La police bisontine lance un appel à témoins après la disparition de Mme Christiane Rolandez, qui est portée disparue sur le secteur de Besançon. La sexagénaire n’a plus donné signe de vie depuis le 24 octobre dernier. Si vous avez des avez des informations à communiquer aux enquêteurs, n’hésitez pas à composer le 03.81.21.12.40 ou 03.81.21.11.92
Les chiffres du chômage du 3è trimestre 2022 sont tombés. Au troisième trimestre de cette année, en Bourgogne-Franche-Comté, le nombre de demandeurs d’emploi de la catégorie A, tenus de rechercher un emploi et sans activité, s'établit en moyenne sur le trimestre à 103.200. Ce nombre augmente de 1 % sur le trimestre et diminue de 9,4 % sur un an. En un an, la baisse est de 13% dans le Doubs et de 9% dans le Jura.
Dans le cadre de la mobilisation pour l’augmentation des salaires, une nouvelle journée d’action est prévue ce jeudi 27 octobre. A Besançon, elle se tiendra à 17h30 devant la préfecture. La CGT rappelle d’ores et déjà qu’un deuxième rendez-vous est d’ores et déjà fixé. Il aura lieu le 10 novembre prochain.
Cette situation fait froid dans le dos. Laura, une mère de famille, vit actuellement dans un immeuble totalement insalubre avec ses deux enfants, âgés de 8 et 10 ans. Ce bâtiment de 10 étages, voué à la destruction, est situé rue de Picardie, dans le quartier Planoise à Besançon. Depuis le 19 octobre dernier, le chauffage a été coupé dans l’appartement qu’elle occupe et elle n’a plus d’eau chaude. Des propositions de relogement ont été formulées, mais elles ne correspondent pas aux besoins et aux attentes de cette maman désemparée. En plus de la précarité de l’endroit, les rats se sont invités. Il faut bien avouer que l’espace si prête plutôt bien. Les appartements voisins, désertés, sont de véritables nids à cochonneries.
Des appartements voisins laissés à l'abandon
On m’a proposé sept radiateurs électriques
Cette mère de famille, qui touche le RSA, se trouve dans une grande vulnérabilité. Elle envisage de porter l’affaire devant la justice et d’en informer Anne Vignot, la Maire de Besançon et présidente du Grand Besançon. « Je n’arrive pas à joindre le bailleur logeGBM » explique-t-elle. Privés d’eau chaude et de gaz, c’est chez leur grand-mère que les enfants vont faire leur toilette. Les nuits sont également froides. Les enfants s’emmitouflent dans les couvertures. Des conditions difficiles qui ne s’amélioreront pas lorsque les températures deviendront davantage de saison. Pour couronner le tout, face à ce contexte qui génère un fort stress, Laura voit sa santé déclinée. Il y a quelques jours, elle a été touchée par une paralysie faciale. La partie droite de son corps s’est complètement paralysée. Une prise en charge est devenue urgente. Il en va de la santé mentale et physique de toute cette famille.
Des appartements voisins laissés à l'abandon
L'interview de la rédaction
Le Conseil Départemental du Doubs organise, à Morteau, un groupe d’expression pour les enfants de 6 à 11 ans qui vivent une séparation ou un divorce au sein de leur famille. Six séances de 2 heures se tiendront une fois par semaine à compter du 9 novembre prochain. Elles seront animées par des professionnelles de l’enfance.
A l’exception d’un rendez-vous, auquel les parents seront conviés, les autres n’accueilleront que les enfants. Les objectifs sont multiples : aider les enfants à se sentir mieux et reprendre confiance en eux, les rassurer, les soutenir, reconnaître et exprimer leurs émotions.
Cette initiative est gratuite. Pour s’inscrire, il suffit de composer le 03.81.98.17.61 ou le 03.81.67.97.77 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Concernant l’épidémie de covid-19, l’Agence Régionale de Santé de Bourgogne-Franche-Comté indique que la progression du virus a marqué le pas ces 7 derniers jours dans la région. Néanmoins, l’épidémie reste à un niveau élevé. Le taux d’incidence en population générale affiche moins de 700 cas pour 100 000 habitants, contre 750 la semaine précédente.
