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Ce samedi, la Ville de Besançon organise une « journée sans voiture ». A cette occasion, la Boucle et le quartier Battant seront fermés à la circulation automobile de 11h à 22h. Dans le même temps, des opérations promotionnelles seront mises en place : le ticket journée vélocité sera gratuit et le réseau Ginko proposera un tarif à 2 euros la journée. L’accès aux parkings souterrains sera assuré.

A travers cette manifestation, qui s’inscrit dans le cadre de la semaine européenne de la mobilité, la Ville de Besançon et sa maire écologiste Anne Vignot veulent inciter et sensibiliser les usagers au choix de mobilités durables et faire vivre les alternatives à la voiture.

Pour l’actuelle majorité bisontine, il est temps de « repenser la place de chacun au sein de la cité ».  A ce sujet, elle mène  actuellement une réflexion sur l’organisation des livraisons, la sécurisation autour des école, la vitesse et rendre  la signalisation plus cohérente. La réduction de la pollution, du bruit et de la sécurité font clairement partie des objectifs identifiés à moyen et court terme.

L'interview de la rédaction / Anne Vignot

Ce mercredi, Besançon commémorait le 77è anniversaire de sa libération. Chaque année, le 8 septembre, la cité comtoise rend hommage aux forces armées et aux civils qui se sont mobilisés pour sauver les Bisontins de l’envahisseur allemand.

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A cette occasion, Anne Vignot, la Maire de Besançon, a fait lire par les élus de la Ville des extraits d’ouvrages évoquant les enfants et adolescents durant la Guerre. Des écrits qui font aussi écho à l’actualité du moment. « Plus que jamais, nous avons un devoir d’aider les enfants dans les pays en guerre » a déclaré Mme Vignot, en présence des autorités civiles et militaires.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

 

 

LIBERATION BESANCON 6

Ce dimanche, aux Prés de Vaux, à Besançon, dans le parc de la Rhodia, un premier module, en l’occurrence une rampe, a été inaugurée. Pour les jeunes pratiquants, cette installation est la bienvenue car elle permet de développer des techniques différentes que celles que les modules du skate parc de Chamars proposent. Cela faisait deux ans que les jeunes pratiquants l’attendaient vivement. Cette demande avait été formulée à la mairie de Besançon après la fermeture du site de l’espace Canot, devenu vétuste et dangereux. Le coût de cette opération s’élève à près de 70.000 euros. La Ville de Besançon et le Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté ont apporté les financements nécessaires à son achat.

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Les jeunes skateurs concertés

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Pour répondre au mieux aux attentes des jeunes utilisateurs, la Ville de Besançon s’est entourée des conseils et compétences de l’association Sirocco, qui avait déjà été consultée lors de la création du Centre des Cultures Urbaines  aux Torcols.  « On a quelque chose de nouveau. Quelque chose qui nous manquait depuis deux ans. On va pouvoir s’éclater » disent les jeunes utilisateurs. Chacun apprécie cette nouvelle opportunité, mais espère que d’autres éléments viendront s’ajouter. « Il maque pas mal de choses et notamment des courbes. Il n’y a que des plans inclinés » explique Olivier Jeannerot, le vice-président de l’association Sirocco. Pour Abdel Guezali, l’adjoint aux sports à la Ville de Besançon, « les sports urbains se développent. Il est de notre responsabilité de pouvoir offrir des outils qui répondent à cette demande ».

Le reportage  de la rédaction

 

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Ce mercredi 1er septembre à 13 h, le Festival international de musique de Besançon ouvre les guichets de sa billetterie.  Le grand public peut désormais se rendre au Kursaal (salle Proudhon) pour réserver ses places et faire son choix parmi la quarantaine de rendez-vous musicaux proposés pour cette 74e édition qui se tiendra du 10 au 25 septembre, avec notamment les épreuves finales du 57e Concours de jeunes chefs d'orchestre.

Pour les personnes malvoyantes, en fauteuil roulant ou ayant des difficultés de déplacement, une ligne téléphonique est également ouverte (03 81 82 08 72) aux horaires d'ouverture des guichets. Les ventes en ligne sur festival-besancon.com restent possibles 7/7j et 24/24h, de même que les réservations par courrier (au plus tard une semaine avant le 1er concert choisi).

