Un automobiliste de 23 ans devra s’expliquer en septembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Lundi, vers 17h, une patrouille de police a constaté qu’il était au volant alors que son permis de conduire lui avait été retiré. Il a tenté de prendre la fuite, mais les policiers sont parvenus à l’interpeller. Son passager s’est sauvé avec les clés du véhicule. Lors de sa garde à vue, le conducteur a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Sa voiture a été placée sous scellé en fourrière.
Un homme et son ex-compagne seront déférés en vue d’une comparution immédiate ce mercredi matin à Besançon. Ces deux personnes devront s’expliquer pour des faits de violence survenus samedi après-midi à Pontarlier. Les deux individus se sont mutuellement agressés lorsque la femme, qui était venue passer un moment chez l’homme en compagnie de sa fille, a choisi de quitter les lieux.
Le père de famille aurait jeté une assiette au visage de sa victime, lui occasionnant une plaie. Il l’aurait également poussée au sol. Pour se venger et se sauver avec sa fille aurait donné, avec la pointe d’un couteau, deux coups dans le mollet de son opposant. Les deux protagonistes ont été interpellés lundi à leur domicile respectif. La femme, âgée de 46 ans, s’est vu prescrire 5 jours d’ITT. Un seul jour pour son ancien compagnon, âgé de 47 ans.
Les gardes à vue des deux individus, impliqués dans des violences conjugales, ont été prolongées. à Besançon. Les faits ont été commis au cours de la soirée de samedi et la nuit de samedi à dimanche. Le premier homme, âgé de 50 ans, a été interpellé avec un taux de plus de 2 grammes d’alcool dans le sang. L’interpellation du deuxième, âgé de 37 ans, s’est effectuée rue Battant. Il était également alcoolisé (0,70 gramme d’alcool dans le sang).
A Pontarlier. Un jeune homme de 23 ans sera reconvoqué prochainement par le commissariat de police. Le 14 juillet dernier, lors d’un contrôle, il est apparu que son permis de conduire n’était plus valide, qu’il conduisait également avec un défaut d’assurance et sous l’effet de stupéfiants. Comme l’exige la loi, il reviendra au commissariat lorsque la quantité de THC qu’il avait dans le sang sera connue précisément.
La garde à vue d’un homme de 59 ans a été prolongée ce vendredi. Il est soupçonné d’avoir harcelé une femme de 67 ans. Il a été enregistré 67 appels entre le 19 juin et le 7 juillet. 152 messages ont également été enregistrés. Il a laissé des messages grivois, espérant obtenir des faveurs de la part de la sexagénaire. Eprouvée psychologiquement, cette dernière s’est vu prescrire 5 jours d’ITT
La garde à vue d’un homme de 24 ans a été prolongé ce jeudi soir à Besançon. Dans la nuit de mercredi à jeudi, alcoolisé, il a insulté et menacé de mort à plusieurs reprises un agent de sécurité qui venait de lui interdire l’entrée à un bar de nuit, situé au centre-ville, Grande Rue, en raison de son état. Au cours de son audition, il a reconnu avoir bu de l’alcool, mais a nié les menaces.
Une automobiliste de 44 ans s’expliquera le 22 septembre prochain devant la justice. Mardi, vers 16h, une patrouille de police a remarqué sa conduite approximative. Lors du contrôle, il est apparu que son permis de conduire n’avait plus de point et qu’elle conduisait sous l’effet de l’alcool. Elle a été placée en garde à vue.
Le salarié d’une entreprise de téléphonie a été interpellé. Il est soupçonné d’avoir dérobé environ une trentaine d’iphones, en quatre fois, pour un préjudice total estimé à 32.000 euros. Les faits ont été enregistrés entre mai et juin 2022. L’individu a été interpellé ce 28 juin et placé en garde à vue.
Au cours de son audition, il a reconnu les faits. Il a expliqué que son entreprise ne le payait pas assez. C’est pour cela qu’il avait agi ainsi. Il a également précisé avoir revendu tous les appareils à la sauvette et avoir utilisé l’argent pour rembourser des dettes à des tiers et pour jouer au casino. Il s’expliquera le 10 novembre prochain devant la justice.
En cette période ensoleillée, les trottinettes électriques, sont la cible des forces de l’ordre. Le Commandant Trousseau, le patron de la police de Pontarlier, rappelle les règles qui régissent cette pratique. Il prévient également les contrevenants que ces infractions sont sanctionnées par la loi. On fait le point sur ces consignes
Tout d’abord, la vitesse maximum de ces engins ne doit pas dépasser 25 km/h, il faut être âgé au moins de 12 ans et il est bien entendu strictement interdit de circuler à deux et sur les trottoirs. D’autre part, le port d’un casque audio ou d’écouteurs sont également interdits, les trottinettes doivent être équipées d’un système de freinage, d’un avertisseur sonore et d’un système de feu avant et arrière. Bien évidemment, le conducteur doit posséder une assurance « responsabilité civile ». Le non-respect de ces règles s’accompagne d’une amende qui peut s’élever à 35 euros pour le port d’écouteurs à 120 euros si le conducteur n’a pas l’âge requis ou encore 3750 euros pour l’absence d’assurance.
Enfin, dernier conseil du commandant et pas des moindres, pensez à bien attacher votre engin si vous devez le stationner. D’une valeur parfois de plus de 1000 euros, les trottinettes électriques sont très convoitées par les malfrats qui n’hésiteront pas à s’en emparer s’ils en ont l’occasion
L'interview de la rédaction / Commandant Trousseau
Après quatre jours d’audience, et plus de 6h30 de délibéré, les condamnations concernant l’affaire des tirs entre dealers, dans le quartier Planoise, et concernant « la Tour de Fribourg », sont tombées ce jeudi soir. Sept hommes, qui composaient l’une des bandes rivales, étaient jugés devant le tribunal correctionnel de Besançon.
10 ans de prison ferme pour Omar et Youssouf Abdou, c'est le verdict qui est tombé pour les deux leaders présumés de la bande dit de la Tour de Fribourg. Le premier, âgé de 27 ans, incarcéré depuis ses 18 ans, va donc encore passer de nombreuses années en prison. Cependant, fait à noter, les deux frères ont été rendus coupables d'associations de malfaiteurs en vue de réaliser des trafics de stupéfiants mais ont été relaxés sur l'ensemble des faits concernant les fusillades qui ont ravagé le quartier de planoise de novembre 2019 à mars 2020.
Reportage et montage : Redouane Touta
Réaction de l'avocat d'Omar Abdou
Kahlil khaoui, venu de la région parisienne pour organiser ces fusillades a en revanche été condamné à 9 ans de prison ferme pour ces faits. Les autres peines encourues sont moindres et Aziz Aljef a notamment été relaxé de tous les chefs d'accusation suscitant un grand soulagement dans la salle d'audience. Tous les accusés sont parus assez souriants mais les avocats de la défense se disent forcément insatisfaits étant donné qu'ils plaidaient la relaxe pour tout le monde.
Réaction de l'aocate de Aziz Adjief
Enfin, en plus de toutes les peines carcérales, une peine de 5 ans d'interdiction du territoire franc comtois a été ajouté : une disposition qui permettra peut-être de ramener le calme dans le quartier de planoise.
Le reportage de la rédaction / Matéo Bonin