Depuis combien de temps êtes-vous engagée politiquement, et pourquoi avoir choisi le Parti Communiste ?
Ça fait quelques mois que je me suis engagée au Parti communiste. C'est vrai que le déclic il a été pour moi au niveau des présidentielles, avec ce candidat. Je me suis beaucoup intéressée à Fabien Roussel avec la pandémie, parce que ça a été pour moi l'un des seuls candidats qui a eu un discours rationnel sur la vaccination. C'est comme ça que je suis devenu proche du Parti communiste et que j’ai fini par y adhérer.
Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique du Parti Communiste et de Fabien Roussel ?
Tout simplement au niveau des luttes locales et nationales. Aujourd'hui le Parti communiste porte un programme d'ambition pour les jeunes avec la question du revenu étudiant. Moi qui suis salariée étudiante, qui suis obligée de travailler à côté de mes études, et qui du coup qui vit ses études de manière compliquée, je me suis énormément retrouvée là -dedans. Mais aussi au niveau local sur la campagne qu'ils ont mis en place sur la gratuité des transports en commun pour les jeunes, parce que ça représente un coût énorme, qu'on soit étudiant ou même jeunes actifs.
Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Fabien Roussel est défavorable à cette idée. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes communistes ?
Les jeunes que je rencontre, avec qui on discute, ont envie d'avoir la maturité de pouvoir voter à 18 ans en ayant tous les éléments clés afin d’élire le candidat qui les représente. Aujourd'hui, la question ne devrait pas se poser sur l'âge du droit de vote à 16 ans, mais plutôt sur l’accessibilité des programmes. Parce qu'il y a énormément de programmes politiques qui ne sont pas du tout accessibles, et je pense que la fracture politique vient surtout de là .
Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour de Fabien Roussel, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?
Bien sûr, il y a un engouement oui. Quand on va tracter, que ce soit aux abords des universités, des CFA, on parle de Fabien Roussel, les gens le reconnaissent. Et il y a des vraies problématiques qui concernent les jeunes, portées par son programme. Que ce soit son pacte pour la jeunesse, la question de Parcoursup, la sélection, il y a eu beaucoup de mobilisation à la fac ces dernières années concernant ces sujets.
Quelle qualité ferait de Fabien Roussel un bon président de la République ?
Pour moi, c'est le seul candidat qui allie un programme social et écologique. Aujourd'hui on a ce défi à relever, et son programme fait l'alliance des deux. Et c'est aussi quelqu'un qui a remis au cœur du débat la question du travail, de la valeur travail. Ça faisait longtemps que nous n’avions pas eu de candidat à l’élection présidentielle qui remettait ça au cœur des préoccupations. Notamment avec la question des salaires, de la rémunération, et qu'on soit jeune actif, en fin d'études, et même travailleur tout simplement, c'est quelque chose qui nous touche. Parce qu'aujourd'hui en France, il y a un réel problème au niveau de la rémunération qu'on soit dans le privé ou dans le public.
Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi les Républicains ?
Alors je suis adhérent aux Républicains depuis que j'ai l'âge de 17 ans donc ça va faire 5-6 ans maintenant. Cette année je suis particulièrement engagée auprès de Valérie Pécresse parce que je considère que c'est la meilleure candidate pour redresser notre pays dans les 5 ans à venir, que c'est la candidate qui a le meilleur projet. C'est la seule candidate qui a d’ailleurs un réel projet avec des propositions chiffrées, concrètes, qui changeront la vie quotidienne des Françaises et des Français.
Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique des Républicains et de Valérie Pécresse ?
Alors de manière plus générale, contrairement à la plupart des autres candidats, c'est la seule qui émet des propositions concrètes. Alors souvent on se moque un peu d'elle parce qu'on considère qu'elle va dans le détail, mais je pense que c'est aujourd'hui ce que les Françaises et les Français, et particulièrement les jeunes, attendent d’un responsable politique. C’est qu’ils fassent des propositions qui changeront concrètement leur vie. Je pense que c'est ça aujourd'hui qui peut amener notamment les jeunes aux urnes puisque vous savez très bien que les jeunes ne votent plus beaucoup aujourd'hui, c’est de voir que les responsables politiques mettront en œuvre des propositions qui vont réellement changer leur vie.
Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour de Valérie Pécresse, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui inciteraient les jeunes à se mobiliser aux urnes en avril prochain ?
Oui au niveau du Doubs il y a un engouement. D'abord au niveau des Républicains, pendant le congrès à la fin de l'année dernière, on a eu un bond du nombre d'adhésions, preuve que les Français de droite étaient intéressés par cette élection interne. On est passé, me semble-t-il, de 800 à 1000/1500 adhérents aux Républicains dans le Doubs. Au niveau des jeunes nous sommes à plus d'une centaine de jeunes adhérents LR dans le Doubs. Et je pense que pour les jeunes particulièrement, Valérie Pécresse peut présenter une réelle alternative à Emmanuel Macron dont le bilan notamment concernant la jeunesse a été assez catastrophique. Je crois que la dépense de l'État par étudiant a continué de chuter entre le quinquennat de François Hollande et celui d’Emmanuel Macron. Et une alternative aussi à l'extrême droite de Marine Le Pen et Éric Zemmour qui ont prouvé qu'ils n'étaient absolument pas crédibles pour gouverner la France.
Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Valérie Pécresse est défavorable à cette idée. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes Républicains ?
Alors je ne pense pas qu'il ait d’avis général puisque qu’ils sont assez partagés sur cette question. A titre personnel j’ai la même position que Valérie Pécresse. On a déjà du mal à mobiliser les jeunes à partir de 18 ans, je pense qu’ouvrir le droit de vote à 16 ans ça n’est pas la solution la plus opportune tout de suite. D'autant plus qu’à 16 ans, et je le dis alors que je suis jeune, on n'est pas forcément toujours très mature. Donner le droit de vote c'est quelque chose qui est important. Je pense qu'il faut quand même avoir la capacité d'être assez mature et avoir une réflexion assez poussée pour exercer une influence sur les choix et l'avenir du pays dans les années à venir.
Quelle qualité ferait de Valérie Pécresse une bonne présidente de la République ?
Alors je vais en citer deux. Je dirais la détermination et la résilience. On voit bien pendant cette campagne que Valérie Pécresse a pris énormément de coups, de tous les côtés, et on voit qu'elle n’a pas bougé, qu'elle n’a pas changé sa ligne, et qu'elle trace sa route sans zigzaguer. Et je pense que c'est une c'est une qualité importante qu'on peut attendre d’un dirigeant.
Dans un communiqué de presse, la Ville de Besançon rappelle que les collages d’affiches sont interdits en dehors des panneaux et emplacements prévus à cet effet. Depuis quelques jours, elle constate que ces documents de campagne fleurissent dans toute la ville sur différents supports qui ne sont pas prévus à cet effet. Il est donc précisé qu’elle ne ‘tolérera pas que la campagne électorale se fasse au détriment du cadre de vie des Bisontins et prévient que des poursuites seront engagées à l’égard des candidats qui ne respecteraient pas le cadre légal ».
Depuis combien de temps êtes-vous engagé politiquement, et pourquoi avoir choisi le Parti Socialiste ?
