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Le 17 août dernier, les policiers bisontins ont interpellé un mineur qui n’était pas en règle sur son scooter. A hauteur de la rue Klein, un équipage de police secours a constaté que le passager ne portait pas de casque.

Le jeune pilote a tout d’abord tenté de prendre la fuite, mais la patrouille est parvenue à l’arrêter. Ce dernier a néanmoins réussi à déposer son acolyte, qui a disparu dans la nature. Au cours du contrôle, il est apparu que le mineur n’était pas titulaire du BSR et son deux roues n’était pas assuré. Il  a été remis à ses parents. Il devra s’expliquer le 24 septembre prochain devant la justice.  

Le 16 août dernier, les policiers ont intercepté un ressortissant algérien de 36 ans à Besançon. Il est soupçonné d’être impliqué dans six vols par effraction, commis au préjudice de sociétés et de commerces.

L’enquête menée a permis de confondre cet homme. Il a été jugé en comparution immédiate ce mercredi. Il a été condamné à six mois de prison ferme et à une obligation de quitter le territoire français pendant cinq ans.

Les parents d’Alexia Daval vont sortir un livre. Intitulé « Alexia, notre fille », il sera publié fin octobre. A l’intérieur, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot reviendront sur la terrible affaire qui a défrayé  la chronique. En 2017, leur fille Alexia avait été tuée par son mari Jonathann Daval. L’ouvrage a été écrit avec le  journaliste Thomas Chagnaud.

Même si les investigations se poursuivent, à Levier, la piste du suicide est nettement privilégiée  par le parquet de Besançon  concernant la mort de la femme retrouvée égorgée dans une voiture samedi après-midi, rue du Plane. Rappelons que c’est un fort dégagement de fumée, en provenance de la bâtisse,  qui a mis en alerte les voisins. Un départ de feu et une détonation ont été constatés au grenier, dans la maison collective que la femme occupait avec son compagnon. C’est en sortant le véhicule du garage, à l’étage inférieur, qu’un voisin constate le corps sans vie de la victime, qui plus est avec une plaie au niveau de la gorge.

Les preuves d’un homicide semblent irréfutables, mais l’enquête va établir d’autres faits qui viennent contester ce premier constat. Selon les investigations en cours, la victime est à l’origine du sinistre et s’est donnée la mort avec l’Opinel,  qu’elle s’est procurée dans un supermarché de Salins-les-Bains. La vidéo surveillance de l’enseigne l’atteste. On peut également apercevoir un briquet et du liquide inflammable.  Il est également fait état de l’absence du conjoint au moment des faits. Le bornage de son téléphone portable permet, entre autre, d’établir cette version. Le couple était en difficulté et une séparation était plus qu’envisagée.

Néanmoins, les investigations se poursuivent. Les proches de la victime ont également décidé de déposer plainte et de se porter partie civile.

Entre le 16 et le 17 août dernier, les policiers bisontins ont interpellé trois individus qui venaient de jeter des colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon.

Deux d’entre eux sont originaires du Valdahon. Le troisième est bisontin. Ces jeunes hommes sont âgés de 16, 20 et 30 ans. L’un d’eux ne sera pas inquiété. Les deux autres seront présentés ce mercredi devant un magistrat.

Un individu devra s’expliquer le 2 décembre prochain devant la justice. Il devra répondre des faits de conduite sous l’effet de l’alcool, sans permis de conduire et sans assurance. Ce dernier conduisait avec un taux de 0,7 gramme d’alcool dans le sang et son permis avait été annulé par la justice. Les faits se sont déroulés dans la nuit de dimanche à lundi, rue de Vesoul, à Besançon.

Un individu comparaissait ce vendredi devant le tribunal judiciaire de Besançon pour répondre d’une dizaine de vols à la roulotte. Les faits ont été commis entre le 28 juillet et le 11 août dernier à Pontarlier. Au total, le préjudice s’élèverait à 1500 euros. L’individu est soupçonné d’avoir utilisé frauduleusement des cartes bancaires et des chèques volés.

C’est son dernier délit qui a permis d’identifier le malfrat présumé.  Mercredi, il a été surpris par le gérant d’une entreprise de BTP en train de commettre un nouveau vol. Cette fois-ci, il aurait dérobé 500 euros et une carte bancaire. La victime  l’a poursuivi en voiture. Il est apparu qu’il avait dépensé 40 euros dans un bar PMU pontissalien.

Placé en garde à vue, l’homme a reconnu les faits, ainsi que son implication dans d’autres affaires.

Un homme de 54 ans a fait l’objet d’un rappel à la loi. Il a été interpellé pour des faits d’exhibition sexuelle dans la parc Micaud à Besançon mercredi après-midi, vers 13h30. L’individu se baladait le sexe à l’air.

Lorsqu’il a été interpellé, il a expliqué aux policiers qu’il n’avait plus de sous-vêtement car il avait pris du retard dans sa lessive. Cette remarque pourrait  éventuellement faire rire, si un petit garçon de 3 ans n’avait pas vu cet homme déambuler ainsi.

Le quinquagénaire est défavorablement connu de la justice. Il a bien évidemment été placé en garde à vue,  avant que le parquet statue sur son sort.  

L’automobiliste de 37 ans, qui avait été interpellé à Pontarlier mardi matin car il était au volant malgré une annulation de son permis de conduire a été présenté ce mercredi à la justice. Rappelons également qu’il conduisait sous l’effet de stupéfiants et sans assurance. A l’issue de l’audience, il s’est vu condamner à 300 euros d’amende et à quatre de prison ferme, mais sans mandat de dépôt.

A Pontarlier, un individu devra répondre prochainement de ses agissements. Ce dernier a été interpellé, mardi, vers 17h30, pour des faits de violences conjugales et de menace de mort par SMS. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu les faits. Le conflit porterait sur la garde d’un enfant.

L’homme a été remis en liberté ce mercredi après-midi. Pour les violences conjugales, il devra s’expliquer devant l’Association d’Aide aux Victimes d’Infraction. Concernant sa consommation de stupéfiants, il faudra comparaître devant le tribunal de proximité de Pontarlier.