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Une affaire de violences conjugales a été gérée par les policiers pontissaliens. Dans la nuit du 30 au 31 juillet, les forces de l’ordre ont pris en charge une femme alcoolisée qui se trouvait sur la chaussée. Elle a été transportée à l’hôpital. Elle a fait état de violences commises par son ex-compagnon depuis plusieurs années, quatre ans au moins.

L’agresseur présumé a été interpellé à son retour du travail et placé en garde à vue. Il a été présenté cet après-midi à la justice. Il s’est vu remettre une convocation pour comparaître à une date ultérieure.

A Pontarlier, une femme qui se sentait en danger en présence de son compagnon s’est rendue au commissariat de police le 28 juillet dernier. Elle disait avoir peur et se sentait constamment rabaissée par son compagnon. L’homme a été interpellé. Il a reconnu être parfois maladroit dans les mots qu’il utilisait.

Il a été placé en garde à vue. Sa femme et ses enfants mineurs ont été relogés pour les protéger. Sa garde à vue a été levée ce jeudi matin.

Il fait l’objet d’une composition pénale. Il devra s’expliquer le 14 septembre prochain devant l’AAVI, l’Association d’Aide aux Victimes d’Infractions.

 

Suite à un appel au 17, la police de Pontarlier est intervenue au domicile d’un couple le 28 juillet dernier. Une dispute a éclaté et l’homme aurait donné des coups au niveau du ventre de sa compagne. Auditionnée, la victime de 22 ans a nié les faits, mais des témoins ont confirmé cette violence. Le jeune homme, âgé de 21 ans, a reconnu les faits mais il les a minimisés. Il est en attente d’une réponse pénale.

Un jeune automobiliste de 19 ans a été placé en garde à vue le 27 juillet dernier. Il devra s’expliquer devant la justice. Ce jour-là, vers 19h30, rue des Deux Princesses, à Besançon, une équipe de la BAC le repère au volant d’un véhicule Ford et lui demande de s’arrêter, sachant qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire.

Alors que l’équipage met pied à terre pour procéder au contrôle, le conducteur effectue une manœuvre et prend la fuite sans se préoccuper d’un policier faisant face à son véhicule, lequel parvient de justesse à éviter de se faire renverser.

Le  conducteur prend alors tous les risques pour échapper aux policiers et finit par perdre le contrôle de sa voiture en percutant deux véhicules en stationnement. Un des deux passagers parvient à prendre la fuite et le second passager ainsi que le conducteur sont interpellés. Au vu des faits, seul le conducteur est placé en garde à vue.

L’auteur présumé de violences volontaires et harcèlement psychologique a été interpellé ce mardi après-midi à Pontarlier. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il a reconnu s’être emporté et avoir menacé sa compagne, mais il réfute les violences. Une enquête de voisinage a été effectuée dans un autre département pour corroborer les faits qui se seraient produits en 2018 et 2019. Une réponse pénale a été prononcée.

Un homme de 28 ans, inconnu des services de police, a été interpellé le 26 juillet dernier, vers 15h, à Pontarlier, pour des violences aggravées. Une ITT de 2 jours a été prescrite à la victime, âgée de 39 ans.

L’individu a jeté les affaires de cette dernière. La trentenaire a chuté et sa tête a heurté le sol. Le mis en cause a fait l’objet d’un rappel à la loi, mais il devra s’expliquer le 4 septembre devant l’AAVI, l’Association d’Aide aux Victimes d’Infraction.

Le nouveau panneau de Max Marandet présenté sur le parking de son garage à Champagnole ne laisse personne indifférent. Après « Don Corleone soutient Sarkzoy », « Marine + Zemour = Zarine » et le Général de Gaulle s’interrogeant sur « ce qu’il a fait au bon dieu », le garagiste jurassien met en scène une affiche divisée en deux parties, sur laquelle se trouvent une photographie de Charlie Chaplin, avec un brassard, badgé « LREM », et le slogan « obéis fais-toi vacciner ». Son concepteur avance une démarche « apolitique, satirique et parodique faite au nom de la liberté d’expression ». Pour défendre le bienfondé de sa position, Mr Marandet fait référence à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen faisant référence à la liberté de la presse et qui stipule que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ».

« Ce n’est que de la parodie »

Max Marandet se défend de faire de la politique ou d’adopter une démarche de défiance à l’égard d’Emmanuel Macron et de sa politique. « Pourquoi voir toujours le mal » s’insurge M Marandet. Et de continuer : « je fais simplement de la parodie pour faire rire. Honnêtement quand je vois le nombre de gens qui passent devant chez moi, rient et me mettent des commentaires, cela me conforte. Il n’y a pas de méchanceté ».

Intervention des forces de l’ordre cette nuit

Ce matin, en visionnant le contenu de ses caméras de vidéosurveillance, le sang de Mr Marandet n’a fait qu’un tour. Il dénonce la visite de sept gendarmes dans sa propriété. « Ils se sont permis de déplacer la remorque. Dans quel intérêt ? Parce que cela ne leur plaisait pas ? Sous quel droit, un gendarme peut-il rentrer dans une propriété privée sans autorisation et massacré le matériel » explique cet homme, qui pourrait entreprendre une démarche en justice. Et de conclure : « Où est la dictature ? ».

L'interview de la rédaction / Max marandet

Concernant les deux individus impliqués dimanche dans le jet d’un carton par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon, on a appris ce lundi que la personne qui a balancé le paquet s’est vue remettre, à l’issue de sa garde à vue, une convocation pour s’expliquer en novembre prochain devant la justice. L’automobiliste qui l’attendait a été laissé libre et ne sera pas inquiété davantage.

Ce mardi 27 juillet, à 11h, le collectif Solmiré comparaîtra devant le tribunal administratif de Besançon. L’association a été assignée par Voie Navigable de France car elle occupe illégalement un appartement dans lequel sont hébergés des mineurs isolés « laissés à la rue par le département ».

Dans ces conditions, l’association appelle ses soutiens à un rassemblement dès 10h devant le tribunal administratif, puis à 11h45 devant la mairie pour rappeler à Anne Vignot « qu’il est encore temps d’agir et de réagir pour proposer un hébergement à ces mineurs afin qu’ils puissent vivre dans des conditions dignes ». Un courrier a d’ailleurs été envoyé à la Maire de Besançon en ce sens.

Concernant les deux individus dont la garde à vue a été prolongée samedi soir, on a appris ce dimanche que l’un d’eux devra s’expliquer prochainement devant la justice. En attendant son procès, il a été placé sous contrôle judiciaire. Vendredi soir, vers 21h, à Besançon, les policiers étaient intervenus au domicile d’un couple pour des faits de violences conjugales aggravées. Six jours d’ITT ont été prescrits à l’épouse. Le compagnon violent a été placé en dégrisement, avant de connaître la garde à vue. Ce dernier a reconnu les faits.

Le deuxième homme, qui conduisait sous l’effet de l’alcool, a été incarcéré, en attendant d’être jugé lundi en comparution immédiate. Vendredi soir, il a percuté un autre véhicule rue de Strasbourg. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif, contrairement à l’autre conducteur. Il été placé en cellule de dégrisement, puis en garde à vue, qui a été prolongée samedi soir.