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Le Chilien Nicolas Zepeda, soupçonné du meurtre de l’étudiante Narumi Kurosaki, dont le corps n’a jamais été retrouvé, sera jugé à compter du 28 mars prochain devant la cour d’assises du Doubs. Zepeda a reconnu avoir passé une partie de la nuit du 4 au 5 décembre 2016 dans la chambre de la jeune femme, située sur le campus de la Bouloie. Cette nuit-là, des cris ont été entendus, mais personne n’a prévenu les forces de l’ordre. Le meurtrier présumé clame son innocence. Il a expliqué avoir quitté la jeune femme en vie lors de son passage à Besançon.

Un homme de 37 ans a été déféré ce lundi. Le 18 septembre dernier, lors d’un contrôle, il était dans l’incapacité de présenter un permis de conduire. Dans un premier temps, il donna une fausse identité aux policiers. Il reconnut également avoir consommé de la cocaïne. Ce que le dépistage confirma.

 

Le 18 septembre, les policiers bisontins ont interpellé deux individus, âgés de 23 et 28 ans, qui ont été aperçus, via des caméras de surveillance, en train de commettre des dégradations sur des véhicules en stationnement parking Battant. Le véhicule dans lequel ils avaient pris possession a été intercepté 10 minutes plus tard, place Leclerc. Ils ont été placés en garde à vue. Au cours de leurs audition, ils ont indiqué avoir marché sur plusieurs véhicules, sous l’effet de l’alcool. Ils ont été laissés libres dans l’attente d’investigations supplémentaires.

 

Un jeune homme de 18 ans devra s’expliquer prochainement devant la justice. Le 17 septembre dernier, vers 21h45, les policiers CRS de l’Unité Motocycliste Zonale et la Brigade d’Intervention ont constaté la présence d’un couteau de chasse de 18 centimètres de long et d’une balance dans un véhicule. Une forte odeur de cannabis émanait de l’habitacle.

Le conducteur de la voiture remit alors aux policiers six sachets de résine de cannabis, soit environ 38 grammes, près d’une centaine de sachets de conditionnement vides et cinq autres couteaux. Le jeune homme, âgé de 18 ans, était également en possession de près de 500 euros en numéraire. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il reconnut également la vente de stupéfiants.

Un jeune homme d’une vingtaine d’années devra s’expliquer le 6 mai prochain pour des faits de détention, de transport, d’acquisition et de trafic de produits stupéfiants, de rébellion, de violences commises sur une personne dépositaire de l’autorité et pour la conduite d’un véhicule à moteur malgré l’injonction de le restituer.

Le 16 septembre dernier, rue des Flûtes Agasses, à Besançon, lors d’un contrôle routier, les policiers ont remarqué qu’une forte odeur de cannabis émanait de l’habitacle de la voiture. L’occupant tente alors de prendre la fuite, mais il chute seul au sol. Rattrapé, il se rebelle pour empêcher son menottage et frappe un policier au visage. Il a été placé en garde à vue. A l’intérieur du véhicule, les policiers ont découvert 45 grammes d’herbe de cannabis, 65 grammes de résine de cannabis,  plus de 4 grammes de cocaïne et une somme de 260 euros.


Les policiers pontissaliens ont eu à gérer deux affaires de violences familiales. Le 17 septembre dernier, vers 9h35, ils se sont rendus au domicile d’un couple après une dispute. Le compagnon s’est mis en colère lorsqu’il a découvert un téléphone portable inconnu. Des violences ont été échangées entre eux. L’homme s’est vu prescrire cinq jours d’ITT, deux jours d’ITT pour la femme. Les deux protagonistes devront s’expliquer le 17 janvier, à 13h30, devant la justice. Concours de circonstance, c’est également la date de l’audience au cours de laquelle le mari devra répondre d’autres faits survenus lors d’une précédente affaire.

Le 17 septembre, vers 22h, un homme a été placé en garde à vue pour des soupçons de violence physique sur son ex-conjointe. La victime a déposé plainte, mais elle a refusé de voir un médecin. Le mis en cause a été placé en garde à vue. Il est également reproché à l’agresseur présumé d’avoir harcelé téléphoniquement sa victime. Une enquête environnementale a été effectuée. Des violences réciproques ont été constatées. Le couple vit une relation toxique. Le dossier a été transmis pour étude. En attendant, le compagnon ne doit plus entrer en contact avec la victime présumée.

Un homme de 21 ans sera déféré ce vendredi à la suite de son interpellation lors d’un contrôle portant sur la lutte contre les trafics de stupéfiants à Besançon. Au cours de son interpellation, il a reconnu les faits. Il a été placé en garde à vue. Il passera la nuit au commissariat de la Gare d’Eau.

A Besançon. L’individu de 40 ans, chez lequel, à l’issue d’une perquisition à son domicile, les forces de l’ordre avaient découvert un fusil à pompe, une carabine, un pistolet à plomb et des munitions a été condamné, ce jeudi, à 4 mois de prison avec sursis et 2 ans d’interdiction de fréquenter certaines rues de Planoise. Cet homme est défavorablement connu des services de police pour être guetteur sur des points de deal.

Le 13 septembre dernier, un homme de 26 ans, connu des services de police, demeurant à Lons-le-Saunier, a été interpellé Boulevard Flemming à Besançon. Il se trouvait dans une voiture que les policiers avaient choisi de contrôler. Sur lui, les fonctionnaires ont découvert 12 grammes de cocaïne, 3, 5 grammes d’héroïne et 95 euros. Ce dernier a reconnu être un simple consommateur de stupéfiants. Il a été placé en garde à vue. Il a été déféré ce mardi après-midi.

Un homme, âgé de 44 ans, a été interpellé à Besançon le 13 septembre dernier. Une victime, veuve, domiciliée à Colombier-Fontaine, a saisi la police de Montbéliard pour un abus de faiblesse. Elle déclarait avoir été abusée sentimentalement par un homme disant demeurer sur la commune de Besançon, entre le 6 novembre 2020 et le 6 avril 2021. L’affaire a été reprise par la police bisontine.

Les investigations ont permis d’établir que la victime avait effectué des virements bancaires et offert des cadeaux pour la somme de 41.000 euros environ.  Entendu, l’homme a reconnu les faits et a déclaré avoir fait quelques cadeaux à sa nouvelle compagne. Une perquisition a été menée à son domicile.

Sa compagne a également été entendue, mais elle a affirmé ne pas connaître l’origine frauduleuse des présents. Elle a restitué ces derniers, dont le montant s’élève à 7800 euros. Il s’expliquera le 13 octobre devant la justice.