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Ce week-end se déroulera les journées portes ouvertes des Archives départementales du Doubs. Cette année, le site vous propose de partir à la découverte de l’univers du Moyen Âge. Le rendez-vous est fixé ce samedi et ce dimanche de 14h30 à 18h. Les visiteurs sont invités à découvrir un patrimoine exceptionnel, accessible à tous, à travers une expérience interactive et conviviale.

Au programme :

Des ateliers pratiques : transformez-vous en artisan médiéval un instant, initiez-vous à l’écriture du XVᵉ siècle ou encore touchez du doigt les secrets du papier et du parchemin. Si vous préférez l’art, venez créer sur place vos propres armoiries et apprendre la réalisation des sceaux. Repartez même avec vos propres créations.

Deux conférences accessibles à tous les publics :

Samedi 8 février à 17 heures : « Que trépasse si je faiblis ! » Quelle langue parlaient vraiment nos ancêtres du Moyen Âge ? par Hélène Gallé, professeur à l’Université de Franche-Comté.

Dimanche 9 février à 17 heures : « Trésors cachés ». À la découverte de documents médiévaux dans les reliures des Archives, par Manuel Tramaux, responsable de la Bibliothèque diocésaine de Besançon.

Sans oublier, les visites guidées des sous-sols des Archives du Doubs assurées par les agents des archives qui vous expliqueront leurs missions et les coulisses de leurs métiers. Un départ toutes les 15 minutes.

Entrée libre, sans réservation. Rendez-vous au 4-8 rue Marc-Bloch à Besançon. Plus d’information : https://archives.doubs.fr/

A Pontarlier. L’association les Amis du musée de Pontarlier lance un appel aux bénévoles pour le gardiennage des expositions à venir. Si vous êtes intéressés, merci de contacter le secrétariat au 03.81.38.81.12. Pour obtenir de plus amples informations, n’hésitez pas à vous rendre sur le site internet : www.admdp.com

Jusqu’au 28 février, la Ville de Maîche présente à la salle Ducreux, l’exposition « Contraste animal – un autre regard sur la nature Â». Il s’agit d’une réalisation du photographe nature Philippe Drogrey. Le public pourra découvrir un ensemble de clichés en noir et blanc, qui subliment les animaux de nos forêts. A ne pas manquer et à retrouver aux horaires habituels d’ouverture de la bibliothèque municipale.

Dans le cadre de l’opération nationale « 100 Å“uvres qui racontent le climat », le Musée Courbet d’Ornans accueillera,  en mars prochain, « la Truite Â», réalisée par le peintre de la Vallée de la Loue, et exposée au musée d’Orsay. Cette Å“uvre, peinte à son retour en Franche-Comté après son emprisonnement en 1871 des suites de sa participation à la Commune , sera exposée du 22 mars au 19 septembre prochain.

A l’occasion de la disparition du réalisateur Bertrand Blier, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma des Amis du Musée de Pontarlier a souhaité lui rendre hommage à travers une exposition d’affiches de ses films. Cette exposition sera présentée dans le Hall de l’Hôtel de Ville de la Capitale du Haut-Doubs du 3 au 28 février. Parmi la riche filmographie du cinéaste, on retiendra « Les Valseuses Â», ou encore « Buffet froid Â». Des réalisations qui ont marqué le cinéma des années 70 et 80. Bertrand Blier est mort à l’âge de 85 ans.

Les récompenses et la consécration se poursuivent pour le film « Vingt Dieux Â», le premier long métrage de Louise Courvoisier, tourné dans le Jura. Ce lundi 20 janvier, après avoir été consacré au Festival de Cannes et au Festival du film francophone d’Angoulême, « Vingt Dieux Â» s’est vu décerner deux autres distinctions lors de la 30è édition des Prix Lumières 2025, décernés par la presse internationale. Ainsi, Louise Courvoisier a reçu le prix du Meilleur Premier Film, et Clément Faveau, celui de la Meilleure Révélation Masculine.

Plusieurs dossiers seront à l’ordre du jour du conseil municipal de Besançon de ce jeudi soir. Ce mercredi, lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant séance, la majorité bisontine a souhaité en décliner plusieurs.