"J’ai débuté mon engagement militant il y a une dizaine d’années. J’étais étudiant à la fac de lettres de Besançon. On avait vécu des années compliquées avec la réforme autonomie des universités, d’ailleurs avec une ministre nommée Valérie Pécresse, et il y avait eu une grosse mobilisation tant des étudiants que du personnel. C’est comme ça que j’ai rejoint un syndicat étudiant, l’UNEF, le principal syndicat étudiant à l’époque. Et au sein de l’UNEF j’ai croisé des jeunes qui étaient engagés en politique dans différents partis. Certains étaient au mouvement des jeunes socialistes à l’époque, mais aussi d’autres membres des jeunes communistes, du NPA, de Lutte Ouvrière. Mais comme j’avais de bonnes affinités avec les membres des jeunes socialistes, et comme je me retrouvais dans leurs propositions, dans leurs valeurs, assez proches des miennes, j’ai rejoint le MJS en automne 2011 au moment de la primaire qui a désigné François Hollande candidat de la présidentielle de 2012. Ce qui fait qu’actuellement, je vis ma troisième campagne présidentielle en tant que militant. Et j’ai aussi un grand-père qui a été pendant de longues années syndicaliste à Force Ouvrière dans le Pays de Montbéliard. Il a lui-même longtemps été membre de la SFIO. Il y a aussi d’autres membres de ma famille engagés dans le monde ouvrier dans le Pays de Montbéliard. C’est donc autant par mon entourage familial et l’ouverture que j’ai eu au militantisme lors de mes études, que je me suis engagé."
Aujourd’hui, en quoi un jeune peut-il se retrouver dans la politique du Parti Socialiste et d’Anne Hidalgo ?
"Tout d’abord, je pense que les jeunes aujourd’hui ont beaucoup de difficultés via Parcoursup. Que va-t-on faire après le BAC ? Il y a beaucoup de jeunes qui ne savent pas quelles études choisir, certaines filières sont verrouillées, notamment la médecine avec le numérus clausus. Et du coup on n’arrive pas à former assez de professionnels, et des médecins de l’Europe de l’Est s’installent. Je n’ai strictement rien contre eux, d’ailleurs l’Union Européenne et l’ouverture sont des valeurs que je prône. Mais on voit que beaucoup de jeunes ont du mal à s’insérer dans le monde du travail. Ça a été mon cas aussi, même avec un Bac+5 en lettres, comme je ne voulais pas aller du côté de l’enseignement, les débouchés étaient assez compliqués dans cette filière. Ce qui m’intéresse pour les jeunes, c’est l’aide à l’orientation, au premier emploi, et la réforme de Parcoursup. Dans son programme, Anne Hidalgo propose aussi une hausse du Smic comme tous les candidats de gauche. Nous pensons que les jeunes qui entrent sur le marché du travail doivent par ailleurs avoir un accompagnement avec une personne plus âgée. Et nous pensons que pour les métiers les plus pénibles, on doit partir à la retraite plus tôt. Aujourd’hui, Emmanuel Macron tient le même discours que Nicolas Sarkozy en 2012. Il nous parlait de repousser l’âge de la retraite à 65 ans, qu’il faudrait travailler plus longtemps. Emmanuel Macron nous dit exactement la même chose aujourd’hui. Alors qu’on sait très bien qu’après 55 ans, quelqu’un qui perd son travail a du mal à en retrouver un."
Certains candidats se sont positionnés sur le droit de vote à 16 ans. Anne Hidalgo est favorable à cette idée. Qu’en pensez-vous à titre personnel, et quel ressenti avez-vous auprès des autres jeunes socialistes ?
"Je suis totalement pour. Après tout, à 16 ans, on estime qu’on est assez vieux pour être condamné si on commet un crime ou un délit. On considère qu’on est suffisamment âgé pour se marier, si on est émancipé par ses responsables légaux. Au collège et au lycée, il y a déjà un apprentissage de la vie civique. Il y a l’élection des délégués de classe, le conseil de vie lycéenne. Je pense que le lycée, à 15-16 ans, c’est vraiment le tournant où on apprend plein de choses. Donc si on considère qu’à 16 ans on est responsable pour un certain nombre de choses, et pour des mauvaises actions, je pense qu’on est suffisamment responsable pour élire ses représentants de la même manière que les personnes de plus de 18 ans. Après évidemment, ça doit s’accompagner d’une formation et d’une éducation civique renforcée à l’école, notamment au lycée. Parce qu’on voit bien qu’aujourd’hui, qu’il y a un grand nombre de jeunes de 18-25 ans qui ne votent pas ou sont abstentionnistes. Peut-être qu’ils voient les élus comme lointains, ou négligent l’impact que cela peut avoir dans leur quotidien. Il y a un grand nombre de jeunes qui ne connaissent pas forcément les compétences des départements et des régions, qui sont des leviers très importants pour la jeunesse. Peut-être qu’il faut expliquer davantage les compétences des collectivités locales, et de chaque élu. Donc le droit de vote à 16 ans, je suis totalement pour, à condition que l’éducation civique soit renforcée."
