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Après deux années de pandémie où l’évènement s’est déroulé dans des conditions particulières, « Lumières d’Afrique Â» est de retour dans une édition « normale Â» en cette automne 2022.

Pour ce nouveau rendez-vous, 71 créations seront proposées du 5 au 13 novembre. Elles mettront en lumière des films long métrages de fiction, des courts métrages de fiction et des documentaires. 22 pays seront représentés, dont la Tanzanie et le Soudan pour la première fois. Quinze invités, dont la Bisontine Ophélie Baud, ont répondu à l’invitation de l’association Afrikabesak, qui porte désormais le festival.

64 séances et de nombreux rendez-vous

En tout, ce sont 64 séances qui sont programmées dans quatre lieux bisontins : le Mégarama Beaux-Arts, le Petit Kursaal, le Foyer des Jeunes Travailleurs « les Oiseaux Â» et le centre Nelson Mandela. D’autres rendez-vous sont également au programme : une visite guidée thématique et une performance artistique au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, des expositions aux Bains Douches et à la salle de l’ancienne Poste et des conférences. Les saveurs d’Afrique seront également présentes, avec un moment de rencontre festive autour des saveurs du continent africain ou plusieurs associations bisontines feront voyager le public au Rwanda, Sénégal, en passant par l’Algérie et le Niger.

Le jeune public

Le jeune public n’est pas oublié. Une programmation leur est dédiée. Des conteurs seront présents et deux films, accessibles à toute la famille, seront projetés. Enfin, cette année encore, des prix seront décernés par le public, un jury jeunes, composé de professionnels pour la catégorie documentaires et un autre de la diaspora africaine de Besançon pour les courts métrages de fiction.

Pour tout savoir sur cet évènement : http://www.lumieresdafrique.com/

L'interview de la rédaction / Gérard Marion, le directeur du Festival

C’est une proposition qui a suscité de nombreuses réactions. Dans le cadre de son projet de loi sur l’immigration, qui doit être examiné début 2023, le gouvernement veut créer un titre de séjour pour travailler dans les métiers en tension. En France, les tensions sur le marché du travail sont au plus haut depuis 2021. La rédaction de Plein Air a rencontré le boulanger bisontin Stéphane Ravacley qui, en 2021, avait initié, avec le Sénateur PS de Saône-et-Loire Jérôme Durain,  une proposition de loi visant à sécuriser l’intégration des jeunes majeurs étrangers en cours de formation. Rappelons, qu’en janvier 2021, il  avait mené une grève de la faim pour obtenir la régularisation de son employé guinéen.

Stéphane Ravacley reconnaît que la proposition de loi indiquée par Gérald Darmanin va dans le bon sens, mais il la trouve encore imparfaite. Il regrette que cette mesure n’aille pas assez loin et ne protège pas complètement les jeunes migrants. « Dès leur majorité, leur statut change. Ils reçoivent une OQTF ( Obligation de Quitter le Territoire Français). Ce n’est pas parce qu’il a un patron, qu’un jeune ne peut  pas être renvoyé Â» explique l’artisan bisontin. Et de poursuivre : « le travail, comme bien d’autres choses, ne protège pas les gamins Â».

« Darmanin n’est pas un ange Â»

Stéphane Ravacley, candidat de la NUPES lors des dernières élections législatives à Besançon, attend la suite des évènements. Il porte un regard méfiant sur la politique migratoire menée par l’actuel ministre de l’Intérieur. « Gérald Darmanin n’est pas un ange. Tout le monde le sait. Il caresse d’un côté, tout en mettant dehors ceux qui ont une OQTF Â» analyse-t-il. Il en veut pour preuve, la situation de son ancien apprenti guinéen, qui s’est retrouvé sous la menace d’une Obligation de Quitter le Territoire lorsqu’il a obtenu sa majorité. Stéphane Ravacley espère que Gérald Darmanin prendra attache auprès des associations engagées dans ce combat de société pour faire évoluer son texte de loi.

L'interview de la rédaction / Stéphane Ravacley

 

Vers 4h30 ce vendredi matin, un automobiliste de 21 ans a été contrôlé avec un taux de 2 grammes d’alcool par litre de sang à Besançon, avenue Foch. Le jeune homme venait de franchir un feu tricolore au rouge fixe à l’angle des rues Foch et Schwint. En attendant d’être entendu dans de bonnes conditions, il a été placé en garde à vue différée.

Dans le cadre de la 8è journée de championnat en Proligue, le Grand Besançon Doubs Handball reçoit Tremblay ce vendredi soir. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h15. Douzièmes de leur championnat, les Bisontins ont besoin de points. La tâche ne s’annonce pas des plus faciles face au 3è du groupe. Le bilan est insuffisant pour le collectif de Benoît Guillaume. Après sept matchs disputés, il présente deux victoires et cinq défaites.

Ce vendredi 4 novembre débute l’Euro 2022 féminin de handball en République Macédoine du Nord, au Monténégro et en Slovénie. A cette occasion, à 18h, l’équipe de France affronte la Macédoine. Rappelons que cette épreuve est qualificative pour les JO de Paris en 2024. Au sein de l’effectif national, nous suivrons les performances de la mortuacienne et désormais messine Chloé Valentini, au poste d’ailière gauche et les Bisontines Audrey Dembélé, prêtée par Metz et  Lucie Granier, aux postes d’arrière gauche et  d’ailière droite.

Politique. Dans un communiqué de presse, le groupe Renaissance et Modem au Conseil Municipal de Besançon se félicite que sa « demande de novembre 2020, réitérée en octobre dernier,  de baptiser une rue de Besançon « Samuel Paty Â» ait été entendue. « Besançon s’honore par ce choix Â» écrivent Laurent Croizier, Nathalie Bouvet, Agnès Martin et Karima Rochdi. Et de poursuivre : « La laïcité est un des joyaux de notre République. Samuel Paty en est devenu le visage et le symbole Â».

L’Agence Régionale de la Santé de Bourgogne Franche-Comté a un nouveau directeur général. Précédemment directeur général de l’ARS Pays-de-Loire, Jean-Jacques Coiplet succède à Pierre Pribile nommé secrétaire général des ministères chargé des affaires sociales au mois de septembre. M. Coiplet prendra ses fonctions le 21 novembre prochain.

Nicolas Pacquot, le Député de la 3è circonscription du Doubs, a cosigné une proposition de loi visant à protéger les propriétaires contre l’occupation illicite. La mesure  prévoit de tripler les sanctions pénales qui pèsent sur les squatteurs : elles passeraient à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. Cette loi clarifierait également la procédure d’expulsion express. Le groupe Renaissance souhaite inscrire l’examen de cette proposition de loi dès la prochaine séance parlementaire du 28 novembre au 2 décembre

En attendant, M. Pacquot invite les victimes d’occupations illicites du département à lui faire part de leur témoignage par email à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., ou par courrier, à sa permanence, 26 rue du Général Leclerc 25200 Montbéliard.