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Une femme de 45 ans a été placée en garde à vue à Besançon. Mardi soir, elle aurait agressé une autre personne. Le litige porterait sur la vente d’une voiture. La victime a transmis aux policiers la description de la mise en cause. Cette dernière a été interpellée avenue Île de France. Elle était alcoolisée et n’était pas titulaire du permis de conduire.

Après vérification, son taux d’alcoolémie était de 1,16 gramme par litre de sang. Au cours de son audition, elle a nié les faits de violences, mais a reconnu, difficile de faire autrement, sa conduite en voiture. Précisons que deux jours d’ITT ont été prescrits à la victime.

Un jeune homme de 18 ans s’est illustré cette nuit à Besançon. Alcoolisé, il a volontairement brisé la vitrine d’une chocolaterie, rue Mairet. L’individu a rapidement été identifié grâce aux caméras de surveillance. Il a été placé en garde à vue différée en raison de son ivresse.

Un jeune homme de 16 ans a été interpellé et placé en garde à vue mardi soir au commissariat de police de la Gare d’Eau à Besançon. Les forces de l’ordre ont constaté sa présence sur un point de deal, rue de Savoie, dans le quartier Planoise. Il était en possession de 100 grammes de résine de cannabis, 40 grammes d’héroïne, 1 gramme de cocaïne et de la somme de 400 euros.

Un jeune homme de 22 ans s’expliquera le 14 décembre prochain devant la justice. Les caméras de surveillance ont permis de l’identifier. Le 21 août dernier, il aurait commis des dégradations importantes sur la borne à billets d’une station-service, située rue Berthelot à Besançon. Convoqué le 8 novembre, il a reconnu les faits qui lui sont reprochés lors de sa garde à vue. Il a expliqué avoir été très énervé car la machine avait « avalé » un billet de 20 euros. Le préjudice s’élève à 3.540 euros.

Un homme de 26 ans a été placé en garde à vue ce mardi soir. Au centre commercial Chateaufarine, à Besançon, le malfrat présumé a tenté de franchir les caisses sans payer. Il possédait du matériel multimédia. Le montant du préjudice est estimé à plus de 1500 euros.

Un conducteur de 36 ans sera convoqué ultérieurement au commissariat de police de Besançon. Lundi soir, vers 21h15, lors d’un contrôle, mené dans la rue de Belfort, les policiers ont constaté que le vignette du contrôle technique qu’il présentait sur le pare-brise de son véhicule était une photocopie. Il a expliqué aux fonctionnaires qu’il l’avait achetée sur internet.

Une automobiliste de 34 ans devra s’expliquer le 2 mars prochain devant la justice. Lundi après-midi, vers 13h, à Besançon, les forces de l’ordre ont constaté qu’elle ne portait pas sa ceinture de sécurité.  Le contrôle plus approfondi a permis d’établir qu’elle faisait l’objet d’une suspension de son permis de conduire. Au cours de sa garde à vue, elle a reconnu les faits.

Un homme de 24 ans a été placé sous contrôle judiciaire après avoir été déféré le 6 novembre. Cet individu  s’en est pris à une soignante le 3 novembre dernier à l’hôpital de Pontarlier. Il s’agissait de sa compagne. Au cours de sa garde à vue, il a expliqué avoir conscience de sa jalousie maladive. Il a nié les violences. Et ce, malgré les témoignages.

Le 6 novembre dernier, les policiers pontissaliens ont été alertés par leurs confrères allemands qu’une victime présumée était séquestrée et menacée par son compagnon dans un appartement de la capitale du Haut-Doubs. Ce sont les parents de la  jeune femme qui ont donné l’alerte.  

Les fonctionnaires se sont rendus sur place. L’homme a été interpellé. Alors que la femme se trouvait aux urgences de l’hôpital de Pontarlier. Aucune ITT n’a été prescrite par les médecins. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue. L’homme a nié les faits, reconnaissant à peine une bousculade. Cet individu de 32 ans s’expliquera le 3 janvier prochain devant le délégué du Procureur.

La persuasion des policiers pontissaliens a payé. Elle a permis à un homme de 40 ans, domicilié dans l’arrondissement de Pontarlier, de confesser 71 vols à l’étalage pratiqués dans des commerces de la capitale du Haut-Doubs et de Besançon. Douze enseignes ont été recensées. Le préjudice s’élève à 2.300 euros. Le quadragénaire a réalisé ses larcins dans des enseignes alimentaires, de bricolage, de jardinerie et des librairies. Il s’est engagé à rembourser ce qu’il devait.