord, pour que les camions puissent se croiser, une partie de roche  a été creusée sur environ 150 m2, permettant un élargissement supplémentaire de près de 1,50 m,  sur six mètres de hauteur. L’entreprise mandatée en a également profité pour remplacer les anciens grillages. Le coût de cette opération s’élève à 300.000 euros.

LARNOD CHANTIER

L'interview de la rédaction / Aline Bottagisi, chef de projet service ingénierie à la Dir Est et Philippe Thirion, directeur adjoint à la Dir Est en charge de l’ingénierie

 

L’affaire de l’ostéopathe de Pontarlier, soupçonné de viol et d’agression sexuelle, devrait être close l’automne prochain. Le mis en cause pourrait comparaître devant une cour d’assises. L’affaire est apparue durant l’été 2020 après plusieurs plaintes déposées par des patientes. Depuis sa médiatisation, 19 personnes se sont manifestées.

Huit faits de viol, avec des actes de pénétration vaginale, ont été enregistrés. L’individu est pour l’heure placé sous contrôle judiciaire,  avec interdiction d’exercer. Il conteste les faits qui lui sont reprochés et qui auraient été commis entre janvier 2018 et décembre 2020.

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

 

Un homme s’expliquera le 6 décembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences et proféré des menaces dans un établissement de restauration rapide au centre-ville de Besançon. L’individu a été interpellé et conduit au commissariat de la Gare d’Eau. La victime a porté plainte.

Le trentenaire n’aurait pas accepté que la jeune femme refuse son invitation à partager un verre. Il l’aurait menacé en la pointant du doigt et lui aurait jeté un verre de café à la figure. Au cours de son audition, l’individu a reconnu les faits. Justifiant que sa réponse « n’était pas élégante Â».