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Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, député Modem du Doubs, représentant l’opposition municipale à Besançon, réagit à l’installation de sept caméras de vidéoprotection dans la cité comtoise. Il regrette qu’Anne Vignot, la maire écologiste,  n’ait pas « entendu plus tôt les demandes de l’opposition municipale et celles de la police nationale et de la justice ».

Il invite la municipalité à changer "de braquet en matière de politique de sécurité : poursuivre l’installation de nouvelles caméras, recruter les 18 policiers municipaux manquants depuis 2020, armer la police municipale et créer une brigade de soirée au sein de la police municipale ».

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le député Modem du Doubs, réagit à la Déclaration de politique générale de Michel Barnier, effectuée mardi à l’Assemblée nationale. Selon lui, « le Premier ministre à la hauteur sur le ton et sur le fond ». Tout en expliquant que le chef du gouvernement « a déroulé une feuille de route en phase avec les attentes des Français ». « Il est temps de dépasser les divisions et les querelles, les Français nous regardent » termine le parlementaire.

Avant de traiter ce genre d’affaire, il est toujours bon de se rappeler que le journalisme se base sur des faits, et que seuls les faits sont indiscutables. Cette approche déontologique est encore plus vraie en politique. Elle évite les incompréhensions et les influences éventuelles. Chaque décision n’est jamais anodine et mérite d’être recontextualisée, tout en essayant de comprendre  le pourquoi du comment. Les réactions politiques et syndicales,  qui ont suivi le courrier de la Ville de Besançon, suite à une démarche anonyme, après de prétendus vols dans un immeuble du quartier de Trépillot, demandent  cette approche.

Rappelons les faits. En avril dernier, la cité comtoise reçoit un courrier anonyme. Maladroitement, une élue de la majorité s’engage dans une réponse écrite, dans laquelle on demande aux concernés de dénoncer les agents municipaux, qui pourraient être à l’origine de ces vols. Lors du dernier conseil municipal, l’élu LR Ludovic Fagaut brandit le courrier, pointe la décision et quitte théâtralement la salle, en compagnie du député Modem Laurent Croizier, et leurs soutiens. Ce mercredi, l’intersyndicale de la Ville et de Grand Besançon Métropole est montée au créneau à son tour et menace de faire grève pour dénoncer  l’initiative municipale.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

 

Une enquête administrative

Anne Vignot reconnaît « une erreur » dans la manière avec laquelle la Ville de Besançon et son adjointe ont traité le problème. « Cela ne se fait pas » explique l'édile, qui exprime clairement son désaccord par rapport à l’écrit et son contenu. Elle rappelle néanmoins qu’une enquête administrative, qui a pris du retard, a été lancée en juillet dernier. Elle a été réactivée cet été et fait suite  à plusieurs dénonciations de ce type, survenues déjà durant l’année 2023. Pour la Maire et présidente de Grand Besançon Métropole, « il n’était pas question de rendre publique cette enquête administrative. Elle rappelle que ce choix s’est effectué dans le respect des convenances et pour ne pas jeter l’opprobre sur les agents bisontins. Elle le redira demain aux syndicats, qui ont demandé à la rencontrer.

« Une manipulation politique »

Anne Vignot n’est pas dupe. La réaction théâtrale de l’opposition municipale s’inscrit dans la visée des élections municipales de 2026. « Une chose est certaine. Ils ont bien l’intention de mener une campagne des municipales qui ne sera pas sur le fond, mais qui cherchera à égratigner mon image et celle de mon équipe. Quoiqu’il en soit, je serai toujours sereine, droite et intègre. Je le démontrerai en permanence ».

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

 

Un soutien au pouvoir d’achat des agents

Anne Vignot rappelle que le pouvoir d’achat des agents et la lutte contre la précarisation  ont toujours été une préoccupation durant ce mandat. Elle rappelle les décisions importantes qui ont été prises ces dernières années. « 300 agents supplémentaires ont basculé d’un CDD à un CDI, la moitié d’entre eux bénéficient désormais d’une grille indiciaire plus favorable et  2,8 millions d’euros ont été budgétisés pour l’amélioration de leur pouvoir d’achat. Soit une augmentation de 600 à 800 euros pour 2.400 agents ». Selon  Mme Vignot, « de telles décisions n’avaient pas été prises depuis plusieurs décennies’.

Dans une triangulaire très serrée, le député centriste de l’ancienne Majorité présidentielle Laurent Croizier est parvenu à conserver son fauteuil à l’Assemblée nationale dans la 1ère circonscription du Doubs. Il s’impose avec 36,18% des suffrages. Le parlementaire se voit comme celui qui a « fait barrage à l’extrême droite et à l’extrême gauche ». M. Croizier voit en cette victoire, « la récompense d’un travail de terrain ». « Quand on travaille pour l’intérêt général, pour les habitants et leur quotidien, on arrive à des résultats » explique-t-il.

L'interview de la rédaction : Laurent Croizier

Et l’avenir ?

Laurent Croizier espère désormais « un rassemblement des modérés à l’Assemblée Nationale ». « Je me fiche de savoir si les uns sont de gauche ou les autres de droite. Ce qui m’intéresse, c’est de travailler pour les Français. Quand on est modéré et responsable, on est en capacité de travailler les uns avec les autres.  Certes, avec des compromis, mais sans compromission » termine-t-il.

Avec 36,18% des suffrages, Laurent Croizier a été réélu dans la 1ère circonscription du Doubs. Thomas Lutz recueille 32,31% des voix. Séverine Véziès se classe en troisième position, avec 31,51% des suffrages.