Les guichets sont ouverts du lundi au vendredi de 13h à 18h.

L’état de catastrophe naturelle est reconnu pour la ville de Besançon suite à la sécheresse et à la réhydratation des sols survenues entre le 1er juillet 2020 et le  30 septembre 2020 dans la cité comtoise. Désormais, il appartient aux victimes de ce phénomène météorologique de saisir leurs assureurs dans les 10 jours, à la date du 31 août,  pour faire valoir leurs droits.

C’était une belle journée sportive ce samedi à Besançon. Après de nombreux mois d’inactivité, en raison de la pandémie, la ville de Besançon et l’office municipale des sports ont choisi de donner la possibilité aux clubs sportifs du territoire de montrer toute la gamme de leur savoir-faire et de retisser du lien avec la population locale. Une soixantaine d’associations a répondu présent. Gymnase Bersot, complexe Léo Lagrange, Piscines Mallarmé et Port Joint, Malcombe,… , de nombreux sites accueillaient le public. Les pratiques étaient nombreuses : lutte, boxe, musculation, haltérophilie, volley-ball, basket, plongée, gymnastique, … . L’offre sportive est riche à Besançon et chacun peut y trouver son compte.

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Des bénévoles et professionnels satisfaits

Il n’y a pas de doute, les responsables et techniciens des clubs sportifs bisontins engagés dans cette journée avaient le sourire. Si certains auraient aimé que la Ville communique davantage, tous se félicitent de cette initiative. Une journée heureuse qui permet de sensibiliser et d’informer le grand public. Parfois, ce sont les anciens licenciés qui sont venus confirmer leur retour, mais parfois, souvent même,  des petits nouveaux sont apparus. « On a fait le plein » confirme Patrick Mazzolini, le vice-président du club de gym la Saint-Claude. Même enthousiasme à la piscine Mallarmée, où le club de plongée reprenait vraiment son activité après neuf  mois d’interruption. « On fait découvrir notre passion » explique Jean-Marie, ravi de pouvoir transmettre ses connaissances aux petits comme aux grands. Cédric Ambs, le responsable technique du Besançon Volley-Ball est rassuré également. D’autant plus que les Jeux Olympiques de Tokyo et le sacre de l’équipe de France ont suscité de l’intérêt chez de nouveaux jeunes, désireux de découvrir ce sport collectif.

 

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Le pass sanitaire

Le reportage de la rédaction

A compter de lundi, le pass sanitaire sera de rigueur lorsque l’on pratique une discipline sportive en club. Pour le boxeur Morrad Hakkar, « c’est le seul moyen de pouvoir reprendre une activité normale. Il faut respecter les décisions de la République ». Au club de gymnastique rythmique et Sportive, on se fait du souci. « Certaines pratiquantes pourraient ne pas reprendre.  Leurs familles étant  encore indécises sur le bienfait du vaccin » explique cette maman bénévole.  « Dès lundi, nous devons nous conformer à la réglementation » confirme Abdel Ghezali, 1er adjoint à la Ville de Besançon et responsable des sports. Et de conclure : « nous sommes aux côtés des associations pour les accompagner au mieux dans la mise en place de cette obligation ».

SPORT BESANCON MORRAD HAKKAR

La Ville de Besançon vient de publier le guide « l’animal à Besançon. Guide des bonnes pratiques ». Il est disponible en mairie et en ligne sur internet. Ce document vise à donner des renseignements utiles concernant les animaux, domestiques ou non, et rappeler les bonnes pratiques et les devoirs de chacun pour vivre plus harmonieusement en collectivité.  A l’intérieur, les lecteurs y trouveront des réponses à leurs interrogations, des conseils pratiques et des contacts utiles.

Pour découvrir ce document : https://www.grandbesancon.fr/wp-content/uploads/sites/2/2021/06/VILLE-DE-BESANCON_Guide-de-lanimal_WEB.pdf

Ce mardi, la Ville de Besançon, organisait une grande journée de formation à destination des 250 professionnels qui forment le secteur de la petite enfance de la cité comtoise. Parmi eux, des auxiliaires de puériculture, éducateurs, agents, assistants socio-éducatif, … qui travaillent dans les 14 crèches municipales de la ville et la crèche familiale. Pour ce premier rendez-vous, qui en appellera d’autres,  les équipes ont travaillé sur le thème de la cohésion d’équipe, qui avait été choisi par les personnels lors d’une concertation.

