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Le budget 2023 sera au cœur des débats du conseil municipal bisontin de ce jeudi soir. Dans un contexte de crises : sécheresses, canicules, covid, guerre en Ukraine, augmentation de la facture énergétique, … la majorité municipale proposera un exercice comptable de 212 millions d’euros. Malgré ce contexte socio-économique, Anne Vignot et son équipe prévoient 42 millions d’euros d’investissement. Malgré les 8 millions d’euros supplémentaires, qu’il a fallu appréhender, en raison du contexte du moment, la ville annonce que les taux de fiscalité ne bougeront pas.

Anthony Poulin, l’élu en charge des finances, à la Ville de Besançon, présente un budget construit autour de quatre piliers : la solidarité, l’économie locale, l’implication des habitants le climat et le vivant. Parmi les investissements accordés : la poursuite de la rénovation des écoles et des crèches (10 millions d’euros par an), le réaménagement de la boutique Jeanne Antide (250.000 €), une subvention de 150.000 euros supplémentaires sur les 10 millions d’euros accordés au CCAS de Besançon, le lancement du projet de la maison des femmes, 8 millions d’euros pour l’investissement dans la production d’énergies renouvelables et l’amélioration de la gestion de la ressource en eau, un plan de sobriété énergétique à hauteur de 1,2 million d’euros ou encore la restructuration du pôle sportif Diderot à Planoise pour 10,5 millions d’euros, … .

L'interview de la rédaction / Anthony Poulin

 

Olivier Dussopt, le ministre du travail, du Plein emploi et de l’Insertion  sera dans le Jura ce vendredi. Il se rendra à Gevingey, où il échangera avec des apprentis sur les thématiques de la formation et de l’apprentissage, et à Port Lesney, où il échangera avec les acteurs de la filière du bois  sur les actions conduites pour réduire les tensions de recrutement.

Alors que le tribunal de commerce de Bordeaux a validé, ce mercredi après-midi,  la demande de placement en procédure de sauvegarde des 26 magasins Galeries Lafayette de province, propriété du milliardaire bordelais Michel Ohayon, Anne Vignot, maire de Besançon  annonce que la ville se positionne sur  l’achat des murs qui accueillent le commerce et ses 75 employés au centre-ville de Besançon.  Elle le fera via la société d’économie mixte patrimoniale Aktya, qui dispose déjà de plusieurs immeubles sur Besançon, le Haut-Doubs et le Jura.

La cité comtoise veut s’assurer que l’activité commerciale perdure sur ce secteur. « Nous avons tous les moyens de racheter ces murs. Si une autre proposition intéressante se manifeste nous ne nous présenterons pas » indique Anne Vignot. Par cette démarche, l’élue veut également rassurer tous les employés bisontins. « Dans tous les cas, nous n’abandonnerons pas ce site et nous le porterons s’il faut le porter » indique-t-elle.

L'interview de la rédaction / Anne Vignot

A compter du 24 février, et jusqu’en septembre, la Ville de Besançon organise les journées des quartiers. Il s’agit d’un temps d’échanges au cours duquel la maire et son équipe municipale vont à la rencontre des habitants. Tous les sujets pourront être évoqués : sécurité, tranquillité publique, économie, mobilité,  …. . Le premier rendez-vous est fixé ce vendredi 24 février à Velotte, de 18h à 20h, à la maison de Velotte.

Les autres rendez-vous :

Vendredi 10 mars Battant (18 h 30-20 h 30 - Ecole d’Arène)
Vendredi 24 mars Chaprais - Cras (18 h-20 h - Gymnase Résal)
Vendredi 7 avril Bregille - Près-de-Vaux (18 h-20 h - Ecole Bregille Plateau)

D’autres rencontres auront lieu jusqu’en septembre. D’autres dates et horaires seront communiqués ultérieurement.

Quel avenir pour le projet d’écoquartier des Vaîtes après la décision du tribunal administratif de Besançon ? L’instance annule l’arrêté du préfet du Doubs du 18 mars 2019 portant dérogation à l’arrêté de dégradation des espèces. Cette décision fait suite à la requête exprimée le 12 avril de la même année par les associations « Les Jardins les Vaîtes » et « France Nature Environnement 25-90 ». Les autres points dénoncés par les associations n’ont pas été contestés par la justice. A savoir qu’il n’y a pas d’intérêt public majeur dans un contexte de vacances des logements sur le territoire bisontin et qu’aucune autre solution alternative n’a été étudiée. Claire Arnoux, une des responsables de l’association « Les Jardins des Vaîtes », ne cache pas sa satisfaction. Elle y voit l’aboutissement « de longs mois de travail et de détermination ».