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le député sortant de la 1ère circonscription du Doubs appelle « les modérés de gauche, de droite et du centre » à le rejoindre lors du 2è tour des législatives. Rappelons que le parlementaire s’est hissé en tête des suffrages dimanche, à l’issue du 1er tour. Il a obtenu 33,5% des suffrages. Soit 920 voix de plus que Sévérine Véziès du Nouveau Front Populaire et 1180 voix de plus que Thomas Lutz, son  opposant du Rassemblement National.

A la veille des élections législatives, Plein Air fait le point sur la situation politique dans la première circonscription du Doubs. Sept candidats sont en lice, avec des motivations différentes quant à l’issue du scrutin, mais tous veulent en finir avec le Macronisme. Rappelons que la circonscription a été remportée, en 2022, par le centriste Laurent Croizier. Contrairement à d’autres territoires doubistes, LR n’a pas souhaité opposer un candidat au parlementaire sortant, qui devra, cependant, convaincre face à des adversaires redoutables, issus de l’extrême droite et du Nouveau Front Populaire.

Qui est Laurent Croizier ?

Le député sortant est âgé de 49 ans. Il vit à Besançon. Cet homme, marié, à deux enfants. C’est en 2014 qu’il est entré au conseil municipal de Besançon et au conseil communautaire du Grand Besançon. Il avait décroché son fauteuil à l’Assemblée nationale en 2022.

Son combat politique. S’il admet que « les résultats des élections européennes ont été un choc», M. Croizier est reparti au combat pour « rassembler » et « défendre les valeurs de la République ». « Je ne me résoudrai jamais à voir le Rassemblement National et les amis de M. Mélenchon gouverner la France » lance-t-il.

Ses arguments. M. Croizier rappelle son travail de terrain depuis deux ans. Il totalise « plus de 300 visites » d’élus, d’associations, de communes et d’entreprises.  Laurent Croizier est classé 34è député les plus actifs sur les 577 que compte l’Hémicyclique. Il se présente comme « le seul candidat en capacité de faire barrage aux extrêmes ».

Ses priorités ? 

Le pouvoir d’achat et le travail

« Faire que le travail paie est la meilleure des solidarités. C’est dans les entreprises que se créent le pouvoir d’achat et surtout pas par l’argent magique qui tomberait du ciel, ni avec des hausses d’impôts massives » annonce-t-il. Et de poursuivre : « nous devons produire davantage et réindustrialiser en France. Il faut simplifier les démarches administratives pour les entreprises ». Selon M. Croizier, « plus d’entreprises en France, c’est aussi plus de retombées fiscales pour les collectivités pour financer les services publics ».

La sécurité et la justice

M. Croizier rappelle qu’il a obtenu des avancées, comme la création d’un second commissariat de police à Besançon et  l’obtention de moyens humains supplémentaires concernant les forces de l’ordre. « Depuis 2017, ce sont 90 policiers de plus à Besançon, et 150 dans le Doubs ». Le parlementaire rappelle également que, sous son mandat, ce sont trois brigades de gendarmerie supplémentaires qui ont été actées dans le département.

L’école

Enseignant de formation, Laurent Croizier précise que « tout commence à l’école ». C’est la raison pour laquelle, il s’est engagé dans ce domaine depuis son arrivée au palais Bourbon. « Il y a urgence à restaurer l’autorité et le respect des enseignants. Il y a urgence à relever le niveau de l’école et à donner aux élèves les conditions pour bien étudier et aux professeurs pour bien enseigner ». Et de terminer : « je souhaite que nos jeunes aient les mêmes chances de se construire un avenir que notre génération, quel que soit le milieu social ».

L'interview de la rédaction

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, député du Doubs de la majorité présidentielle, demande la mise en place d’un mécanisme d’aide financière pour les commerces en difficulté de la rue de Vesoul à Besançon. Le parlementaire se souvient  que « des dispositifs d’aides financières ont été proposés aux commerces impactés lors des travaux du tram, lors des travaux de la ligne de bus en site propre “Gare Viotte-Temis”, et durant le covid ».

L’élu demande que « la ville de Besançon, Grand Besançon Métropole, le Département du Doubs et l’État se mettent rapidement autour d’une même table pour bâtir un plan d’accompagnement complet ».  Mr Croizier se dit « très inquiet de la situation de certains commerces. « Les baisses d’activité que certains me décrivent sont alarmantes » confirme-t-il.

Anna Falga, nouvelle présidente du Modem du Doubs, et Laurent Croizier, député du Doubs et ancien président départemental du parti, réagissent aux propos tenus par un élu du Rassemblement National lors de la dernière assemblée régionale à Dijon. Ils se disent atterrés par l’utilisation de cette expression « nazie ».

Rappelons que  l’élu en question  a lancé le mot « untermensch ». Ce qui signifie « sous homme » en français. « L’utilisation de cette expression empruntée au nazisme par le Rassemblement National en dit beaucoup de l’imposture de la dédiabolisation du parti de Madame Le Pen et de Monsieur Bardella, héritiers désignés de Jean-Marie Le Pen » terminent-ils.

Dans un communiqué de presse, le député du Doubs Laurent Croizier condamne « l’action militante menée par un collectif d’extrême droite lors du défilé du carnaval de Besançon, ce dimanche 7 avril ». « Cet acte raciste sous couvert de pseudo-féminisme, à l’occasion de cet événement populaire et familial, n’est que la mise en scène grotesque d’une idéologie haineuse » déclare le parlementaire.

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