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Un jeune homme de 22 ans, qui vit dans l’arrondissement de Pontarlier,   a été interpellé le 2 octobre dernier dans la capitale du Haut-Doubs alors qu’il venait de détériorer du matériel urbain. Sur lui, la patrouille a découvert un couteau à cran d’arrêt. L’individu a reconnu les faits. Il sera convoqué ultérieurement au commissariat pour une réponse pénale.

Dans la nuit de dimanche à lundi, vers 1h25, un mineur a été interpellé par les policiers à Pontarlier. Il était au volant, alors qu’il n’est pas encore titulaire du permis de conduire. C’est une erreur de conduite, en l’occurrence le non-respect d’un stop , qui a mis les policiers en alerte. Il était également en possession de 18 grammes de résine de cannabis. Le jeune homme a été placé en garde à vue. Il sera présenté ce mardi devant un juge des enfants. Ce dernier  vit dans l’arrondissement de Pontarlier.

Ce vendredi, Yves Cellier, le Directeur départemental de la Sécurité Publique du Doubs, a tenu  une conférence de presse durant laquelle il est revenu sur la semaine très lucrative de ses équipes dans la lutte contre le trafic de stupéfiants. Quatre interventions ont été menées dans le quartier de Planoise, dans les rues de Cologne, des Causses, Île de France et Jacquard. Des interpellations ont été effectuées. Les protagonistes ont été déférés. Certains ont été incarcérés. Globalement, sur les quatre affaires précitées, 6000 euros en numéraire ont été enregistrés. La valeur marchande de la quantité de drogue saisie est estimée à 55.000 euros.

Preuve que ces activités illicites sont très rémunératrices, dans une même affaire, lors de perquisitions, en plus de découvrir 880 euros en numéraire sur un des dealers,  3.800 euros en liquide ont été retrouvés . Un fichier client de 400 personnes a également été constaté. Soit un bénéfice net estimé à 1500 euros par semaine pour  ce trafiquant, qui se trouve actuellement en détention.

Yves Cellier, le patron de la police du Doubs, a fixé à ses équipes quatre grands objectifs : « recueillir et traiter la parole citoyenne, via le site moncommissariat.fr, harceler les consommateurs, déstabiliser les dealers et insécuriser les trafiquants ». M. Cellier le promet : «  la perspective de l’argent facile ne durera qu’un temps. Elle sera temporaire et éphémère. Les dealers auront, de toute façon, un jour ou l’autre à rendre des comptes à la justice et la police ».

L'interview de la rédaction

 

Un jeune homme a été déféré ce jeudi après-midi au tribunal judiciaire de Besançon. Vers minuit, la veille, les policiers de la BAC l’ont interpellé, après qu’il ait tenté de prendre la fuite. Cet individu, qui n’a pas respecté son contrôle judiciaire, se trouvait dans un véhicule, à l’arrêt, rue Martin du Gard. Lorsqu’il a été rattrapé par les policiers, il leur a remis une vingtaine de bonbonnes d’héroïne et de cocaïne, qui se trouvaient dans son caleçon.

On a appris ce mercredi soir que l’homme qui avait tenu des propos obscènes au téléphone à son ex-concubine a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Il avait fait l’objet d’un mandat d’amener. Au cours de son audition, l’individu a reconnu les faits.

Il a expliqué « être impulsif et avoir beaucoup de mal à contrôler ses émotions ». Précisons également que ce dernier avait déjà fait l’objet de poursuites pour des faits similaires. Sa peine à un mois de prison avec sursis a été révoquée.

Demain, à Besançon, se déroulera le conseil municipal de rentrée. En ce mois de septembre, il retrouve son lieu originel, à savoir l’hôtel de ville. Les débats porteront notamment sur le nouveau projet des Vaîtes, pour lequel, l’assemblée municipale devra se positionner. Anne Vignot en profitera également pour dresser le bilan des dernières activités estivales et de la rentrée des classes. Elle déclinera également certains enjeux à venir. L’insécurité routière en fait partie.

Implantation de radars carrefour

Les autorités et la Ville de Besançon ont constaté une nette augmentation des comportements dangereux au volant ces derniers mois. C’est la raison pour laquelle Anne Vignot travaille actuellement avec le Préfet, le Procureur de la République et la police nationale sur la mise en place d’actions répressives pour sanctionner ces comportements inconcevables, qui ont coûté la vie à une automobiliste il y a une dizaine de jours. Ainsi, la ville vient de formuler au ministère de l’intérieur une demande pour acquérir cinq radars carrefour qui pourraient être déployés sur quinze sites référencés. La vitesse, associée à une consommation d’alcool et de stupéfiants, sont clairement dénoncées. Par ailleurs, la Ville de Besançon forme actuellement une dizaine de policiers municipaux à l’usage d’une caméra spécifique,  qui permet  de repérer et d’intercepter les chauffards. En parallèle, elle va déployer dans la cité une campagne d’affichage « la Ville n’est pas un circuit ».

