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Politique. Dans un communiqué de presse, le groupe Renaissance et Modem au Conseil Municipal de Besançon se félicite que sa « demande de novembre 2020, réitérée en octobre dernier,  de baptiser une rue de Besançon « Samuel Paty Â» ait été entendue. « Besançon s’honore par ce choix Â» écrivent Laurent Croizier, Nathalie Bouvet, Agnès Martin et Karima Rochdi. Et de poursuivre : « La laïcité est un des joyaux de notre République. Samuel Paty en est devenu le visage et le symbole Â».

Un nouveau conseil municipal se tiendra ce jeudi à Besançon. Parmi les dossiers qui seront abordés : la prorogation d’une année de la convention-cadre 2020 -2022 entre l’Etat et la Ville relative à la Cité éducative de Planoise. L’objectif est de poursuivre les actions éducatives menées. Sur le quartier, ce sont 600 associations qui sont impliquées dans cette co-construction Ã©ducative.

Durant ces deux années, plusieurs actions ont vu le jour, notamment dans le domaine de la santé et de l’hygiène bucco-dentaire, la citoyenneté, l’éducation aux médias et à l’information ou encore une prise en charge particulière pour les jeunes les plus en difficulté au sein du centre Simone Veil.  La préfecture, l’Education Nationale et le Département réfléchissent à la mise en place d’un projet d’internat d’excellence éducative hors Besançon pour des jeunes ayant intérêt à sortir du quartier.

Jusqu’au 19 novembre, la Ville de Besançon est à l’initiative d’une grande enquête sociologique pour mieux connaître les associations locales. A travers les résultats obtenus, la cité entend réfléchir à l’amélioration de l’accompagnement qu’elle effectue auprès d’elles. « Plus les réponses seront nombreuses, plus l’enquête sera représentative et l’action de la collectivité revisitée » explique le communiqué de presse.

Pour retrouver l’enquête en ligne : Grande Enquête sociologique auprès des associations de Besançon - Besançon (besancon.fr)

Pour obtenir de plus amples informations, il est possible de contacter le service vie associative par téléphone au 03.81.87.82.32 ou 03.81.87.80.70 ou par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.  

Ce vendredi, s’est tenue au Mégarama et au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, la première réunion de concertation du projet de végétalisation de la Place de la Révolution à Besançon. Les nombreux participants ont été informés du déroulement et de l’organisation de la démarche. Les étés qui se succèdent confirment que cet endroit est particulièrement chaud. Les habitants et les passants le ressentent. La thermographie aérienne réalisée le confirme également. Le thermomètre peut indiquer jusqu’à 50° en surface.

besançon projet citoyen place de la révolution

Dans ces conditions, la Ville de Besançon s’est fixée comme objectif de végétaliser cet espace bisontin très minéral. La cité veut concrétiser ce projet avec les Bisontines et les Bisontins. Ainsi, pour recueillir les propositions de chacun, différents outils sont mis en place. Une maison de projet a été installée au Musée des Beaux-Arts où des ateliers participatifs sont proposés jusqu’au 4 décembre. Des rencontres sont organisées avec le grand public, mais également les commerçants sédentaires, ceux du marché et les acteurs de l’événementiel.

Les travaux pourraient être lancés durant l’été 2023. Les plantations devraient être déployées durant l’hiver 2023/2024. D’ici là, plusieurs actions se tiendront. En février prochain, le contenu des échanges avec la population sera restitué. En mars, un vote sera organisé. Le projet final sera connu en mai prochain.

L'interview de la rédaction / Kevin Bertagnoli

La Ville de Besançon indique qu’elle maintient les illuminations de Noël. Néanmoins, dans un souci de limiter la facture, il a été décidé de réduire la période d’illumination, qui passera de 5 à 4 semaines. L’amplitude horaire évolue également puisque les lumières de Noël scintilleront de la tombée de la nuit à 22h, et non plus jusqu’à minuit. A l’exception du 24 et du 31 décembre.  

Par ailleurs, les commerçants sont invités à programmer l’heure d’extinction de leur vitrine le plus tôt possible.  Il est également rappelé que « pour réaliser des économies d’énergie et limiter la pollution lumineuse Â», les bâtiments patrimoniaux ne seront plus éclairés à l’exception du 24 et 31 décembre.

Rappelons que ce samedi se déroule la manifestation nationale le « Jour de la Nuit Â». Dans ce cadre-là, chacun est invité d’éteindre ses lumières extérieures à partir de 20h30.  

La Ville de Besançon lance une enquête pour recenser les secteurs où la circulation est compliquée, voire dangereuse. Ainsi, pour recueillir ces désagréments, elle invite la population  Ã  lui transmettre ses informations en remplissant une carte interactive en ligne : https://www.besancon.fr/actualite/pour-une-circulation-apaisee/

Le document est accessible jusqu’à la fin de l’année 2022. A l’issue de cette campagne, un diagnostic sera réalisé. Il permettra à la municipalité de prendre des mesures et faciliter le partage des espaces publics.

Ce samedi, place Granvelle, à Besançon, le collectif « place aux choix solidaires et durables Â» organise la 11è édition de son rendez-vous consacré à l’économie sociale et solidaire. Cet évènement a pour objectif de montrer qu’une autre consommation est possible. Autrement dit, mettre en lumière toute une filière et ses acteurs, sans doute davantage  tournés vers des valeurs plus soucieuses de l’environnement et humanistes.  

