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Le tribunal administratif de Besançon a rendu sa décision concernant la démarche de l’association « One Voice Â» qui contestait, devant la juridiction, six autorisations de tirs de défense, accordées à des agriculteurs, par la préfecture du Jura. Selon la justice, « il n’y a pas d’urgence à suspendre ces arrêtés préfectoraux Â». L’association avait choisi la procédure d’urgence pour contester la mesure préfectorale. L’affaire avait été présentée ce mercredi devant l’instance bisontine.

Dans l’affaire de ces deux salariées du secteur médico-social de l’APEI de Lons-le-saunier, qui avaient été réintégrées par les prudhommes seize mois après leur suspension pour ne pas être vaccinées contre le covid 19, on a appris ce vendredi que leur employeur faisait appel de cette décision. Les prudhommes se sont appuyés sur « l’article 8 de la  convention européenne des droits de l’Homme et des libertés fondamentales Â» pour rendre leur décision.

Une audience devait se tenir ce jeudi matin, à 10h, au tribunal administratif de Besançon  pour dénoncer les six arrêtés préfectoraux pris dans le Jura pour autoriser des agriculteurs à effectuer des tirs de défense, pouvant être létaux, en direction du loup. Cette démarche en justice est à l’initiative de l’association One Voice qui demande la suspension et l’annulation de ces arrêtés. La décision sera rendue d’ici la fin de semaine.

Les policiers pontissaliens ont découvert que le jeune homme, qu’ils avaient convoqué pour une autre affaire, était impliqué dans un délit familial. Agé d’une vingtaine, il aurait volé le chéquier de son père et utilisé 17 chèques pour un montant de 1.100 euros. Son paternel a déposé plainte. Le mis en cause a été placé en garde à vue. Il a reconnu les faits. La justice lui ordonne de rembourser sa victime. Sans quoi d’autres poursuites seront engagées.

Un homme sera présenté ce mercredi devant la justice. Lundi, une femme a déposé plainte au commissariat de police de Pontarlier après des dégradations et des menaces de mort commises et proférées par son compagnon. Convoqué ce mardi, l’homme a été placé en garde à vue. Il nie avoir commis des violences physiques. Il ne supporterait pas la procédure de séparation en cours.

Un jeune homme de 20 ans devra s’expliquer en juin prochain devant la justice. Lors d’un contrôle, mené le 4 février dernier, rue de Cologne, dans le quartier Planoise, à Besançon, il a été trouvé en possession de 4,5 grammes d’héroïne. Il est également apparu qu’ils  faisait partie d’un réseau de revente de stupéfiants.  Durant sa garde à vue, il a, dans un premier temps, expliqué aux policiers faire le guetteur et gagner entre 50 et 60 euros par jour, avant de se rétracter.

Un jeune conducteur de 20 ans est actuellement en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Dimanche après-midi, alors qu’il faisait du rodéo,  rue de Chalezeule, il a été interpellé. Alors que son acolyte parvenait à prendre la fuite, ce dernier n’est pas parvenu à relancer le moteur de son deux roues. Ce qui a permis aux policiers de le mettre hors d’état de nuire. Après les vérifications d’usage, il est apparu que le véhicule avait été volé le 29 janvier dernier.  

Aux Rousses, la garde à vue de l’homme de 26 ans,  soupçonné d’avoir agressé, à l’arme blanche,  un bébé de 2 mois et sa mère, a été levée. Les faits ont été commis samedi matin dans la petite station jurassienne. Son état n’étant pas compatible avec celui de la garde à vue, il a été admis au centre hospitalier psychiatrique de Saint Ilye. Quant à l’état de santé des victimes, il reste stationnaire. Le pronostic vital du bébé, victime d’une éventration, reste toujours engagé.

Daniel Benazeraf, l’ancien directeur de l’ADAT, a été condamné, hier, à deux ans de prison, dont un an ferme. Cet organisme est rattaché au conseil départemental du Doubs. Rappelons que ce proche de Christine Bouquin avait détourné plus de 150.000 euros d’argent public. Il purgera sa peine, sous bracelet électronique, à son domicile.

De son côté, Christine Bouquin a réagi à cette condamnation. « Depuis le début de cette affaire, ma position n’a jamais varié. Mon objectif a toujours été que toute la lumière soit faite sur cette affaire. C’est aujourd’hui chose faite grâce à la décision de justice rendue Â» dit-elle dans un communiqué de presse. Elle précise que « l’Adat pourra récupérer rapidement les fonds détournés, en complément des remboursements déjà opérés par l’intéressé Â». depuis le 1er décembre dernier, une directrice a pris ses fonctions.

Dans un communiqué de presse très bref, le FC Sochaux Montbéliard confirme que son joueur Sambou Yatabaré a fait l’objet d’une arrestation et d'une incarcération. Le club ne fait pas davantage de « commentaire sur cette situation d’ordre privé, sans rapport avec le FCSM Â», nous indique-t-on.