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Le nouveau panneau de Max Marandet présenté sur le parking de son garage à Champagnole ne laisse personne indifférent. Après « Don Corleone soutient Sarkzoy », « Marine + Zemour = Zarine » et le Général de Gaulle s’interrogeant sur « ce qu’il a fait au bon dieu », le garagiste jurassien met en scène une affiche divisée en deux parties, sur laquelle se trouvent une photographie de Charlie Chaplin, avec un brassard, badgé « LREM », et le slogan « obéis fais-toi vacciner ». Son concepteur avance une démarche « apolitique, satirique et parodique faite au nom de la liberté d’expression ». Pour défendre le bienfondé de sa position, Mr Marandet fait référence à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen faisant référence à la liberté de la presse et qui stipule que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ».

« Ce n’est que de la parodie »

Max Marandet se défend de faire de la politique ou d’adopter une démarche de défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et de sa politique. « Pourquoi voir toujours le mal » s’insurge M Marandet. Et de continuer : « je fais simplement de la parodie pour faire rire. Honnêtement quand je vois le nombre de gens qui passent devant chez moi, rient et me mettent des commentaires, cela me conforte. Il n’y a pas de méchanceté ».

Intervention des forces de l’ordre cette nuit

Ce matin, en visionnant le contenu de ses caméras de vidéosurveillance, le sang de Mr Marandet n’a fait qu’un tour. Il dénonce la visite de sept gendarmes dans sa propriété. « Ils se sont permis de déplacer la remorque. Dans quel intérêt ? Parce que cela ne leur plaisait pas ? Sous quel droit, un gendarme peut-il rentrer dans une propriété privée sans autorisation et massacré le matériel » explique cet homme, qui pourrait entreprendre une démarche en justice. Et de conclure : « Où est la dictature ? ».

L'interview de la rédaction / Max marandet

Concernant les deux individus impliqués dimanche dans le jet d’un carton par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon, on a appris ce lundi que la personne qui a balancé le paquet s’est vue remettre, à l’issue de sa garde à vue, une convocation pour s’expliquer en novembre prochain devant la justice. L’automobiliste qui l’attendait a été laissé libre et ne sera pas inquiété davantage.

Ce mardi 27 juillet, à 11h, le collectif Solmiré comparaîtra devant le tribunal administratif de Besançon. L’association a été assignée par Voie Navigable de France car elle occupe illégalement un appartement dans lequel sont hébergés des mineurs isolés « laissés à la rue par le département ».

Dans ces conditions, l’association appelle ses soutiens à un rassemblement dès 10h devant le tribunal administratif, puis à 11h45 devant la mairie pour rappeler à Anne Vignot « qu’il est encore temps d’agir et de réagir pour proposer un hébergement à ces mineurs afin qu’ils puissent vivre dans des conditions dignes ». Un courrier a d’ailleurs été envoyé à la Maire de Besançon en ce sens.

Concernant les deux individus dont la garde à vue a été prolongée samedi soir, on a appris ce dimanche que l’un d’eux devra s’expliquer prochainement devant la justice. En attendant son procès, il a été placé sous contrôle judiciaire. Vendredi soir, vers 21h, à Besançon, les policiers étaient intervenus au domicile d’un couple pour des faits de violences conjugales aggravées. Six jours d’ITT ont été prescrits à l’épouse. Le compagnon violent a été placé en dégrisement, avant de connaître la garde à vue. Ce dernier a reconnu les faits.

Le deuxième homme, qui conduisait sous l’effet de l’alcool, a été incarcéré, en attendant d’être jugé lundi en comparution immédiate. Vendredi soir, il a percuté un autre véhicule rue de Strasbourg. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif, contrairement à l’autre conducteur. Il été placé en cellule de dégrisement, puis en garde à vue, qui a été prolongée samedi soir.

Hier soir à Guillon-les-Bains (25) alors que la commune célébrait tardivement le 14 juillet, un drame était constaté par les gendarmes. Alertés suite au comportement dangereux d’un homme de 39 ans, ils se rendent sur les lieux. Plus loin, alors que ce dernier avait pris la fuite, il découvre dans une voiture, le corps sans vie d’une femme de 54 ans. C’est alors que le tueur présumé surgit. Il refuse d’obtempérer, obligeant le gendarmes à faire usage de leur arme.

Cet individu inquiétait les spectateurs car il les menaçait avec des projectiles, en l’occurrence des bûches de bois. Touché au thorax, il décédera des suites de ses blessures dans la nuit à l’hôpital de Besançon. Précisons qu’il n’est pas un inconnu de la police et de la justice. En 2005, il avait été condamné à trois mois de prison ferme pour vol avec violences.

Le visage de la femme présentait des traces de coups, en l’occurrence des coups de poings. Ce dernier a reconnu avoir violenté sa victime.

Les investigations se poursuivent pour connaître les causes précises de ce drame. Deux autopsies seront pratiquées en début de semaine.

 

Un automobiliste de 25 ans, domicilié dans l’arrondissement pontissalien, a été interpellé à l’issue d’un contrôle routier vendredi soir, vers 22h, à Pontarlier. Il a été entendu ce matin. En attendant les suites judiciaires, son permis de conduire a été suspendu. Son véhicule a été immobilisé.

Un automobiliste est actuellement en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Vendredi soir, il a percuté un autre véhicule rue de Strasbourg. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif, contrairement à l’autre conducteur. Il été placé en cellule de dégrisement, puis en garde à vue, qui a donc été prolongée ce samedi soir.jus

Vendredi soir, vers 21h, à Besançon, les policiers sont intervenus au domicile d’un couple pour des faits de violences conjugales aggravées. Six jours d’ITT ont été prescrits à son épouse. Le compagnon violent a été placé en dégrisement, avant de connaître la garde à vue. Ce dernier a reconnu les faits. Il s’expliquera ce dimanche matin devant le procureur de la république.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 1h15, cinq voitures ont brûlé rue Anatole France à Besançon. Un mineur de 17 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Il a été remis en liberté et confié à son représentant légal. Les investigations se poursuivent pour identifier d’autres personnes.

Ce vendredi 23 juillet, vers 17h15, un jeune homme de 17 ans a été interpellé rue de l’Epitaphe à Besançon pendant une vente de produits stupéfiants. Il était en possession de 11 grammes de cannabis, 3 grammes de cocaïne et 110 euros en numéraire. Il a été placé en garde à vue. Il sera présenté à un juge des enfants en vue d’une mise en examen.