Le périscolaire du midi

La situation est encore très tendue pour l’accueil des enfants durant la pause méridienne. Près de 500 petits bisontins se retrouvent sans prise en charge. Et ce, malgré les places créées par la Ville à la rentrée. Ce calcul s’explique par les 187 enfants, qui n’avaient toujours pas de place début septembre, auxquels s’ajoutent les 114 places laissées vacantes par des familles pour des impayés et l’arrivée de nouveaux enfants sur le territoire bisontin. Cette situation, déplorée par la Ville, s’explique notamment par un manque d’animateurs. Une trentaine manque à l’appel. Ce qui oblige la cité à réduire son offre. D’où ce nouvel appel au recrutement.

Les chiffres de l’été

Anne Vignot ne cache pas sa satisfaction d’avoir pu, malgré le contexte sanitaire incertain, maintenir les animations estivales proposées. A Besançon, nous avons « l’esprit de résistance » déclare-t-elle. L’édile bisontine et ses équipes ont cependant constaté encore une frilosité des locaux à participer aux animations prévues à l’intérieur. Néanmoins, les chiffres sont éloquents et montrent sans aucun doute l’envie de sortir et  renouer avec les grands évènements.  Ainsi, la cité comtoise a recensé 11.000 visiteurs à Vital’été. Près de 93.000 personnes ont été comptabilisées, entre juin et fin août à la Citadelle. Soit une augmentation de 10% par rapport à la même période en 2019. Sur les mois de juillet et août, le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie a vu sa fréquentation progressée de 5%, pour atteindre 13.500 visiteurs. En revanche, le public a baissé au musée du Temps. La Maire de Besançon s’est également félicitée du millier de jeunes qui ont participé au Festival « Ici, c’est Besac », qui aura sans doute une prochaine édition. On notera également les 25.000 curieux qui ont franchi les portes de « Livres dans la Boucle ». Ils étaient 30.000 en 2019. 7.000 visiteurs se sont rendus le week-end dernier à l’act 3 de Grandes Heures Nature et Tout Besançon Bouge.

L'interview de la rédaction : Claudine Caulet, adjointe aux écoles et à l'éducation

Une jeune femme a tenté de tromper la police bisontine le 27 septembre dernier lors d’un contrôle réalisé à hauteur du Boulevard Blum. Cette dernière n’étant pas en mesure de présenter son permis de conduire, une assurance et un certificat d’immatriculation, elle a donné l’identité de sa sœur.

Ce mensonge a très vite été démasqué. Une policière ayant reconnu cette personne, qui s’était déjà illustrée en procédant de la même manière. Le dépistage stupéfiant s’est révélé positif. Trois têtes d’herbe de cannabis ont été retrouvées en sa possession. Elle a été placée en garde à vue, puis laissée libre. Les investigations se poursuivent.

Un bisontin de 37 ans devra s’expliquer le 24 janvier prochain devant la justice.  Le 26 septembre, rue de Savoie, dans le quartier Planoise, cet individu a jeté une fenêtre depuis l’étage d’un immeuble. Il aurait commis de multiples dégradations dans les communs.

A l’arrivée des policiers, le trentenaire a également dégradé la porte d’un ascenseur, dégonder une fenêtre et l’a lancée depuis le 9è étage. Il a ensuite regagné son appartement et s’y est enfermé. Il a fini par ouvrir la porte aux policiers. Ivre et agité, il a été interpellé et placé en garde à vue. Lors de son audition, après dégrisement, il a expliqué ne plus se souvenir  des faits, en raison d’une alcoolisation excessive.

Ce lundi et ce mardi, des individus ont été interpellés par des policiers alors qu’ils étaient en train de jeter des colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. Il s’agissait de trois mineurs, âgés de 16 et 15, et d’un majeur d’une vingtaine d’années. Sur les trois adolescents, deux d’entre eux devront s’expliquer devant un juge des enfants. Quant à l’aîné, il a été déféré ce mardi matin.

Aux assises du Jura. Le meuthiard Alexandre Verdure a été reconnu coupable du meurtre de la jeune prostituée roumaine Mihaela Miloiu. Hier soir, à l’issue de trois jours de procès, il a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle. En première instance, 20 ans de prison avaient été prononcés