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Une partie des salariés des cliniques Saint Vincent à Besancon et Saint Pierre à Pontarlier, appartenant au groupe Elsan, était en grève ce mercredi. Le conflit avec la direction remonte au 18 octobre. Les revendications portent sur les salaires et les conditions de travail.  Le mouvement pourrait se durcir. Pour l’heure, les négociations n’ont rien donné.

CLINIQUE ELSAN 2 DD

En raison de l'amélioration de la situation dans le circuit de distribution et d'approvisionnement en carburants, la préfecture du Doubs informe de la levée  du dispositif de files dédiées aux véhicules prioritaires.  Par ailleurs, l'arrêté "anti-jerrican" prend fin à compter de ce soir minuit et n'est pas reconduit.

Les chiffres du chômage du 3è trimestre 2022 sont tombés. Au troisième trimestre de cette année, en Bourgogne-Franche-Comté, le nombre de demandeurs d’emploi de la catégorie A, tenus de rechercher un emploi et sans activité, s'établit en moyenne sur le trimestre à 103.200. Ce nombre augmente de 1 % sur le trimestre et diminue de 9,4 % sur un an. En un an, la baisse est de 13% dans le Doubs et de 9% dans le Jura.

Dans le cadre de la mobilisation pour l’augmentation des salaires, une nouvelle journée d’action est prévue ce jeudi 27 octobre. A Besançon, elle se tiendra à 17h30 devant la préfecture. La CGT rappelle d’ores et déjà qu’un deuxième rendez-vous est d’ores et déjà fixé. Il aura lieu le 10 novembre prochain.

Cette situation fait froid dans le dos. Laura, une mère de famille, vit actuellement dans un immeuble totalement insalubre avec ses deux enfants, âgés de 8 et 10 ans. Ce bâtiment de 10 étages, voué à la destruction, est situé rue de Picardie, dans le quartier Planoise à Besançon. Depuis le 19 octobre dernier, le chauffage a été coupé dans l’appartement qu’elle occupe et elle n’a plus d’eau chaude. Des propositions de relogement ont été formulées, mais elles ne correspondent pas aux besoins et aux attentes de cette maman désemparée. En plus de la précarité de l’endroit, les rats se sont invités. Il faut bien avouer que l’espace si prête plutôt bien. Les appartements voisins, désertés, sont de véritables nids à cochonneries.  

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Des appartements voisins laissés à l'abandon

On m’a proposé sept radiateurs électriques

Cette mère de famille, qui touche le RSA, se trouve dans une grande vulnérabilité. Elle envisage de porter l’affaire devant la justice et d’en informer Anne Vignot, la Maire de Besançon et présidente du Grand Besançon. « Je n’arrive pas à joindre le bailleur logeGBM » explique-t-elle. Privés d’eau chaude et de gaz, c’est chez leur grand-mère que les enfants vont faire leur toilette. Les nuits sont également froides. Les enfants s’emmitouflent dans les couvertures. Des conditions difficiles qui ne s’amélioreront pas lorsque les températures deviendront davantage de saison. Pour couronner le tout, face à ce contexte qui génère un fort stress, Laura voit sa santé déclinée. Il y a quelques jours, elle a été touchée par une paralysie faciale. La partie droite de son corps s’est complètement paralysée. Une prise en charge est devenue urgente. Il en va de la santé mentale et physique de toute cette famille.

 

PLANOISE APPARTEMENT 3

Des appartements voisins laissés à l'abandon

L'interview de la rédaction

Le Conseil Départemental du Doubs organise, à Morteau, un groupe d’expression pour les enfants de 6 à 11 ans qui vivent une séparation ou un divorce au sein de leur famille. Six séances de 2 heures se tiendront une fois par semaine à compter du 9 novembre prochain. Elles seront animées par des professionnelles de l’enfance.

A l’exception d’un rendez-vous, auquel les parents seront conviés, les autres n’accueilleront que les enfants. Les objectifs sont multiples : aider les enfants à se sentir mieux et reprendre confiance en eux, les rassurer, les soutenir, reconnaître et exprimer leurs émotions.

Cette initiative est gratuite. Pour s’inscrire, il suffit de composer le 03.81.98.17.61 ou le 03.81.67.97.77 ou groupeexpression@doubs.fr

L’info est largement reprise. Alors que l’inflation atteint 17% en Suisse, le canton de Genève va augmenter son salaire minimum. Ce dernier va passer à 4368 francs suisses brut soit 4.400 euros pour un total d’heures hebdomadaires travaillées de 42 heures. Rappelons que le SMIC français s’établit à environ 1678 euros bruts. Soit 1329 euros nets pour 35 heures de travail. Cette augmentation prendra effet le 1er janvier 2023.

Un rassemblement se tiendra ce lundi matin, à partir de 8h30, devant le conseil départemental du Doubs à Besançon. Les revendications porteront sur le versement des 183 euros du Ségur de la santé pour tous les salariés œuvrant dans le secteur sanitaire, social et médicosocial et sur les conditions de travail des personnels du Centre Départemental de l’Enfance et de la Famille du Doubs, qui prennent en charge les enfants qui sont confiés à la collectivité locale.

Suite à un mouvement social national interprofessionnel, la circulation des trains sera perturbée ce mardi 18 octobre sur plusieurs lignes ferroviaires. Le trafic des TGV est quasi normal. Prévoyez 1 circulation sur 2 sur les axes Dijon/Besançon et Besançon/Lons, 1 sur 3 sur l’itinéraire Besançon/Morteau et Dole/Pontarlier. Des cars de substitution seront mis en place sur les axes Valdahon/Besançon et Andelot/Saint-Claude.

Grande journée de mobilisation interprofessionnelle ce mardi. Les salaires et les réquisitions sont au cœur des revendications. Des perturbations sont à prévoir dans les administrations, l’éducation nationale ou encore les transports. La mobilisation dans les lycées professionnels devrait être suivie. La reforme concernant ces établissements ne passent pas. La suppression de près de 50% des heures de cours, au profit de stages en entreprise est contestée. « L’adaptation constante des formations dispensées par l’éducation nationale au monde économique » est fustigée.

Plusieurs rassemblements sont annoncées : à 10h30, place Pasteur à Besançon et à 17h, devant les préfectures de Dole, Lons-le-Saunier et Saint-Claude.  A l’éducation nationale, les enseignants ont prévu de se rassembler, ce mardi, à 10h, en assemblée générale devant chaque lycée professionnel. A 15h, ils participeront à un rassemblement académique sur la place du 8 septembre à Besançon.

L'interview de la rédaction / Nathalie Faivre ( syndicat SNES/ FSU)

 

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