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Hier, en fin d’après-midi, au centre-ville de Besançon, les policiers ont eu des difficultés  avec un individu, soupçonné d’avoir commis une agression, avec tentative de vol, dans un magasin, situé 22 grande rue. Lors de son interpellation, ce dernier, alcoolisé, a refusé de donner son identité et a proféré des insultes en direction des policiers municipaux.

Lors de son transport au commissariat, il s’est glorifié de sortir de prison et a menacé de représailles les agents. Il a également tenté de mettre un coup de pied aux fonctionnaires présents aux geôles. Il leur a craché dessus. Le trentenaire a refusé de se soumettre à la vérification de son alcoolémie. Il a été placé en garde à vue avec différemment des droits.  

Un adolescent de 16 ans devra s’expliquer le 12 octobre prochain devant le juge des enfants. Le 25 juillet dernier, lors d’un contrôle, il est retrouvé en possession de près de 2 grammes de résine de cannabis, d'un couteau  et 410 euros en numéraire. L’individu se trouvait, avec un comparse, dans les parties communes d’un immeuble dans le quartier Planoise.

Lors de son audition, il a reconnu uniquement la détention de stupéfiants pour sa consommation personnelle. Concernant l’argent, il lui aurait été donné par sa mère. Ce que cette dernière a confirmé. L’argent a été saisi, ainsi que son téléphone portable, dont le jeune homme n’a pas souhaité donner le code de déverrouillage.

Etienne Manteaux, le procureur de la république de Besançon, et Yves Cellier, le directeur de la sécurité publique du Doubs, s’inquiètent quant à la consommation de protoxyde d’azote qui semble se généraliser chez les jeunes. Les petites cartouches qui contiennent ce gaz sont retrouvées de plus en plus sur les parkings des discothèques du secteur bisontin. Difficile pour les autorités de combattre ce fléau, si ce n’est par la prévention.  Rappelons que ce produit, servant notamment à la confection de la crème chantilly, se trouve en toute légalité dans les commerces. Il est transféré dans un ballon de baudruche et inhalé. Il déclenche alors un effet euphorisant et désinhibant avant une soirée.

Le 23 juillet dernier, dans le quartier Planoise, tout laisse à penser qu’un jeune homme de 20 ans en a consommé avant d’agresser une victime. Il était en compagnie d’un deuxième individu. Des cartouches ont d’ailleurs été retrouvées dans le véhicule. Les caméras de vidéosurveillance, placées à cet endroit, ont révélé « une scène d’une rare violence », selon les propos du procureur de la république. Sept minutes plus tard, après avoir retrouvé la raison, et compris la violence de son comportement, le mis en cause alerte les secours.

L’individu violent est alors interpellé. Il a été mis en examen et placé en détention. Il est déjà défavorablement connu de la justice pour d’autres faits de violence. La victime est âgée de 25 ans. Elle souffre de graves lésions, notamment au niveau de la tête. 15 jours d’ITT ont été prononcés dans un premier temps.

L'interview de la rédaction / Yves Cellier, directeur de la sécurité publique du Doubs

 

L’info est relatée dans les colonnes du journal « Le Progrès »  de ce matin. Dans le Jura, le parquet a classé sans suite l’affaire de cette femme retrouvée sans vie à proximité d’un kiosque dans le centre-ville de Poligny. Le quotidien jurassien explique,  qu’après les résultats de l’autopsie qui n’avaient pas permis de faire avancer l’enquête, les nouvelles expertises n’ont rien donné. La thèse d’un décès accidentel a donc été conclue par le procureur de la république du Jura.

A la suite de trois plaintes déposées au Parquet de Besançon pour des faits de violences sexuelles, une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur les agissements d’un individu, qui n’était pas titulaire, au début de ses interventions, du diplôme d’assistant en médecine esthétique. Ce dernier est soupçonné d’avoir commis des agressions et violences sexuelles sur  certaines de ses patientes lors de séances d’épilation du maillot. Les faits auraient été commis à Besançon dans le cabinet de son frère, qui exerce en toute légalité la profession de médecin dermatologue. Les faits dénoncés courent entre  mars 2020 et octobre 2021. Le faux médecin aurait mené ses premières interventions dès le mois de novembre 2019. Suite à un appel à témoins, ce sont dix nouvelles plaintes qui ont été enregistrées. La dernière est parvenue en mai dernier. Cinq viols auraient été commis.