Est-ce que localement vous ressentez un fort engouement autour d’Anne Hidalgo, et quels pourraient-être les atouts, les arguments, qui pourraient permettre aux jeunes de se mobiliser aux urnes en avril prochain ?
"La mobilisation est beaucoup moins importante que ce que j’ai pu vivre en 2012 avec François Hollande et même en 2017 avec Benoît Hamon qui avait des propositions dont on parlait beaucoup, comme le revenu universel, les perturbateurs endocriniens, etc. J’ai l’impression qu’Anne Hidalgo, comme les sondages la donnent derrière d’autres candidats de gauche, j’ai cette sensation que la presse nationale ne se fait pas autant l’écho de sa campagne que celle d’autres candidats de gauche. Donc même s’il y a des propositions que je vous ai cité dans lesquelles les jeunes et les moins jeunes peuvent se reconnaître, et bien force est de constater qu’il n’y a pas un écho ou un enthousiasme flagrant. Parce qu’on sort d’une épidémie de deux ans de Covid aussi, et qu’il y a beaucoup de gens qui n’ont peut-être pas l’impression que les élections soient leur priorité absolue, et que la guerre en Ukraine parasite actuellement un peu le débat publique et politique. J’ai du mal à sentir cette mobilisation aussi forte qu’elle l’a été par le passé. Pour moi, ce qu’il faudrait pour que ça rebondisse, ce serait peut-être une vraie confrontation d’idée, pourquoi pas dans les établissements universitaires comme des amphithéâtres, ou dans des cafés, des brasseries, et même dans la presse nationale et locale, sur des thématiques qui parlent beaucoup en cette période, comme la jeunesse, l’emploi, l’écologie, etc. Ces endroits seraient propices car beaucoup de gens y passent, et ça permettrait de toucher ce public qui ne va pas de lui-même assister à des meetings ou des réunions publiques."
Quelle qualité ferait d’Anne Hidalgo une bonne présidente de la République ?
"Je pense que pour être président de la République, il faut avoir des compétences dans beaucoup de domaines. Qu’Anne Hidalgo soit à la tête d’une collectivité importante, la ville de Paris, la capitale, fait qu’elle a cette expérience et cette compétence de gestion. Je pense que c’est une qualité pour être présidente de la République."
Le comité de soutien Yannick Jadot Haut-Doubs vient d’être crée. « La priorité de la campagne se portera sur l’urgence climatique et les actions urgentes à mettre en place dès maintenant. L’agriculture bio et l’interdiction des intrants et pesticides seront également une volonté très forte. Une Europe sociale pour une France dans une Europe solidaire » explique le communiqué de presse.
Annie Genevard, députée du Doubs, se félicite de l’adoption à l’Assemblée Nationale de la résolution visant à augmenter le télétravail des travailleurs frontaliers et à mener une réflexion européenne sur leur statut. Rappelons que les travailleurs frontaliers ne peuvent effectuer au maximum que 25% de leur temps de travail à domicile sans alourdissement des cotisations sociales et fiscales. Pour Mme Genevard, « cette résolution est un premier pas pour créer officiellement un dialogue avec les pays frontaliers afin de permettre une modification du règlement »
Ce vendredi, à un mois de l’élection présidentielle, le Premier Ministre Jean Castex est venu apporter plus que son soutien au monde industriel jurassien. Dans sa hotte, le chef du gouvernement est venu récompenser dix chefs d’entreprise qui bénéficient d’une enveloppe financière de l’état pour leur permettre de relocaliser des processus de production. Cette première salve s’élève à 4 millions d’euros, générant 17 millions d’euros d’investissement et permettant la création de 79 emplois. C’est tout d’abord, le secteur du Haut-Jura qui est ciblé. Le Premier Ministre a également assuré qu’il se soucie de l’avenir de l’entreprise MBF à Saint-Claude. Pour Jean Castex, l’état interviendra également pour aider les professionnels à la reconversion de leurs activités.