Pour la Ville de Besançon, cette décision n’annonce pas la mort du projet. Lors d’une conférence de presse, qui s’est tenue ce mardi soir, Anne Vignot, la maire bisontine a annoncé que le projet se poursuivra en déclinant la proposition établie  avec un collectif de citoyens, et présentée en 2021. « Une approche différente dans la  préservation du milieu naturel et l’occupation de  l’espace urbain » assure la maire de Besançon.

L'interview de la rédaction / Claire Arnoux

 

Moins d’un mois après le congrès de Marseille, Nicolas Mayer-Rossignol, Premier Secrétaire délégué du Parti Socialiste,  sera à Baume-les-Dames ce mardi 21 février. Il rencontrera les adhérents de la Fédération du Doubs. La rencontre se tiendra à 20h dans la salle du conseil municipal de l’Hôtel de ville. Précisons que cette visite coïncide avec le renouvellement des instances fédérales départementales. Les deux candidats en lice pour la fonction de secrétaire de la fédération échangeront au cours d’un débat ce même soir.

 

Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, est attendu ce lundi dans le Haut-Doubs.  Il rencontrera les élus locaux pour échanger sur le  soutien que l’état apporte aux territoires de montagne face au changement climatique, notamment au travers du Fonds vert.

Avant de quitter la station, le ministre se verra présenter la luge 4 saisons, le premier investissement de la station en faveur de l’adaptation au changement climatique.

D’ici la fin de l’année 2024, un nouveau complexe sportif devrait sortir de terre au lieu-dit « Le Pontot », situé à la limite des communes de Pirey et d’Ecole-Valentin. Pour Patrick Ayache, maire de Pirey et président du syndicat intercommunal qui porte ce projet, cette infrastructure répond à un véritable besoin sur le secteur de Grand Besançon Métropole. « Une étude, réalisée sur le territoire, confirme qu’en matière d’équipement sportif, celui qui manque le plus à notre territoire sont les gymnases » explique Mr Ayache.

Pour l’heure, le coût précis d’une telle infrastructure n’est pas encore connu. La réflexion est toujours en cours pour définir le projet le plus adapté aux besoins locaux. L’objectif étant d’accueillir les disciplines liées aux sports collectifs  et éventuellement des installations pour d’autres pratiques, telles que l’escalade, et des salles de réunion par exemple. Dans ce contexte, la superficie de l’infrastructure n’est pas encore définitivement connue.

Une consommation foncière divisée par deux

A ceux qui dénoncent une consommation foncière trop importante, Patrick Ayache rappelle que l’emprise au sol a été revue. Elle a été divisée par 2 par rapport au projet initial. « Au lieu de consommer 4 hectares de terrain, nous n’en consommerons que deux » explique-t-il. Et de poursuivre : « Je ne sais pas réaliser un gymnase en suspension dans l’air. Comme il n’y a pas de friches, ni à Pirey, ni aux alentours, il est forcément posé sur un espace qui n’est pas urbanisé, avec le moins de consommation possible au sol ».

A l’idéal, les travaux pourraient débuter fin 2024, pour une livraison en 2025.

L'interview de la rédaction / Patrick Ayache

Comme il s’y était engagé, le député Laurent Croizier met en place des permanences de proximité dans les mairies des communes de sa circonscription. Les habitants sont invités à venir rencontrer l’élu et dialoguer avec lui.

Vendredi 24 février

Matin : mairie de Fourg

Après-midi ; mairie de Chenecey-Buillon

Vendredi 24 mars

Matin : maire de Boussières

Après-midi : mairie de Franois

Pour la prise de rendez-vous : laurent.croizier@assemblee-nationale.fr. Tel : 09.80.81.44.80


Depuis mercredi soir, la Ville de Maîche procède à l’extinction partielle de son éclairage public de 23h à 5h du matin. 489 points lumineux, situés principalement dans les
quartiers maîchois, sont concernés. La cité du Haut-Doubs évoque « une stratégie vertueuse d’économie d’énergie » et son concours « pour la préservation du climat ». Le communiqué de presse indique qu’en 2023, les élus devront faire face à une augmentation de 200% des prix de l’électricité.

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