La Direction départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations du Jura appelle à la vigilance les consommateurs, invités, suite à un démarchage téléphonique, à se rendre dans un magasin de meubles pour retirer un cadeau ou participer à une loterie. Ce type de procédé constitue bien souvent le mode opératoire privilégié de certaines sociétés d’ameublement éphémères.
Tout consommateur s’estimant victime de telles pratiques peut prendre contact avec les services de la DDETSPP du Jura : Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Tel : 03 63 55 83 00 (du lundi au vendredi, de 09h00 à 11h30)
Deux adolescents, âgés de 13 et 16 ans, devront s’expliquer devant le juge des enfants du tribunal judiciaire de Besançon et de Dijon. Les deux mineurs ont été interpellés sur un point de deal, basé avenue Île de France, dans le quartier Planoise.
Dans l’appartement que le vendeur venait de quitter, les policiers ont découvert 74 grammes de résine de cannabis, 26 grammes d’herbe de cannabis et 2,5 grammes de cocaïne. Au cours de son audition, le jeune homme de 13 ans a reconnu faire le guetteur contre rémunération. Néanmoins, il ne reconnaît pas faire partie d’un quelconque réseau de trafic de produits stupéfiants. L’autre jeune, âgé de 16 ans, ne reconnaît pas les faits.
Un individu, âgé de 20 ans, a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Besançon. Il sera jugé en avril prochain. Le 12 mars, vers 7h35, il a dérobé un véhicule sur le parking du Teasing sur la commune de Chalezeule. Localisée, grâce au téléphone portable qu’il avait volé dans un autre automobile, la voiture, avec le malfrat à l’intérieur, a été repérée rue de Vesoul. Alcoolisé, le jeune homme s’était endormi. La voiture était accidentée. Dans sa fuite, le mis en cause aurait percuté un véhicule sur le boulevard Léon Blum.
Dans un communiqué de presse, l’intersyndicale de Besançon dénonce la manière dont s’est déroulée la garde à vue de trois étudiants, âgés entre 18 et 22 ans, interpellés le 7 mars dernier, vers minuit, et libérés, jeudi soir, après 20h. Il est pointé plusieurs atteintes aux droits. L’intersyndicale et les organisations de jeunesse dénoncent notamment « des tentatives d’intimidation » et la durée de leur garde à vue.
Rappelons que selon des sources policières, ces jeunes militants auraient effectué plusieurs tags sur la fontaine, place de la Révolution. Les tags auraient été signés d’un logo anarchiste, et déclaraient notamment « Mort à l’Etat ».
« Les amis des arbres », comme ils aiment se présenter, se sont réunis, ce dimanche matin, à Arçon, dans l’allée des tilleuls, où les quinze arbres qui animent les lieux sont désormais sous la menace d’un abattage. Vendredi, le tribunal administratif de Besançon faisait savoir que l’association « Arçon nature et patrimoine » était déboutée de sa demande d’annuler l’autorisation qui était accordée, par le préfet du Doubs, au Maire de la commune du Haut-Doubs, pour abattre ces arbres remarquables.
Les manifestants, réunis autour de Christine Stumpf, la présidente du collectif, sont venus dire leur incompréhension. Ils en sont convaincus « ces arbres ne représentent aucun danger ». Les dernières rafales de vent sont venues confirmer ces dires. La perte de ce patrimoine naturelle déchire les cœurs. « C’est somptueux. C’est une véritable cathédrale » explique Mme Stumpf. Elle s’interroge d’ailleurs sur le bienfondé d’une telle décision, alors que les périodes de sécheresse et les îlots de fraîcheur sont recherchés. « Je ne comprends pas qu’au 21è siècle, on bafoue ainsi l’environnement et la biodiversité. Je pense qu’il y a deux humanités. Une humanité qui respecte les arbres et l’ autre » conclut-elle.
L'interview de la rédaction / Christine Stumpf
Ce vendredi, le juge des référés du tribunal administratif de Besançon a rejeté le recours de l’association « Arçon Nature et Patrimoine » contre l’arrêté du préfet du Doubs qui ne s’était pas opposé à une demande d’abattage par la commune d’Arçon de l’ensemble des arbres sur l’Allée des Tilleuls. Rappelons que le tribunal administratif doit statuer, dans quelques mois, sur un premier recours en annulation qui avait été déposé par cette association à l’égard de la même décision.
Concernant l’affaire du corps calciné, retrouvé jeudi dans une forêt à Thise, dans le Grand Besançon, on a appris dans la soirée qu’une autopsie sera pratiquée ce vendredi. La macabre découverte a été effectuée, ce matin, par une promeneuse. Une enquête pour assassinat a été ouverte. Néanmoins, aucune piste n’est pour l’heure privilégiée par les enquêteurs.
Un individu de 35 ans devrait être déféré ce jeudi pour s’expliquer sur des violences qu’il a commises mardi après-midi rue de Belfort à Besançon. Le trentenaire s’en est pris gratuitement à une dame de 75 ans. Il lui a porté un coup de pied au niveau de l’abdomen, provoquant sa chute au sol. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue différée du fait de son comportement instable. Il a reconnu les faits qui lui sont reprochés.
Une automobiliste de 21 ans, présentant des signes d’ivresse, a été prise en charge par les policiers, dans la nuit de mardi à mercredi à Besançon, lors d’un contrôle mené à hauteur de la place Leclerc. Il est également apparu qu’elle n’était pas titulaire du permis de conduire.
Dirigée vers le commissariat de la Gare d’Eau, elle a été placée en garde à vue avec notification des droits différée, après avoir été dépistée positive aux stupéfiants. Lors de son audition, elle a reconnu l’ensemble des faits qui lui sont reprochés. Sa garde à vue a été levée, mais elle n’en a pas terminé avec la police et la justice. Les résultats toxicologiques en diront davantage sur les suites qui seront données.
L’info est relatée par le journal « Le Progrès ». L’homme, soupçonné d’avoir agressé au couteau une femme et son bébé aux Rousses, le 4 février dernier, est toujours en soins psychiatriques. Nos confrères ont interrogé Lionel Pascal, le procureur de la république du Jura, qui leur a confié que l’enquête se poursuivait et que l’individu serait interrogé lorsque son état mental sera stabilisé.