On l’a appris hier après-midi, Jean-David Pillot prendra prochainement la tête du CH intercommunal de Haute-Comté à Pontarlier. Il va quitter sa fonction de secrétaire des affaires générales qu’il occupait au CH intercommunal Elbeuf-Louviers-Val-de-Reuil, en Seine Maritime et Eure. M. Pillot succède à Olivier Volle qui dirigeait jusqu’à présent cet établissement et qui a fait valoir son droit à la retraite.
Un tracteur a chuté d’environ 20 mètres en contrebas de la chaussée hier soir, vers 19h, à Mièges (39). Deux blessés graves ont été pris en charge par les secours et transportés sur le centre hospitalier de Besançon. Aucun pronostic vital n’est engagé. Six engins et quatorze sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.
Hier soir, vers 22h15, une fillette d’un an et demi a été retrouvée noyée dans la piscine de ses parents. A l’arrivée des secours, la petite victime était en arrêt cardiorespiratoire. Malgré la tentative de réanimation des secours, l’enfant n’a pas survécu. Elle est décédé en arrivant à l’hôpital.
Toujours très réactif, le Centre de Ressources Iconographiques pour le cinéma des Amis du Musée de Pontarlier va rendre hommage à l’actrice, scénariste et réalisatrice franco-britannique Jane Birkin. Rappelons qu’elle est décédée le 16 juillet dernier à Paris, à l’âge de 77 ans. L’exposition proposera une sélection d’affiches de ses films. Elle sera visible dans le hall de l’hôtel de ville du 2 au 29 août.
Cette nuit, vers 00h45, un incendie s’est déclaré dans la partie habitation d’une exploitation agricole au hameau de Beauregard au Russey. Soit 200 m2. Deux lances à incendie ont été nécessaires pour éteindre les flammes. Aucune victime n’est à déplorer. Les occupants seront relogés dans leur famille.
Comme nous vous l’annoncions hier soir, un jeune homme de 20 ans s’est gravement blessé après un plongeon en contrebas du Saut du Doubs à Villers-le-Lac. Ce jeune helvète est mal retombé après un saut de 20 mètres de haut.
La victime a pu sortir de l’eau avant l’arrivée des secours, mais elle présentait des difficultés respiratoires. Bloquée en contrebas, elle a été médicalisée et hélitreuillée par la REGA. L’ensemble des intervenants a été sécurisé par les spécialistes en secours en milieux périlleux du Doubs.
La Vallée de la Loue fait partie de ces écrins naturels que regorge la Franche-Comté. On y trouve des villages et des lieux de vie qui se sont façonnés le long de la rivière et des autres éléments naturels. A quelques kilomètres de Pontarlier et Besançon, ces territoires assurent un dépaysement total. Plein Air vous propose de partir à la découverte de ces endroits où la nature et l’activité humaine y sont bien présents. Ce riche patrimoine culture, artisanal et industriel témoigne d’une activité économique de premier ordre qui, aujourd’hui, fait partie de l’histoire locale. Petit tour d’horizon.
Scey-Maisières
Le miroir de Scey ne passe pas inaperçu. Ce petit coin paisible, entretenu et aménagé pour y faire de sympathiques pique-niques, concentre un environnement qui mérite le coup d’œil. Le reflet de la verdure environnante sur le point d’eau y est immanquable. Depuis un petit coin aménagé, on y voit, au loin, une ancienne forge, datant de 1499, qui fabriquait divers outils.
Ornans
Le centre-ville ornanais, déjà très séduisant, n’est pas la seule curiosité à apprécier. Surplombant la cité, le château d’Ornans veille sur la ville et ses habitants. Un petit hameau s’y trouve également. Situé à l’extrémité d’une avancée rocheuse, l’édifice, dont il ne reste plus que des vestiges, est situé à plus de 130 mètres. Datant du Moyen Age, il a été détruit par les troupes de Louis XIV. Aujourd’hui, il ne reste que la chapelle Saint-Georges.
Le reportage de la rédaction
Lods
Le nom de la commune apparaît en 1189. La topographie de Lods ( Low) témoigne du passé de son activité économique, avec ses forges et ses vignes. Au fil du temps, la commune verra ses sites de production fermer les uns après les autres : la clouterie fermera en 1928, le laminoir en 1942 et les dernières scieries en 1970. Précisons que ce village authentique fait partie des plus beaux villages de France. Ses maisons vigneronnes et ses ruelles pittoresques séduisent également les touristes de passage.
Le reportage de la rédaction
Mouthier Haute-Pierre
Difficile de traverser la Vallée de la Loue sans faire une halte par Mouthier Haute-Pierre. Le nom de la commune vient de « monastère ». Elle fut la première localité du territoire à être habitée. Ses falaises abruptes surprennent et magnifient l’endroit. L’activité viticole marque l’identité locale de la commune. Touchée par la crise du phylloxéra à la fin du XIXe siècle, les vignes sont remplacées par des cerisiers destinés à la fabrication d'un kirsch artisanal qui a fait la renommée de la commune.
C’est parti. Il faut dire que l’échéance approche à grands pas. Les 28 et 29 juillet prochains, "La Paille" vivra au son de sa 21è édition. Un tel évènement se prépare. Le Collectif Organisation et ses équipes sont mobilisés depuis plusieurs mois, pour ne pas dire plus. A dix jours de l’évènement, une nouvelle étape est franchie avec l’organisation de l’espace, au pied des pistes de Métabief.

Au fur et à mesure que l’évènement s’annonce, les effectifs vont se renforcer. Pour l’heure, une quarantaine de bénévoles et de professionnels sont présents. A compter de ce week-end, jusqu’à 200 personnes rejoindront le site pour enchaîner les travaux. Les actions ne manquent pas. Toutes les petites mains sont les bienvenues.
Le reportage de la rédaction / Jeanne et Anna
Rencontre avec des bénévoles.
Jeanne et Anna sont des habituées des lieux. Ces deux bénévoles ont rejoint respectivement l’équipe du Collectif Organisation il y a 7 et 10 ans. Les deux filles ont gravi les échelons. Elles sont désormais responsables de la zone technique. Un endroit très plébiscité car les Algeco et conteneurs concentrent le matériel nécessaire et indispensable pour la bonne tenue du Festival. Ces deux copines ont choisi d’offrir leurs vacances au festival, à son public et au territoire. L’ambiance qui règne entre les différents protagonistes et l’envie de voir cet évènement perdurer le plus longtemps possible les motivent chaque année.
Olivier est, quant à lui, le régisseur général du Festival. Expérimenté, pour exercer sur d’autres évènements, le jeune lyonnais connaît son affaire. Pour l’aider dans sa mission, il peut compter sur deux autres adjoints. Son travail ? coordonner toute la logistique et technique. Autant dire que son téléphone est très souvent accroché à son oreille et que l’adaptation et la capacité à rebondir font partie de ses nombreuses compétences.

Le reportage de la rédaction / Olivier
Une affaire rondement menée
Comme chaque année, il faut repartir à zéro. Néanmoins, les équipes sur place connaissent leur affaire. C’est une véritable petite fourmilière qui s’active au quotidien. Chacun maîtrise son sujet et connaît le travail qui lui incombe. D’ici la fin de semaine, les pieds des pistes de ski de Métabief auront pris un nouveau visage, avec notamment l’implantation des deux scènes. La cohabitation entre les vététistes et les acteurs du festival se passent admirablement bien. Il en va de la confiance qui s’est établi depuis plusieurs années entre les responsables de la station et la mairie de Métabief.
