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Suite à un mouvement social local en Bourgogne-Franche-Comté, la circulation des TER sera perturbée ce vendredi 15  et ce samedi 16 juillet. Le trafic des TGV et des Intercités est normal. Prévoyez 4 circulations sur 5 en moyenne pour les TER ce vendredi et 85% des circulations ce samedi.   N’hésitez pas à consulter le site TER Bourgogne-Franche-Comté pour obtenir de plus amples renseignements ou d’appeler le 03.80.11.29.29

Suite à un mouvement social local en Bourgogne-Franche-Comté, la circulation des TER sera perturbée ce vendredi 15 juillet. Le trafic des TGV et des Intercités sera normal. En revanche, le trafic des TER sera perturbé. Prévoyez 4 circulations sur 5 en moyenne. De cars de substitution seront mis en place sur les axes Dole/Saint-Claude et Besançon/la Chaux-de-Fonds.

N’hésitez pas à consulter le site TER Bourgogne-Franche-Comté pour obtenir de plus amples renseignements ou d’appeler le 03.80.11.29.29

Emmanuel Viellard, Directeur Général de LISI, dont le siège est à Grandvillars, a été élu à l’unanimité par le Conseil d’administration à la présidence du Medef en Franche-Comté. Un nouveau bureau œuvrera à ses côtés. Emmanuel Viellard est également Président du Comité de liaison Défense au sein du Medef depuis 2018 et depuis peu, membre du Comité Exécutif. LISI,  basé à Grandvillars (90), compte près de 10 000 collaborateurs répartis dans 43 usines et 13 pays de production.

Dans un communiqué de presse, le groupe rassemblement des Républicains, Droite, Centre et Ecologistes Indépendants s’oppose à « l’augmentation des tarifs concernant les cantines et l’hébergement dans les lycées de la région ». Il pointe « une augmentation de 5% aux dépens des familles. Et ce, pour faire face « au renchérissement des produits alimentaires dans les établissements scolaires ».

Gilles Platret, en compagnie de Martine Déchaud, Alain Joyandet et Jean-Marie Sermier, a estimé que « cette hausse était une très mauvaise nouvelle dans le contexte inflationniste que nous connaissons et qu’il existait le moyen de faire tout autrement ». Selon ces élus, « la majorité régionale avait tout loisir de trouver dans son fonctionnement une économie de 1,4 M€ pour ne pas reporter cette charge sur des familles déjà lourdement impactées par l’inflation galopante ».

Et de conclure : « Ne pas arriver à trouver 1,4 M€ et préférer les faire porter par les familles, cela en dit long sur l’état de nos finances régionales, comme nous en avertissons nos concitoyens depuis plusieurs années, pointant du doigt la gestion de cigale de la présidente et de sa majorité ».

Ce jeudi après-midi, le CHU Minjoz de Besançon lançait sa campagne de recrutement. Une centaine de postes, principalement de soignants, sont à pourvoir au sein de l’établissement. Néanmoins, d’autres métiers sont concernés. Pour postuler, rien de plus simple, il suffit de s’inscrire sur le site internet dédié à cette démarche et d’y déposer sa lettre de motivation et son  curriculum vitae.

Pour l’hôpital bisontin, l’urgence est de mise. Ce manque de personnel se traduit par la fermeture d’une centaine de lits. Emmanuel Luigi, le directeur général du CHU Minjoz, ne cache pas son inquiétude pour l’avenir et  la prise en charge à venir des patients durant cette période estivale.  Dans ces conditions, on cherche l’efficacité et on tente de nouvelles formes d’actions pour convaincre le plus grand nombre à venir renforcer les équipes de l’hôpital public.

Devenir indispensable

Les professionnels diplômés ou répondant aux compétences souhaités sont invités à déposer leur candidature en ligne. Baptisée « devenir indispensable », cette campagne de recrutement donne la parole à des patients de l’établissement qui évoquent leur séjour à l’hôpital, le professionnalisme du personnel et son altruisme. Chaque semaine, une vidéo sera mise en ligne. Elle saura interpeller celles et ceux qui ont envie de s’engager aux côtés des personnes en souffrance.

Une augmentation des demandes de disponibilité

Comme le rappelle M. Luigi, ce n’est pas la première fois que l’hôpital connaît de telles difficultés. Selon lui, les raisons sont multiples. Il évoque notamment la crise du covid-19, mais également les départs naturels, et notamment les demandes de disponibilité. La direction de l’hôpital cherche à comprendre d’où provient ce choix. S’il provient notamment de la lassitude, « des réponses devront être apportées » conclut M. Luigi.

Dernièrement, s’est tenue la deuxième signature de la convention PAQTE (le Pacte avec les Quartiers pour toutes les entreprises) à Besançon. 24 chefs d’entreprise étaient sur place pour cette cérémonie. Le dispositif a pour but de favoriser l’inclusion des jeunes issus des quartiers dans le monde professionnel. 

Un peu plus d’une vingtaine de chefs d’entreprises étaient présents à l’hôtel de Ville de Besançon pour signer le “PAQTE avec les quartiers pour toutes les entreprises”. Cette réunion s’est tenue en présence de la maire Anne Vignot et du préfet Jean-François Colombet. Elle avait pour but de favoriser l’insertion des jeunes des quartiers dans le monde professionnel. Divers contrats sont proposés, alternance, CDD, CDI... Moins d’un an après le lancement du PAQTE dans la région, une cinquantaine d’entreprises se sont mobilisés dans le Grand Besançon Métropole. Qualifiée “d’opération fraternité” par le représentant de l’état, le dispositif a déjà réuni plus de 100 entreprises au niveau national. 

