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Le député doubiste Laurent Croizier est très engagé dans la lutte contre le harcèlement scolaire. Dans le cadre de la loi de sécurisation et de régulation des espaces numériques, le parlementaire a formulé une demande de rapport afin de recenser toutes les actions de prévention et de sensibilisation mises en place dans les établissements scolaires, rendre annuellement obligatoire une session de sensibilisation aux enjeux de harcèlement et de cyberharcèlement en milieu scolaire et évaluer la façon dont le harcèlement est inclus dans la formation initiale et continue des professeurs et de l’ensemble des personnels de l’Education nationale.

Par ailleurs, il y a une semaine, lors de l’examen en séance des crédits enseignement scolaire du projet de loi de finances 2024, un amendement, déposé par les députés démocrates, dont le député Croizier, va permettre la création de « brigades anti-harcèlement » dans chaque académie. 40 millions d’euros sont dédiés à la création de ce dispositif, composé de fonctionnaires de l’Education nationale, formés à la lutte contre le harcèlement pour venir en soutien des équipes pédagogiques. «  Il y a une vraie ambition, à la fois des parlementaires et du ministre, pour améliorer grandement la lutte contre le harcèlement dans les  établissements scolaires » explique M. Croizier.

L'interview de la rédaction : Laurent Croizier

 

Les élus de Besançon Maintenant et Ensemble Bisontins ont quitté le conseil municipal hier soir. Ils attendent des excuses d’Anne Vignot. Ils lui reprochent de les avoir empêché d’exprimer leur condamnation concernant les actes antisémites qui gangrènent Besançon. Selon l’opposition, « Madame Vignot a délibérément coupé la parole du député Laurent Croizier au cours de son propos solennel et ensuite nié le rejet du nazisme du premier vice-président du département Ludovic Fagaut et des élus du groupe Besançon Maintenant ». « Dans des moments aussi graves, l’unité, au-delà des sensibilités politiques, devaient s’imposer » conclut le communiqué de presse.  


Dans un communiqué de presse, le Député Laurent Croizier se félicite de constater « qu’après Grand Besançon Métropole, l’Etat et la région Bourgogne Franche-Comté s’engagent à financer le premier tronçon du contournement ouest de Besançon par la RN 57, entre Beure et Micropolis ». Les élus régionaux ont adopté, vendredi, le volet mobilités du Contrat de Plan Etat-Région. L’Etat apportera 38,5 millions d’euros et la région 9,8 millions d’euros. M. Croizier y voit « un projet qui améliorera la qualité de vie des habitants et permettra de désenclaver le quartier Planoise et développer des alternatives à la voiture, des pistes cyclables, des voies de bus et piétonnes ».

Ce lundi soir, de nombreuses communes de France ont rendu hommage à Dominique Bernard, le professeur de lettres, frappé  de plusieurs coups de couteau à la gorge par un individu d’une vingtaine d’années fiché « S ». A Besançon, de nombreux élus, de tous bords, étaient présents sur l’esplanade des droits de l’Homme. Tous sont venus dire leur attachement aux valeurs de la République, où l’école a toute sa place, et rendre hommage à cet enseignant qui a perdu la vie pour avoir protégé ses élèves et ses collègues.

Anne Vignot, la maire de Besançon, a demandé « de faire corps » avec les enseignants. Aux côtés de la rectrice, des Sénateurs Jacques Grosperrin et Jean-François Longeot, du député Laurent Croizier et de nombreux élus locaux, La Maire bisontine a apporté son soutien aux enseignants. La Marseillaise a été entonnée et des roses et des bougies ont été déposées au pied de la statue de Victor Hugo. A l’image du député Laurent Croizier, de très nombreuses personnes savent que ces actions symboliques sont importantes, mais qu’elles sont insuffisantes. « La loi peut être changée » explique le parlementaire, qui précise qu’il faut s’attaquer « au terreau qui produit le terrorisme islamiste ». Et de poursuivre : « il faut agir très fortement.  Les valeurs de la République ne sont pas négociables ».

Le reportage de la rédaction : Laurent Croizier (député du Doubs). Anne Vignot (Maire de Besançon)

Tristesse et colère

Au cours de cet hommage, la parole a été laissée aux syndicats enseignants. Nathalie Faivre du syndicat SNES-FSU ne cache pas que ce drame a marqué les esprits. La tristesse et la peur se côtoient également à la colère. Mme Faivre explique que « beaucoup de personnalités politique sont présentes pour exprimer leur soutien à l’école », mais elle regrette que « le reste du temps », ces derniers soient plus discrets. La responsable syndicale  demande davantage de soutien de la part de sa hiérarchie et des moyens supplémentaires pour permettre aux enseignants de pouvoir effectuer leur travail et leur mission dans de biens meilleures conditions.