En cette période où la facture énergétique ne cesse d’augmenter et où les besoins en énergie semblent ne plus être en mesure d’être comblés, cette manifestation prend tout son sens. Précisons que, cette année, elle fusionne avec le rallye du Développement Durable, organisé par la mission Développement Durable de la ville de Besançon.

Une trentaine de stands seront présentés. Chaque structure aura ainsi la possibilité de décliner son travail, sa mission et les enjeux, à travers des activités ludiques qui permettront d’aborder différentes notions telles que le gaspillage alimentaire, les achats responsables pour favoriser l’emploi local  ou les bons gestes pour limiter l’impact sur notre environnement.

Le rendez-vous est fixé ce samedi 8 octobre, de 11h à 18h, place Granvelle à Besançon

L'interview de la rédaction : Didier Maillotte, responsable de la communication de la coopérative de salariés la Biocoop La Canopée et membre du collectif « Place aux choix solidaires et durable ! Â».

Depuis lundi, un chantier de forage d’un puits géothermique est mené place Granvelle à Besançon. L’objectif est d’évaluer le potentiel géothermique de la nappe du Doubs à cet emplacement dans l’optique de couvrir une partie de besoins de chaleur du musée du Temps, du Kursaal, du théâtre Ledoux et éventuellement d’autres bâtiments riverains.

En 2021, six piézomètres avaient été implantés par la Ville de Besançon pour connaître la caractéristique de la nappe qui est rattachée au Doubs. Cette opération avait permis de révéler que cette dernière présentait un niveau suffisant pour envisager un pompage. Ainsi, à 12 mètres de profondeur, une nappe de 4 mètres d’épaisseur est apparue. Désormais, il s’agit de définir le volume d’eau qui peut être pompé de manière continue pour un usage thermique.

Si le résultat est concluant, cette eau, dont la température est estimée autour d’une dizaine de degrés toute l’année, passerait dans une pompe à chaleur pour concentrer les calories et distribuer une eau à une trentaine de degrés.

L'interview de la rédaction / Annaick Chauvet, adjointe en charge de la transition énergétique, des bâtiments, des moyens techniques de la ville.

 

Premier opposant d’Anne Vignot, l’élu bisontin LR Ludovic Fagaut a fait sa rentrée politique ce mardi 4 octobre. Il avait donné rendez-vous aux membres du groupe « Besançon Maintenant Â» et ses soutiens à la salle Courbet. Une centaine de personnes avait fait  le déplacement.

Pour l’occasion, il avait invité le co-fondateur de la société bisontine Hyvilo pour échanger sur la thématique « ville de demain, ville intelligente Â» et aborder les sujets de la mobilité, de l’adaptation climatique et de la smart city. « Aujourd’hui, la ville connectée, la ville intelligente a tout son rôle à jouer en matière de sécurité, d’adaptation au changement climatique, de gestion des flux de circulation et des places de stationnement Â» explique M. Fagaut.  

Une autre politique à mener

A mi-mandat, Ludovic Fagaut est plus que jamais très critique sur la politique menée par l’écologiste Anne Vignot et la majorité municipale de gauche au conseil municipal de Besançon. « ÃŠtre Maire d’une commune, ce n’est pas être Maire d’une franche de la population Â» commente-t-il. Et de poursuivre : « C’est être maire de tout un ensemble, de tous les quartiers. Il faut répondre à toutes les problématiques, à tous les enjeux Â». L’élu de droite dénonce également « un déni de démocratie Â» de la part de la Maire, qui « s’obstine à ne pas prendre en compte les propositions Â» formulées par son opposition. « On a l’impression que l’on a les sachants d’un côté et les ignares de l’autre. On ne lâchera pas notre engagement. Nous sommes convaincus que le territoire bisontin peut-être tout autre que ce que l’on nous propose, avec cette décroissance en cours  Â» poursuit-il.

« Pas d’écologie punitive Â»

Il n’y pas de doute, ce sont bien deux politiques différentes qui s’affrontent à Besançon. A ce sujet, Ludovic Fagaut pointe « la politique écologique punitive Â» mise en place depuis l’arrivée aux responsabilités d’Anne Vignot et de son équipe. « On est en train de déstructurer Besançon et d’en faire un bunker vert. Nous ne laisserons pas faire Â».

La sécurité

La sécurité reste également plus que jamais au cÅ“ur des débats. « On a en face de nous des élus qui sont dans le laisser-faire, dans un véritable laxisme et déni du quotidien» assure-t-il. L’élu bisontin rappelle les mesures qu’il préconise ; le recrutement, la formation et l’armement des policiers municipaux ou encore le déploiement de la vidéoprotection Â». « Besançon Maintenant Â» estime qu’il faut également développer une politique s’appuyant sur le milieu associatif local et les bailleurs sociaux.  

En conclusion, Ludovic Fagaut rappelle que « Besançon Maintenant Â» a formulé 150 propositions depuis cette nouvelle mandature et qu’aucune n’a été reprise. Sécurité, pouvoir d’achat, écologie, social,… autant de sujets que l’opposition veut défendre et faire savoir auprès de ses concitoyens. En attendant 2026….

L'interview de la rédaction / Ludovic Fagaut

 

La Ville de Besançon indique « qu’en raison  de la pénurie d’animateurs périscolaires, elle est malheureusement amenée à fermer l’accueil périscolaire de l’après-midi de l’école maternelle Kergomard. Ce service ne pourra pas être assuré du lundi 3 au vendredi 7 octobre inclus.