Déploiement final de la fibre optique au centre-ville

Hier, Anne Vignot a annoncé le déploiement total de la fibre optique dans le centre-ville de Besançon. Les travaux, gérés par l’opérateur historique Orange,  doivent débuter en février, et pour une durée de six mois. Symboliquement, et parce que la Ville veut montrer son attachement à ce quartier, le secteur de Battant sera le premier concerné. Les copropriétés et syndicats seront informés au fur et à mesure de l’arrivée de la fibre au pied des immeubles. Le coût d’installation à l’intérieur de la propriété incombera aux copropriétaires. Une centaine de rues sont visées par ces travaux.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot, Maire de Besançon

Inclusion éducative

Dans le cadre de sa politique inclusive, la Ville de Besançon a choisi, en 2025, de participer au financement du dispositif permettant la scolarisation des enfants hospitalisés. Concrètement, elle soutient deux unités d’enseignement : au CHU de Besançon et aux Salins de Bregille. La subvention couvre l’achat de fournitures et l’informatique pour éviter l’interruption scolaire, si l’hospitalisation dure plus de 15 jours. L’éducation nationale dépêche des enseignants sur ces sites. Claudine Caulet, l’élue charge de l’éducation, est au micro de la rédaction.

L'interview de la rédaction :

Investissements de proximité

Lors du prochain Conseil Municipal, la Ville de Besançon validera le programme 2025 des investissements de proximité. Le montant s’élève à plus de 16 millions d’euros. Cela concerne notamment : les bâtiments, l’énergie, la santé, les espaces verts et la biodiversité, les équipements numériques, le parc automobile… . La continuité des travaux de rénovation  du tiers lieu jeunesse (190.000 euros), la réfection de la toiture du gymnase de Chateaufarine (250.000 euros), avec, à plus long terme, l’installation de panneaux photovoltaïques, l’amélioration des performances énergétiques des bâtiments publics, la mise en place de tableaux interactifs dans les écoles, la mise en conformité et l’amélioration fonctionnelle du pôle des Tilleuls (100.000 euros) et du Fort de Bregille (240.000 euros), l’installation d’une nouvelle fontaine, en circuit fermé, sur la place Victor Hugo, l’achat de 130 photocopieurs reconditionnés pour les écoles, … font partie des investissement consentis.

Statue de Jenny d’Héricourt

Dans son combat pour la représentation des femmes dans l’espace public, la Ville de Besançon se prépare à accueillir une sculpture de l’artiste Lili Reynaud-Dewar. Le montant s’élève à plus de 103.300 euros. La sculpture, qui formera un groupe de quatre femmes, soudées et volontaires, sera installée Place de la Révolution, en face du musée des Beaux-Arts. Ces quatre bisontines d’aujourd’hui, une sage-femme, une écrivaine, une enseignante et une militante,  incarnent « les différentes facettes et les combats de la vie de Jenny d’Héricourt pour le droit des femmes et l’égalité  dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’écriture Â» explique Aline Chassagne, l’élue en charge de la culture

A Dole, les travaux, lancés cet été, à la Commanderie se poursuivent. Ils sont prévus jusqu’à l’été 2026. Leur montant s’élève à 1,7 million d’euros. Parmi les différentes interventions prévues, il y a notamment la mise en place de nouvelles tribunes, qui permettront à la salle de spectacle jurassienne de définir dix-huit configurations différentes. Cette flexibilité ouvrira le site à l’accueil d’une plus large gamme de spectacles.

Jusqu’au 31 janvier, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma rend hommage à Astérix à travers une exposition d’affiches de films. Cet évènement est organisé en collaboration avec la médiathèque municipale. Le rendez-vous est fixé dans le hall de l’hôtel de ville de Pontarlier.

Le Musée des Beaux-Arts de Dole se fait actuellement un lifting. Depuis le 23 décembre, l’établissement subit des travaux, qui dureront pendant cinq mois. La réouverture est programmée le 16 mai prochain. D’ailleurs, plusieurs animations marqueront cette nouvelle ère les 16, 17 et 18 mai.

Précisons que la cité doloise a investi 450.000 euros pour cette opération, qui prévoit notamment la végétalisation du jardin, deux nouvelles salles dédiées à l’histoire de Dole et l’installation d’un éclairage muséographique écoresponsable.