On a appris ce mercredi que la première présidente de la cour d’appel de Besançon a désigné, après avoir recueilli les observations du ministère public et des parties, la cour d’assises de Haute-Saône , dont le siège est à Vesoul, pour statuer en appel dans le dossier Zepeda.
L’audience devrait se tenir au premier semestre 2023. Rappelons que le Chilien Nicolas Zepeda a été condamné à 28 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat, en 2016 à Besançon, de son ancienne petite amie, l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki.
La nuit dernière, vers 00h15, rue Péclet, à Besançon, une patrouille de la police nationale a interpellé un homme de 38 ans qui circulait en sens interdit en scooter. Le dépistage d’imprégnation alcoolique pratiqué par les fonctionnaires s’est révélé positif. L’individu présentait un taux de 1,68 gramme d’alcool par litre de sang. Il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Cette dernière est toujours d’actualité ce matin.
Europe Ecologie Les Verts vient de porter plainte à la suite de tags néo-nazis et d’inscriptions incitant à la haine raciale découverts sur une affiche électorale de Stéphane Ravacley, candidat dans la 2è circonscription du Doubs aux législatives. Rappelons que le boulanger bisontin porte les couleurs de la NUPES, la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale, dans ce scrutin.
Les deux adolescents de 14 et 17 ans, soupçonnés d’avoir jeté des colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon, devront s’expliquer le 26 août prochain devant la justice. Ce sont des policiers municipaux qui ont été requis par le centre de supervision urbaine de la ville. Les colis n’ont pas été retrouvés.
La garde à vue d’un homme de 27 ans a été prolongée hier à Besançon. Le 1er juin, vers 19h30, il a été retrouvé en possession de 1300 euros, éparpillés sur le sol de son véhicule, et d’une balance. L’ensemble a été saisi. Les faits ont été constatés sur le parking du boulodrome du Rosemont. De plus, la palpation de l’intéressé a permis de découvrir un petit sachet contenant une dizaine de bonbonnes de cocaïne. Alcoolisé, il a été placé en garde à vue.
Une jeune fille de 13 ans devra s’expliquer le 17 juin devant le juge des enfants. Le 1er juin dernier, elle a tenté de dérober des vêtements dans une enseigne de sport de la zone commerciale de Chateaufarine. Elle aurait également donné des coups de pieds et de poings à un animateur de vente. Ce que l’adolescente réfute. Elle ne reconnaît que les vols.
Dans l’affaire des quatre lycéens qui ont perdu la vie dans un accident de la route, le 19 janvier, à Doucier, le Procureur de la République de Lons-le-Saunier a indiqué « qu’aucune suite judiciaire ne sera donnée ». « Aucune faute pénale n’est caractérisée ».
Rappelons que le véhicule, conduit par une jeune femme de 18 ans, avait glissé sur une plaque de verglas, avant de terminer sa course dans le lac de Chalain. Un jeune du groupe a survécu. Un deuxième a succombé à une hypothermie. Les trois autres ont perdu la vie dans la voiture. Tous les cinq étaient scolarisés au lycée Paul Emile Victor de Champagnole.
Un individu a été placé en garde à vue, puis déféré ce jeudi. En début de journée, ce chauffard, en récidive, a multiplié les infractions. Il a tout d’abord fourni une fausse identité aux agents qui le contrôlaient. Il n’a également pas été en mesure de présenter certaines pièces administratives liées à la conduite : le permis de conduire, la carte grise et le contrôle technique. Les investigations menées ont permis d’établir que son permis de conduire avait été invalidé. Au cours de son audition, le mis en cause a reconnu les faits.
L’adolescent de 17 ans, interpellé à la suite d’un rodéo, commis le 29 mai dernier, dans le secteur de Montrapon, à Besançon, a été placé en détention provisoire à l’issue de son passage devant la justice. L’individu avait pris la fuite, mais il avait été interpellé une heure trente plus tard alors qu’il se trouvait dans un véhicule comme passager. Au cours de son audition, il a nié les faits malgré son identification formelle sur des images de vidéosurveillance.
A Morez (39), le collectif « mieux vivre à Morez » dénonce « une insécurité grandissante » au sein de la cité jurassienne. Mercredi dernier, le 25 mai, six mineurs, âgés d’une quinzaine d’années, ont agressé verbalement un jeune et trois adultes à hauteur de la rue de la République.
Des faits qui se sont reproduits le lendemain également. Pour l’association, la coupe est pleine. D’autant plus qu’il a été constaté que les caméras de vidéosurveillance étaient en panne et n’assuraient plus la protection souhaitée. Selon ces habitants, à ces agressions s’ajoutent des courses de quad et des tirs de mortier. Une plainte a été déposée. Elle a été enregistrée par le procureur de la république. Une enquête est en cours.