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Le 4 août, vers 9h,  alors qu'elle marchait tranquillement au centre-ville bisontin, une femme de près de 80 ans a été sans motif insultée puis violentée par un homme qui l'a poussé puis lui a assené un coup de pied dans le ventre et deux gifles. L'auteur présumé s'est ensuite rendu  rue Battant, où il s'en est pris à une seconde femme en l'injuriant alors qu'elle promenait ses deux chiens sur lesquels il a jeté des morceaux de plastique. Les animaux n’ont pas été blessés.

Suite à l'appel 17 d'un homme, ayant pris en charge la première  victime juste après son agression, les opérateurs du Centre d'Information et de Commandement ont dirigé leurs collègues sur place, leur permettant d’interpeller l'auteur présumé. Ce dernier présentait un taux de 1,10 gramme d’alcool dans le sang.  

Le quadragénaire, déjà connu des services de police, a été déféré ce jeudi matin au tribunal à l'issue de sa garde à vue. Il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été placé en détention provisoire dans l'attente de son jugement, dont l’audience est prévue le 9 août.

Un homme de 39 ans a été placé en détention ce jour en attendant son jugement. Le 3 août, vers 12h10, avenue Île de France, il s’est délesté de produits stupéfiants à la vue des policiers. Il s’agissait de deux bonbonnes de cocaïne, d’un poids de 0,22 gramme, et d’héroïne, d’un poids de 1, 19 grammes. Interpellé, il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue.

Le 3 août dernier, deux individus qui venaient de procéder à une transaction dans le cadre d’un trafic de stupéfiants ont été interpellés rue du petit Battant, à Besançon, par des policiers de la BAC. Dans une sacoche, le vendeur était en possession de 290 euros. Lors de la fouille judiciaire, il a remis un sachet transparent contenant plusieurs bonbonnes de cocaïne.

Sur le lieu de l’interpellation, ce dernier avait également remis spontanément deux sachets transparents contenant de la résine de cannabis. Sur l’acheteur, les policiers ont découvert un chèque sans ordre d’un montant de 930 euros au nom d’une femme, ainsi qu’une carte bancaire. Concernant le destinataire du chèque, le mis en cause déclara aux enquêteurs qu’il s’agissait de sa petite amie.

Le vendeur, âgé de 42 ans, connu des services de police, a été placé en détention. Il devait être jugé en comparution immédiate cet après-midi. Quant à l’acheteur, un homme de 41 ans, il s’expliquera le 6 octobre devant le délégué du procureur de la république de Besançon.

Ce mercredi, vers 15h, les policiers ont interpellé un jeune homme de 16 ans qui venait de jeter des objets par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. Il a été conduit au commissariat où il a été placé en garde à vue. Il faisait également l’objet d’un non-respect de contrôle judiciaire et d’un mandat d’amener. Sa garde à vue était en cours en fin d’après-midi.

Ce mercredi, vers 12h, un jeune homme de 14 ans a été interpellé à Besançon, rue des Causses. L’adolescent avait commis un jet de pierre sur des policiers municipaux sans toutefois les atteindre. Il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il s’expliquera le 22 septembre devant un juge des enfants en vue d’une mise en examen. Avant de quitter le commissariat de la Gare d’Eau, il devait être remis ce jour à une personne civilement responsable.

Un homme de 57 ans a vu sa garde à vue être prolongée ce mercredi, avant d’être sans doute conduit à la maison d’arrêt de Besancon jeudi. Ce matin, à Besançon, rue de la Madeleine, une patrouille de police a croisé et reconnu un homme au volant qui n’était pas titulaire du permis de conduire.

Les policiers ont procédé à son contrôle et l’ont placé au garde à vue. Au cours de son audition, il est apparu qu’il faisait également l’objet d’un non-respect de son contrôle judiciaire, l’interdisant de conduire tous véhicules à moteur immatriculés.

Ce jeudi, l’individu de 50 ans, défavorablement connu des services de police, soupçonné d'avoir décroché mardi la photographie d’Emmanuel Macron à l’hôtel de ville de Besançon, avant de la découper et de la jeter au sol, comparaîtra ce jeudi 5 août devant la justice.  Cet homme, présenté comme une figure de l’ultra gauche, a été interpellé ce mercredi matin à Nancy à l’occasion d’une manifestation. Il a été placé en garde à vue.

Rappelons qu’il avait remplacé la photo présidentielle par un QR code en forme de doigt d’honneur, avec l’inscription « non au pass sanitaire ». Ce dernier avait  également essayé de pénétrer sans succès à l’intérieur du palais de justice de Besançon.  

Mardi, des gilets jaunes s’en sont pris au portrait d’Emmanuel Macron dans une salle de l’hôtel de ville de Besançon. La scène a été filmée et la vidéo a été publiée sur le réseau social Facebook.

Plus précisément, ces individus ont décroché le portrait et l’ont remplacé par un QR code en forme de doigt d’honneur. Une enquête a été ouverte.  Nos confrères de l’Est Républicain expliquent que l’individu, qui se revendique du mouvement des gilets jaunes, a déchiré le portrait et l’a apporté aux agents de sécurité du palais de justice voisin.

Une enquête est en cours. Les investigations se poursuivent.

Ce mardi 3 août, vers 12h15, à Besançon, un homme d’une quarantaine d’années, qui était en train de se débarrasser de deux bonbonnes de cocaïne et d’héroïne, a été interpellé Avenue Île de France par une équipe du groupe de sécurité de proximité. Il a été placé en garde à vue. Il sera présenté demain matin à la justice dans le cadre d’une Comparution sur Reconnaissance Préalable de Culpabilité (CRPC).

A Pontarlier, un homme, bien connu pour des faits similaires, devra s’expliquer le 3 janvier prochain devant la justice pour avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de ses voisins. Ces derniers ont déposé une main courante, connaissant la situation de cet individu, sur lequel les soins médicaux provoquent de l’agressivité.

En plus de son vocabulaire outrageant, ce dernier a également lancé des pétards dans le jardin de ses victimes. Il a été placé en garde à vue. Le Pontissalien nie les menaces de mort, mais il reconnait avoir lancé des pétards.

En attendant de répondre de ses actes devant la justice, une expertise psychiatrique a été demandée.