Au cours du super comice de Pontarlier, une remarquable exposition, qui a vu le jour grâce à l’équipe des Archives Municipales de Pontarlier, Jean-Pierre et Michel Gurtner et Philippe Marguet est proposée à la Chapelle des Annonciades.
Construite autour d’écrits d’époque, de photographies et d’une vidéo, elle plonge le visiteur dans l’évolution de la manière de faire les foins au pays de l’AOC Comté. Les angles de la mécanisation et de l’évolution socio-économique ont été choisies par les concepteurs. On y voit l’évolution des machines, des fermes, des paysans, des procédés pour le séchage et le stockage… . Entre la faucille et le tracteur équipé de faucheuse, les outils, les techniques et les hommes n’ont cessé d’évoluer. Le métier a bien changé.
C’est donc tout ce progrès technologique, cette modernité dans le temps et ce regard différent sur le métier que nous conte cette exposition. Un regard bienveillant, nostalgique et contemporain qui ne manquera pas de susciter l’intérêt de ceux qui ont envie de redécouvrir l’évolution de la fenaison d’hier à aujourd’hui.
L’exposition « fenaison d’hier à aujourd’hui » est à découvrir jusqu’au 13 novembre. A noter que les dimanche 6 et 13 novembre, la chapelle des Annonciades accueillera une pièce de théâtre, jouée par la compagnie le Filépat, qui revisitera, à sa manière, cette évolution des foins.
L'interview de la rédaction / Jean-Pierre Gurtner
Tout au long de ce mois d’octobre se déroule « le mois sans tabac » partout en France. Une opération nationale pour sensibiliser le grand public aux dangers du tabac et l’inviter à se mettre en marche pour stopper la cigarette. La nocivité est bien réelle. Le tabac est l’addiction qui engendre la plus grande dépendance au niveau physique, psychologique et comportemental. Le tabac tue. En moyenne, entre 75.000 et 80.000 morts sont recensés chaque année. En 2020, plus de trois adultes de 18-75 ans sur dix déclaraient fumer, soit 32%, et un quart déclaraient fumer quotidiennement (25%), selon le dernier baromètre de santé publique France. Preuve que ces chiffres sont inquiétants, toujours dans notre pays, le nombre de femmes, touchées par le cancer du poumon, devrait dépasser celles touchées par un cancer du sein.
Une prise en charge pluridisciplinaire
Seule une prise en charge pluridisciplinaire permet de sortir les fumeurs de cette emprise. Plusieurs actions sont menées, le plus souvent en parallèle. Cela passe par des consultations médicales, qui permettent de prendre en charge la dépendance physique, avec une substitution en nicotine, un accompagnement psychologique, qui permettra la mise en place de thérapies comportementales et cognitives et, si besoin, des rendez-vous auprès d’une diététicienne pour éviter la prise de poids.
Comment participer ?
Au cours de cette 7è édition du Mois Sans Tabac, les fumeurs volontaires sont invités à s’inscrire via le site dédié et à se préparer à faire face au tabac dès le 1er novembre. Un accompagnement personnalisé est proposé. Cette opération a fait ses preuves. Peggy Benoît de l’association Tab’agir explique qu’un sevrage d’un mois multiplie par cinq les chances d’arrêter de fumer.
Pour obtenir de plus amples informations : www.tabagir.fr
L'interview de la rédaction : Peggy Benoît
SNCF voyageurs indique qu’après la journée de mobilisation pour les salaires de ce mardi, le trafic ferroviaire reprend progressivement ce mercredi. Néanmoins, quelques lignes TER resteront perturbées. Pour obtenir de plus amples informations : www.ter.sncf.com
Afin d’assurer l’approvisionnement des véhicules prioritaires, le préfet du Doubs a pris une nouvelle décision. Ainsi, tous les jours de la semaine, de 14h à 16h, la station Carrefour express à Vercel-Villedieu-le-Camp dispose d’une file réservée aux collecteurs de lait et aux véhicules transportant de l’alimentation animale. Elle s’ajoute à la station-service Netto de Valdahon qui s’organise ainsi également. La préfecture précise que les vétérinaires ont été inclus à la liste des professions prioritaires.