A travers cette démarche, la Ville de Besançon souhaite renforcer le travail d’équipe, instaurer le partage des pratiques et améliorer les conditions des enfants. Pour ce faire, la formation s’est déclinée en deux temps. Une conférence participative, animée par deux formatrices en communication bienveillante, fut proposée le matin. L’après-midi, les participantes ont présenté des ateliers expérimentés sur le terrain et mettant en exergue un point fort de leur pratique.  « Agir de manière concertée », « Accueillir la différence et vivre ensemble », « tâche partagée et polyvalence », … sont quelques-unes des expériences déclinées.

Plus qu’un lieu de garde

Marie Etevenard, conseillère municipale à la petite enfance et à la parentalité à la ville de Besançon,  reconnaît que l’accueil des enfants en crèche a évolué. Ces établissements ne sont pas que des lieux de garde, mais ce sont aussi des établissements éducatifs,  où la prise en charge de l’enfant est entière. Ce mercredi, c’est la rentrée dans les crèches bisontines. A Besançon, 600 places sont à la disponibilité des familles.

L'interview de la rédaction / Marie Etevenard

Ce samedi, les clubs de sport bisontins ouvrent leur porte durant tout une journée. Un évènement, à l’initiative de la Ville de Besançon et de l’office municipal des sports. Consciente que le sport et la vie associative sont primordiaux pour le vivre ensemble, le lien que cela tisse, la notoriété de la cité et les bienfaits que cela procure, les deux organisateurs ont voulu remettre les clubs, les associations et leurs acteurs dans la lumière. « Les associations jouent un rôle essentiel en termes d’éducation, de citoyenneté et d’émulation et d’animation » explique Abdel Ghezali, 1er adjoint à la Ville de Besançon en charge des sports.

L'interview de la rédaction : Abdel Ghezali

Le constat est le même dans beaucoup de territoires français, et Besançon n’échappe pas à la règle, en pleine pandémie, les pratiquants ont déserté les clubs sportifs et ont trouvé d’autres occupations. C’est la raison pour laquelle, cette journée portes ouvertes à toute sa place. « On constate que la crise sanitaire a engendré une baisse de la pratique. Le nombre des licenciés a baissé. Il est donc important de présenter aux enfants et leurs parents la richesse des activités sportives sur notre territoire » précise M. Ghezali. Et de poursuivre : « on essaie de valoriser ces associations pour qu’elles puissent redémarrer en septembre des activités normales, mais dans le respect du pass sanitaire ».

Ainsi, durant cette journée, de 10h à 18h,  une soixantaine de clubs et associations sportives seront mobilisés. Bénévoles et éducateurs sportifs sortiront le grand jeu et montreront toute la gamme de leurs compétences.  Au programme : de la plongée, du squash, du judo, badminton, roller derby,… .

Pour tout savoir sur cet évènement :   https://cagb.maps.arcgis.com/apps/instant/interactivelegend/index.html?appid=08bdf1bdcc9541579f5f0b994ddd00e7

Alors que la Ville de Besançon organise ce mardi une journée de formation pour tout son personnel de la petite enfance, une partie de ces professionnels ont manifesté ce matin devant  la Rodia, où se tient ce rendez-vous. Un rassemblement à l’initiative du syndicat Force Ouvrière de la Ville de Besançon. Les participants dénoncent la nouvelle mesure de la municipalité qui entend  « imposer une pause méridienne de 45 minutes non rémunérée aux agents alors qu’ils ont aujourd’hui une pause de 30 minutes payée ».

Pour la Ville de Besançon, il est important d’harmoniser ces règles particulière à toutes les composantes des agents de la cité. C’est ce que demande la loi dite « des 1607 heures » pour la réforme de la fonction publique. Pour les manifestants, « la Ville n’avait pas obligation à le faire ». Selon eux, il s’agit « d’un recul des conditions de travail et une détérioration de l’accueil des enfants dans les structures bisontines ». Anne Vignot est attendue en fin d’après-midi pour conclure cette journée.

Le reportage de la rédaction