L’individu  réfute les faits qui lui sont reprochés. Pour l’heure, il a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il lui est bien entendu interdit de pratiquer cette  profession. Lorsque le dossier sera clos, il sera envoyé au conseil de l’ordre des médecins qui statuera également sur le cas des deux protagonistes.

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

 

Concernant le décès d’un jeune homme de 29 ans, survenu dans la nuit de samedi à dimanche à Besançon, Faubourg Tarragnoz, Etienne Manteaux, le Procureur de la République, a indiqué ce mardi après-midi, lors d’une conférence de presse, que les enquêteurs sont dans l’attente du résultat des analyses toxicologiques. Rappelons que la victime, qui s’est vu refuser l’entrée à la discothèque le QG à Besançon, « en raison de son comportement », s’est mise en colère. Elle  va commettre des dégradations, qui engendrent le déplacement d’une patrouille de police.

 Maîtrisé par les vigiles, l’individu réussit à s’enfuir avant l’arrivée des policiers. Il prend la direction du chemin de Mazagran pour rejoindre le Faubourg Tarragnoz. A cet endroit, il prend un petit chemin et grimpe une pente très escarpée et se retrouve au-dessus d’un muret dont la hauteur est estimée à 4 mètres. En pleine nuit, les policiers découvriront le corps du jeune fuyard au pied de ce muret.

Etienne Manteaux souligne qu’aucun manquement n’a été constaté. Ce jeune homme de 29 ans n’avait pas d’antécédent judiciaire. D’où une des interrogations sur son comportement ce soir-là.  Pour l’heure, aucune poursuite n’est envisagée.  Le Procureur de la République et Yves Cellier, le directeur de la sécurité publique du Doubs, précise qu’aucune chasse à l’homme n’a eu lieu et qu’il était difficile d’apprécier la dangerosité de l’endroit en raison de l’obscurité pour la patrouille dépêchée sur place.

Le reportage de la rédaction / Etienne Manteaux et Yves Cellier

 

L’affaire de l’ostéopathe de Pontarlier, soupçonné de viol et d’agression sexuelle, devrait être close l’automne prochain. Le mis en cause pourrait comparaître devant une cour d’assises. L’affaire est apparue durant l’été 2020 après plusieurs plaintes déposées par des patientes. Depuis sa médiatisation, 19 personnes se sont manifestées.

Huit faits de viol, avec des actes de pénétration vaginale, ont été enregistrés. L’individu est pour l’heure placé sous contrôle judiciaire,  avec interdiction d’exercer. Il conteste les faits qui lui sont reprochés et qui auraient été commis entre janvier 2018 et décembre 2020.

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

 

Un homme s’expliquera le 6 décembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences et proféré des menaces dans un établissement de restauration rapide au centre-ville de Besançon. L’individu a été interpellé et conduit au commissariat de la Gare d’Eau. La victime a porté plainte.

Le trentenaire n’aurait pas accepté que la jeune femme refuse son invitation à partager un verre. Il l’aurait menacé en la pointant du doigt et lui aurait jeté un verre de café à la figure. Au cours de son audition, l’individu a reconnu les faits. Justifiant que sa réponse « n’était pas élégante ».

L’individu, qui a tenté de donner un coup de couteau à un sapeur-pompier qui venait lui porter secours alors qu’il menaçait de se jeter dans le Doubs, au niveau de chemin de Mazagran, à Besançon, a été placé sous contrôle judiciaire en attendant son jugement qui se tiendra le 25 novembre prochain. Les faits se sont produits le 24 juillet dernier, vers 00h30. Cette personne dépressive était fortement alcoolisée. Elle présentait un taux de 1,84 gramme d’alcool dans le sang.

La police de Pontarlier appelle les responsables d’entreprise à la prudence. Il est constaté que des individus n’hésitent pas à s’introduire dans la cour d’une société pour se servir et s’emparer de déchets et autres matières premières qu’ils jugent intéressant.

Le commissariat de police invite les entrepreneurs à signaler ces entrées illicites. A Pontarlier, une patrouille supplémentaire a été mise en place pour mettre un terme à ces délits. Les victimes sont appelées à composer le 03.81.38.51.10. Un individu semble avoir été identifié dans le Haut-Doubs.

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