Jean Castex n’a pas choisi ce département au hasard. 31% des emplois dans le Jura se trouvent dans l’industrie. En VRP de la politique économique gouvernementale, il a loué les différents dispositifs mis en œuvre. Il a notamment décliné les résultats prometteurs obtenus dans la reconquête de l’emploi industriel dans l’Hexagone depuis deux ans. L’hémorragie se serait estompée. Selon Jean Castex, la France a perdu jusqu’à 50.000 emplois annuels dans l’industrie entre 1980 et la fin des années 2000. « Nous avons mis le paquet » a-t-il conclu pour justifier ces dépenses.
L'interview de la rédaction . Jean Castex
Dans le cadre de sa campagne relative à l’élection présidentielle, Philippe Poutou est à Besançon ce mercredi. Il s’est notamment exprimé sur les raisons et les motivations qui ont poussé le Nouveau Parti Anticapitaliste a figuré dans cette élection.
Ayant obtenu 62 signatures dans la région, soit deux de plus qu’en 2017, Philippe Poutou est parvenu à réunir les 500 signatures nationales nécessaires. Le candidat a souhaité inscrire sa campagne dans un processus de solidarité entre les peuples et de lutte contre l’impérialisme. La précarité, l’environnement, notamment en référence au rapport du GIEC, et les inégalités sociales ont été évoqués comme des points de lutte importants. Le durcissement de la société, qu’il juge plus violente et plus répressive, fait également partie des problématiques sociétales que le candidat Poutou se souciera s’il arrive aux responsabilités. Philippe Poutou y voit un seul fautif, « le système capitaliste », « incapable de régler le désordre qu’il créé ». D’où l’importance, de penser une autre société, basée sur d’autres valeurs.
Convoqué par la police pour s’expliquer
Dans la foulée de l’acquisition de ses 500 parrainages, Philippe Poutou a été convoqué pour « injure publique envers une administration publique ». L’information a été publiée par le candidat sur les réseaux sociaux. « La police tue, évidemment la police tue. » avait-il déclaré sur France Info. À la suite de cette déclaration, une plainte avait été déposée par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. Dans la cadre d’une enquête préliminaire, Philippe Poutou aurait dû être entendu, mais cette audition a été repoussée en raison de sa participation à la campagne présidentielle.
L'interview de la rédaction / Philippe Poutou
La fédération du Doubs du Parti Socialiste indique qu’une réunion publique en soutien à Anne Hidalgo se tiendra ce mardi 15 mars, à 18h30, à la salle Proudhon, à Besançon, en présence de de Jean François Debat, maire de Bourg en Bresse et membre de l’équipe nationale d'Anne Hidalgo .
Le Conseil constitutionnel a publié ce lundi la liste des candidats remplissant les conditions pour se présenter à l'élection présidentielle. Avec 12 prétendants à l'Elysée, on compte un candidat de plus qu'en 2017, et deux de plus par rapport à 2012. Laurent Fabius, le président du Conseil constitutionnel, a dévoilé ce midi les candidatures à l'élection présidentielle validée par les Sages. Nathalie Arthaud, Fabien Roussel, Emmanuel Macron, Jean Lassalle, Marine Le Pen, Éric Zemmour, Jean-Luc Mélenchon, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Valérie Pécresse, Philippe Poutou et Nicolas Dupont-Aignan seront les candidats à l’élection présidentielle de 2022.