L'interview de la rédaction : Nathalie Faivre

 

Le député doubiste de la majorité présidentielle Laurent Croizier a signé une tribune,  publiée dans la newsletter éducation du journal Le Monde. Le parlementaire,  enseignant de profession, appelle  avec 15 députés du groupe démocrate, « à la poursuite de la revalorisation salariale des enseignants engagée par le gouvernement, à la reconnaissance de l’autorité et du rôle central du professeur ». 

Le député Renaissance Laurent Croizier réagit aux tirs à l’arme automatique survenus, dimanche matin, à Planoise. Aucune victime n’est à déplorer. Le parlementaire s’inquiète pour la sécurité des habitants du quartier. Il appelle la maire de Besançon à renoncer à son projet de réorganisation de la police municipale, « qui supprimera la brigade dédiée au quartier de Planoise ». Il lui demande « d’accepter l’installation de nouvelles caméras de vidéoprotection à Planoise et aux entrées et sorties de la ville ». Dans le même temps, M. Croizier réitère à l’état sa demande de créer un second commissariat de police à Besançon.

Ce jeudi 20 juillet, la commission d'enquête sur les défaillances de fonctionnement au sein des fédérations sportives a lancé ses travaux. Une instance, pour laquelle Laurent Croizier, le député du Doubs, a été élu secrétaire. La réflexion se poursuivra jusqu’au mois de novembre, en vue de la publication d’un rapport parlementaire.

Les travaux s’organiseront autour de trois thématiques : les violences physiques, sexuelles ou psychologiques dans le sport, les discriminations sexuelles et raciales dans le sport et la gouvernance financière des fédérations sportives et des organismes de gouvernance du monde sportif.

D’après la Convention nationale de prévention des violences dans le sport, ces deux dernières années, 54 fédérations sportives sur 109 membres du Comité national olympique ont signalé des cas de violence. Parmi les victimes, 79% étaient de sexe féminin, 84% étaient mineures au moment des faits, et 89% des faits dénoncés concernent des violences sexuelles.

Accusée par Laurent Croizier, le député du Doubs, « de défier l’autorité de l’état, de saccager l’espace public et de vouloir « casser du flic », « l’extrême gauche, selon les mots du parlementaire, a eu les oreilles qui ont sifflées. Séverine Véziès, membre de la coordination nationale de la France Insoumise, réagit à son tour à ces propos qui l’interrogent sur la volonté du député de la majorité présidentielle, ancien adversaire lors des dernières élections législatives.

« Je suis tout simplement de gauche. Je porte un programme de gouvernement et la révolution par les urnes. C’est-à-dire, la révolution citoyenne » explique Mme Véziès. Et de poursuivre : « je ne comprends pas ce qu’il veut dire par extrême gauche. En tout cas, je ne me sens absolument pas visée ». Séverine Véziès souhaiterait que Laurent Croizier réagisse également médiatiquement sur d’autres faits ou d’autres violences qui gangrènent la société bisontine. « Je remarque  que M. Croizier réagit pour dénoncer, soi-disant, ce que ferait l’extrême gauche, sans que je sache vraiment de quoi il parle, mais il ne fait aucun communiqué quand il s’agit de pointer  les dérives et les violences qui sont menées par l’extrême droite à Besançon » argumente la militante de la France Insoumise.

Pour Séverine Véziès, Laurent Croizier fait partie de ces députés qui relaient localement « la dérive illibérale d’Emmanuel Macron ». Elle justifie notamment ces propos par le souhait du parlementaire que  la subvention, accordée par la ville de Besançon à l’association Hop Hop Hop, lui soit supprimée. Il n’y a pas de doute ces deux formations politiques semblent irréconciliables.

L'interview de la rédactuion / Sévérine Véziès

 

Laurent Croizier, député du Doubs, dénonce les violences qui ont été commises lors du rassemblement du 1er mai à Besançon. Sept policiers bisontins ont été blessés, dont un hospitalisé. « Ces violences, nourries par les discours pyromanes et irresponsables de l’extrême-gauche, visent à défier l’autorité de l’État, saccager l’espace public, les commerces mais aussi à « casser du flic » explique-t-il.  

Le parlementaire « apporte tout son soutien à l’ensemble des forces de l’ordre, policiers nationaux et municipaux de Besançon, aux pompiers qui ont dû intervenir sur des départs de feux ». « La violence de ces individus doit être condamnée sans réserve, ni ambiguïté » conclut M. Croizier.

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