La Ligue Nationale de Handball a tranché quant à l’avenir de la saison. C’est désormais officiel, celle-ci ne reprendra pas. Les promotions sont valides, contrairement aux relégations, qui ne se feront pas.
Le GBDH, dernier de Proligue (2ème division) avant l’arrêt de la saison se maintient donc pour la saison 2020/2021.
Dans deux courriers adressés respectivement l'Association Française des Banques et la Fédération Française Bancaire, le Sénateur du Doubs Jean-François Longeot a fait part de ses interrogations concernant les accès aux prêts bancaires. Rappelant la garantie, par l’État, de prêts à hauteur de 300 milliards d’euros en faveur des entreprises ainsi que l’assouplissement des obligations règlementaires promis par la Banque Centrale Européenne (BCE), le parlementaire souhaite des précisions concernant les échéances de remboursements. La question est clairement posée par le parlementaire : « dans quelle mesure comptez-vous repousser - jusqu'à six mois ? - les échéances de remboursement ? ».
Dans ces courriers, il demande également une justification quant à « la remontée moyenne de 0.25% des taux sur l’ensemble des crédits compte tenu de la faible activité et des garanties apportées tant par l’Etat français que par la BCE ».
Et d’ajouter : « Comment expliquez-vous les garanties, cautions personnelles ou documents comptables parfois demandées et qui n’ont pas lieu d’être pour l’accès au Prêt garanti d’Etat (PGE) ? ».
Pour le Sénateur, « le système bancaire français est en première ligne auprès des entreprises comme des particuliers ».
C’est désormais acté, le Tour de France 2020 se déroulera du 29 août au 20 septembre prochain. Initialement prévue le 17 juillet, la 19ème étape reliant Bourg-en-Bresse et Champagnole aura donc lieu le 18 septembre. A l’image du maire Guy Saillard, les Champagnolais font mauvaise fortune bon cœur. Officiellement, on se réjouit tout de même que la compétition soit maintenue.
On reconnaît néanmoins que cette décision aura un impact sur la fréquentation de la ville, qui devait accueillir près de 10.000 spectateurs en juillet prochain, et donc sur l’économie locale. Néanmoins, pas question de négocier le droit d’entrée que doivent verser les sites d’arrivée ou de départ d’une course. Les 120.000 euros hors taxes, partagés entre la Ville et la communauté de communes, restent d’actualité.
Désormais, les animations vont devoir être revues. Des négociations vont également être engagées avec l’éducation nationale car l’arrivée de l’évènement était prévue sur le parking du collège, qui, cet été, devait être inoccupé.
Les personnes âgées sont fortement touchées par le coronavirus. C’est la raison pour laquelle, les établissements qui les accueillent mettent tout en œuvre pour préserver leur santé. A Pierrefontaine-les-Varans, les salariées et la directrice de la Marpa s’investissent sans compter, quitte à mettre leur vie de famille provisoirement entre parenthèses. Depuis le 31 mars dernier, les permanentes de la structure restent confinées avec les résidents. Deux équipes de trois personnes ont été constituées et se succèdent chaque semaine. Cette organisation fait suite à la mise en place de certaines mesures, comme l’interdiction des visites, la limitation des activités collectives et des intervenants extérieurs. Désormais, seuls les médecins et les infirmières sont autorisés à franchir la porte. Ces choix paient puisqu’à Pierrefontaine-les-Varans aucun décès n’a été enregistré depuis le début de la pandémie.
La peur au ventre
Le personnel de la structure ne cache pas ses inquiétudes. La crainte de contracter le virus, de le transmettre aux patients ou à leurs proches fait partie du quotidien. Alors durant ce confinement, que chacun espère le plus court possible, l’équipe prépare les repas, fait le linge des résidents, anime les après-midis, … .
Poste à pourvoir
Par ailleurs, l’établissement recherche une personne pour assumer des astreintes de nuit et mener des travaux de conciergerie. En échange de ces missions, le conseil d’administration de la MARPA met à la disposition de ce nouveau collaborateur un logement. Alors, si vous êtes intéressés pour occuper cette fonction dans ces conditions, n’hésitez pas à contacter la direction de l’établissement par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 03.81.56.10.85
Conscients que la situation est grave et délicate, Patrick Genre, le maire de Pontarlier, et Bertrand Guinchard, son adjoint en charge de l’économie, multiplient les contacts, les réunions et les décisions les plus adaptées, correspondant aux missions et aux possibilités d’une collectivité locale, pour venir en aide aux acteurs économiques de Pontarlier.
Dès le 16 mars dernier, au lendemain des élections municipales, après le discours d’Emmanuel Macron, annonçant le confinement du pays, l’édile et son adjoint ont relevé les manches. Aujourd’hui, les faits sont là . Depuis cette date, de très nombreux commerces, mais aussi des entreprises, sont à l’arrêt. Il convient donc de trouver des solutions pour que l’activité économique locale y laisse le moins de plumes possibles, et que, dès la sortie du confinement la vie puisse reprendre son cours avec le moins de dégâts possibles. Il en va de l’économie et de l’emploi locales.
Soutenir le monde économique local par l’activité
Si l’idée de départ de Bertrand Guinchard de procéder, durant tout le confinement, à « une exonération globale des taxes encaissées par la collectivité» n’a pas pu être appliquée, en raison de la législation française en la matière, la Ville et ses élus mettent tout en œuvre pour trouver les meilleures solutions. « On ne se refuse rien » explique Mr Guinchard. La Ville a réfléchi à des exonérations de taxes, mais également à une politique volontariste de maintien de l’investissement, avec , par exemple, le lancement en cours d’une vingtaine de dossiers d’appels d’offres. « Nous devons être un vrai partenaire, un vrai donneur d’ordre » explique l’élu pontissalien.
« Il faut voter un budget rapidement »
Bien évidemment, ce soutien aura une incidence sur les finances de la ville. Il faut que l’on vote rapidement un budget pour l’on fixe une enveloppe globale d’investissement qui devrait se monter à plusieurs centaines de milliers d’euros » précise Bertrand Guinchard. A Pontarlier, on espère que l’activité économique pourra reprendre rapidement. On souhaite aussi que la frontière entre la France et la Suisse ne restera pas fermer trop longtemps. En attend de revoir les consommateurs helvètes déambuler dans les commerces pontissaliens, on table sur une véritable prise de conscience de la clientèle locale, afin qu’elle « privilégie les commerces de proximité au E-commerce ».