Créer le contact entre les jeunes et les entreprises

Ce deuxième rendez-vous avait aussi pour objectif d’inciter les entreprises hésitantes à rejoindre le dispositif. Le préfet insiste sur l’importance du PAQTE “Il y a des jeunes qui sont en recherche d’emploi et de l’autre côté il y a des entreprises qui sont demandeuses, ce n’est pas normal”. L’engouement autour du projet ne peut qu’amplifier l’effort d’inclusion envers les jeunes issus des quartiers de la ville. Initié en 2018 au niveau national, le PAQTE sensibiliseet forme les entreprises pour lutter contre l’isolement et la discrimination. 

La circulation des trains sera perturbée sur les lignes TER Bourgogne-Franche-Comté à la suite d'un mouvement social national à compter de ce mardi 5 juillet,  en fin de journée,  et jusqu'au jeudi 7 juillet au matin. Il en sera de même pour la  circulation des TGV. La circulation du Lyria sera quasi normal.

Notez par exemple : 1 train sur 3 sur l’axe Dole/Pontarlier 1 train sur 2 sur la ligne Besançon/ Lons-le-Saunier. Des cars de substitution sont prévus entre Besançon et Morteau et Dole et Saint-Claude. Les revendications portent sur les salaires. Pour tout savoir sur les difficultés à prévoir, rendez-vous sur le site www. sncf.com ou www.ter.sncf.com .

A Pontarlier, la Ville et la structure Idéha viennent d’inaugurer la première résidence senior souhaitée par la capitale du Haut-Doubs pour répondre à la problématique du vieillissement de la population et de la prise en charge de nos aînés.

La résidence Marie Labonde, du nom de cette infirmière pontissalienne qui perdit la vie, au front durant la guerre 14-18, est située dans le quartier de l’Îlot Saint-Pierre, en pleine restructuration. Cette bâtisse, correespondant aux enjeux acoustiques et thermiques, se décline en 30 logements et une salle commune. Le coût de cet investissement est de 3 millions d’euros. Le loyer pour les résidents, en fonction de leur situation, s’élève entre 330 et 530 euros mensuels. S’inscrivant totalement dans la vie de la cité, cet habitat plaît et répond aux besoins et aux attentes des personnes âgées. Il respecte la vie personnelle de chacun, tout en permettant une vie collective et sécurisée.

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D’autres projets dans les cartons

Patrick Genre, le Maire de la commune, et Bénédicte Hérard, son adjointe en charge du social, réfléchissent d’ores et déjà au lancement d’un projet identique. Autrement dit, instaurer au sein de la cité un parcours progressif de logement, permettant aux ancien de rester le plus longtemps possible à domicile. Au cours de cette matinée, Idéha et le CCAS ont signé une convention, afin que ce dernier puisse intervenir au sein de la structure pour y développer des animations et créer du lien social

L'interview de la rédaction / Bénédicte Hérard, l’élue en charge du social à la ville de Pontarlier, et Patrick Genre, le maire de la cité sont au micro de la rédaction.

 

L’Urssaf Franche-Comté indique dans un communiqué de presse que le Conseil de la Protection Sociale des Travailleurs Indépendants de Bourgogne Franche-Comté déclenche le plan "Catastrophe et intempéries" pour la Franche-Comté.  Et ce, pour venir en aide aux indépendants victimes des intempéries qui ont touché les départements de la Franche-Comté ces jours-ci. L’aide financière exceptionnelle vise à soutenir les travailleurs indépendants actifs dans leurs besoins les plus urgents lorsque leurs locaux professionnels, leurs outils de production et/ou de leur domicile principal ont été atteints par les intempéries.

Ce jeudi matin, une vingtaine d’agents des métiers de l’animation et de l’éducation populaire  de la ville de Besançon et des Francas du Doubs se sont rassemblés sur l’esplanade des Droits de l’Homme à Besançon. Ils dénoncent la précarité de leur emploi et le manque de reconnaissance de leur profession et de l’action éducative qui l’accompagne.

Pour les participants, la situation a trop duré. Il est devenu urgent pour les collectivités et le monde associatif de prendre les dispositions qui s’imposent. La profession est désertée. La précarité y est bien réelle. Avec des salaires de 550 euros par mois, qui ne tiennent pas compte du temps de travail réel effectué et des horaires compliqués, répartis de façon illégale dans la journée, le métier ne séduit plus.

CGT ANIMATEUR

Ce jour, 25 centres périscolaires étaient impactés à Besançon. Demain, vendredi , une délégation de la CGT sera reçue en mairie. Le syndicat attend des réponses concrètes à ses interrogations. D’autant plus que la mairie de Besançon, entend accueillir davantage d’enfants, dès la rentrée prochaine, dans les centres périscolaires bisontins notamment durant la pause méridienne. Et ce, pour gérer le manque de place dans les restaurants scolaires de la ville.

L'interview de la rédaction / Stéphanie Rodriguez, responsable CGT des Francas du Doubs