Choix du secteur :
Se connecter :

Ski de fond : La station des Rousses accueillera la coupe du monde du 14 au 16 janvier

Publié le 03 Jan. 2022 à 11:01
Tags: sports | ski de fond | coupe du monde | Jura |
Lecture: min
Ski de fond : La station des Rousses accueillera la coupe du monde du 14 au 16 janvier

Pour la première fois, une manche de coupe du monde de ski de fond se déroulera dans la région. Cet événement majeur, qui se déroulera au Stade Nordique des Tuffes, verra les cadors de la discipline s’affronter juste avant de s’envoler pour les Jeux olympiques.

Une belle fête du ski de fond

Ce sera donc une grande première pour la station des Rousses, qui aura la lourde tâche d’organiser une épreuve de la coupe du monde de ski de fond. Une organisation titanesque certes, mais qui permettra aux amateurs de ski de fond de voir les meilleurs athlètes de la discipline s’affronter sur le Stade Nordique des Tuffes. Seulement quinze jours avant le début des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, l’épreuve de coupe du monde des Rousses aura des allures de répétition générale pour les athlètes. Avec 121 hommes et 101 femmes inscrites, ce sont plus de 220 athlètes au total qui seront présents lors de ce week-end de compétition. Tous les spécialistes seront présents, et les favoris comptent bien profiter de cette occasion pour montrer toutes leurs qualités au public jurassien.

Un programme chargé

Trois jours de courses sont au programme, et les hostilités débuteront dès le vendredi avec les courses sprints sur 1 et 3 kilomètres. Le samedi sera dédié aux courses skate. Une course de 10 kilomètres pour les dames et 15 kilomètres pour les hommes, sur une piste de 5 kilomètres. Enfin, la poursuite en classique aura lieu le dimanche, avec une nouvelle fois, 10 kilomètres pour les dames et 15 kilomètres pour les hommes, mais cette fois-ci autour d’une boucle de 3,7 kilomètres. Un tracé qui s’annonce compliqué pour les skieurs, avec notamment une section très pentue mesurée à 20 %, le record pour cette coupe du monde. Un véritable cauchemar donc pour les athlètes, mais une aubaine pour les spectateurs qui pourront sans nul doute assister à des courses spectaculaires.