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Un septuagénaire, impliqué dans une affaire relative à un conflit de voisinage, dans le secteur de Palente, à Besançon, a été présenté à la justice le 28 mars dernier. Jugé en comparution immédiate, il a écopé d’une peine de deux ans d’emprisonnement avec sursis, d'une interdiction de porter une arme, d'être en contact avec ses victimes et d’une obligation de soin concernant l'alcool.

Le 26 mars dernier, un différend de voisinage a éclaté. Arrivée sur place la patrouille entend une détonation et aperçoit un homme arme à la main qui se déplace. Elle parvient à le désarmer et à l’interpeller. L’individu, qui présentait un taux de 1 gramme d’alcool par litre de sang,  a été placé en garde à vue. L’arme s’est révélée être un révolver à bille de catégorie D. Précisons que la victime s’est vue prescrire une ITT de 3 jours.

Un jeune homme de 17 ans, qui a été retrouvé porteur d’une arme de poing, garnie de cartouches, dans la nuit de lundi à mardi, dans le quartier Planoise, à Besançon, devra s’expliquer le 12 avril prochain devant le juge pour enfants au tribunal judiciaire de Belfort. Il était en possession de plus de 5 grammes de résine de cannabis. Il est apparu qu’il faisait  l’objet d’une interdiction de s’absenter de son domicile belfortain la nuit. Il était également recherché suite à une condamnation judiciaire en rapport avec les stupéfiants.

C’est un procès hors norme qui va s’ouvrir ce mardi matin au palais de justice de Besançon. A compter du mardi 29 mars, et jusqu’au mardi 12 avril, le Chilien Nicolas Humberto Zepeda Contreras comparaît devant la cour d’appel de Besançon pour l’assassinat de l’étudiante japonaise Narumi Kurosacki, en 2016, à Besançon. Soit onze jours de procès. Précisons que le corps de la jeune femme n’a jamais été retrouvé.

Il aura fallu toute la détermination de la justice française et d’Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, pour obtenir l’extradition du Chilien en France. C’est en mai 2020, après le déplacement des autorités françaises au Chili, qui avaient pu obtenir et assister à un entretien entre une magistrate chilienne et l’accusé, et pour lequel 95 questions avaient été posées, que la cour suprême du Chili a autorisé l’extradition de Zepeda. En juillet 2020, Il se voyait notifier sa mise en examen par le juge d’instruction de Besançon. En février 2021, l’ordonnance de renvoi de Zepeda devant la cour d’assises de Besançon du chef d’assassinat était actée. Le 19 mai de la même année, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Besançon confirmait cette ordonnance.

Nicolas Zepeda sera assisté par Maîtres Jacqueline Lafont et Julie Bendetti, avocates au barreau de Paris. Cinq personnes se sont constituées parties civiles. Les proches de la victime seront défendus par Maître Sylvie Galley, avocate au barreau de Besançon. Arthur Del Piccoloh-Saleh sera assisté de Maître Randall Schwerdorffer, également avocat au barreau de Besançon.

Le procès débutera mardi matin, à 10h. Il sera alors procédé au tirage au sort du jury de jugement. La personnalité de l’accusé sera détaillé mardi après-midi. L’examen des faits sera effectué mercredi. Ce n’est que jeudi après-midi que Nicolas Zepeda sera interrogé.

Un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue hier soir à Besançon. Lors d’un contrôle, ce jeune automobiliste a tout d’abord donné une fausse identité aux policiers, avant de revenir sur ses déclarations. Les investigations ont permis d’établir qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire.

Un jeune homme de 16 ans a été interpellé par les policiers bisontins hier soir, vers 18h30, sur le secteur de Planoise à Besançon. Sur son scooter, ce dernier a pris de nombreux risques vis-à-vis des usagers. Le jeune contrevenant, qui avait d’échapper aux forces de l’ordre,  a été ramené manu militari au commissariat et placé en garde à vue.

Un automobiliste de 53 ans a été contrôlé avec 1, 22 gramme d’alcool dans le sang à Besançon, rue de Savoie. Il est également apparu qu’il était au volant malgré une annulation de son permis de conduire et avec un défaut d’assurance. Il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il s’expliquera en juin prochain devant la justice.

Un jeune homme de 18 ans devra s’expliquer le 18 novembre prochain devant la justice. Mercredi, à Besançon, il a été interpellé sur un point de deal au centre-ville, rue du petit Battant. Après plusieurs échanges avec d’autres personnes venues sur le site, il a été contrôlé. Assistés du chien stup, les policiers ont découvert du cannabis et de la cocaïne. Ramené au commissariat, il a été placé en garde à vue, avant d’être fixé sur son sort.

Une salariée, âgée de 43 ans, d’un magasin de la grande distribution a été convoquée au commissariat de police de Besançon ce mercredi. Elle a été placée en garde à vue et auditionnée. Profitant de sa position de responsable des caisses, chargée de la comptabilité, elle aurait détourné près de 48.200 euros. Au cours de son audition, elle a expliqué avoir besoin de cet argent pour financer les soins de sa maman restée en Arménie. Cependant, elle n’a pas été en mesure de présenter un justificatif d’envoi de fonds. Les faits ont été commis entre février et avril 2021. Elle devra s’expliquer devant la justice. En attendant, elle a été remise en liberté.

Un homme a été placé en détention à la maison d’arrêt de Besançon pour une exécution de peine de six mois ferme. Dimanche soir, vers 19h, sur un point de deal, rue Caporal Peugeot, à Besançon, il est apparu qu’il était en possession de 11 bonbonnes de cocaïne pour un poids de 14 grammes. Au cours de son audition, il a reconnu vendre occasionnellement des stupéfiants dans la rue.

Un homme a été placé en garde à vue ce lundi après-midi à Besançon. Lors d’un contrôle mené dans le tramway par trois policiers en tenue de la brigade canine, accompagnés du chien stup, il est apparu qu’il était en possession d’un morceau de 10 grammes de cannabis. Lors de la palpation, il s’est rebellé. Obligeant les policiers à user de la force nécessaire pour le menotter, en l’amenant au sol sur le quai de l’arrêt Brûlard. Le trentenaire a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Aucun policier n’a été blessé.